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    Casablanca
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    341 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 septembre 2015
    Laissez-vous envoûter par le charme fou d'Ingrid Bergman au son d'un "As time goes by" juste sublime. Laissez-vous porter par cette fable romantique par excellence sous fond de Seconde Guerre Mondiale. Contemplez cette photographie noir et blanc élégante et cette mise en scène virtuose qui met l'accent sur le jeu de regard du couple mythique Bogard-Bergman. Et vous saurez que vous venez de regarder un classique, un chef-Œuvre du 7° Art.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    103 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 septembre 2015
    Grand classique du cinéma américain, Casablanca s'inscrit dans la même veine que Le port de l'angoisse réalisé deux ans plus tard par Howard Hawks. Tous deux se déroulent dans des territoires français éloignés de la métropole pendant le régime vichyste, y décrivent les petites combines et les grandes bassesses des hommes lors des périodes troubles. spoiler: Les Américains finissent toujours en héros, prenant la décision finale courageuse
    . Et enfin, les deux films bénéficient du talent de Humphrey Bogart qui forme ici un couple mythique avec Ingrid Bergman – remplacée par Lauren Bacall dans le long-métrage de Hawks. Pour son atmosphère, sa musique et ses acteurs formidables, Casablanca est incontestablement un chef-d'œuvre du cinéma.
    Tupois Blagueur
    Tupois Blagueur

    66 abonnés 1 162 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 septembre 2015
    Sûrement le film le plus connu de son réalisateur austro-américain, "Casablanca" est le mélodrame romantique par excellence des années 40/50, réunissant tous les ingrédients du film hollywoodien dans le meilleur sens du terme : en plus d'être un all star movie au casting de luxe (et international s'il vous plaît), le long-métrage de Michael Curtis peut se targuer d'avoir une écriture des plus remarquables. Le scénario, habilement travaillé, et les dialogues, d'une finesse rarement égalée dans le genre, distillent tout à tour cynisme, romantisme, ironie, nostalgie, faux-semblants et tristesse, avec à chaque fois une épatante direction artistique de la part de Curtis et une composition admirable des comédiens. Entre Humphrey Bogart, Ingrid Bergman, Paul Henreid, Claude Rains, Peter Lorre et Conrad Veidt, ne venez pas me dire que vous n'êtes pas conquis tant l'alchimie qui les lient est palpable et leurs jeux complémentaires. Nombre de scènes sont inoubliables, mais la plus mémorable de toutes reste bien évidemment la fin, à la fois déchirante et très tendre. C'est aussi un happy-end, comme à l'accoutumée, mais je dois avouer que pour une fois cela ne me dérange pas le moins du monde. Un des trop rares chefs d’œuvre venant d'Hollywood.
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 septembre 2015
    Bien plus qu'un film de propagande - ce à quoi on le réduit parfois - Casablanca est porté par une âme qui a fait de lui un classique. Terrain de jeu de grands acteurs de l'âge d'or hollywoodien, c'est aussi un film qui tire sa force de là où on aurait précisément pu douter qu'il en trouve : dans un scénario qui ne force jamais sur son message politique (on peut même douter qu'il en existe un) pour se concentrer à raison sur des voies beaucoup plus humaines. Casablanca est d'abord l'histoire d'un entre-deux amer où ont fui, dans ce café-casino cosmopolite, des hommes trop attachés à l'Europe pour y renoncer totalement, trop rejetés par ce qu'elle est devenue pour y demeurer. Paradis d'âmes perdues, c'est le théâtre de drames intérieurs constants, de personnages mélancoliques et égarés à l'intérieur d'eux-mêmes. C'est aussi un récit très juste quant à son rapport à l'amour, ce qu'il montre d'un sentiment dont la grandeur n'est jamais aussi complète que lorsqu'on le préserve dignement plutôt que de le consommer en en perdant l'innocence. L'histoire d'un homme construit dans la douleur, qui comprend qu'il faut parfois perdre ce à quoi on tient le plus pour se trouver soi-même, accéder à une paix imparfaite, se satisfaire d'une demi-mesure qui vaut pourtant si cher. J'aime aussi la dernière réplique ironique de Bogart, dont le personnage retrouve son sarcasme, un cynisme qui était autant une façade pour les autres qu'un déguisement pour lui-même. L'amour déçu a passé, enfin exorcisé, mais n'a pas pour autant changé cet homme du tout au tout, ne l'a pas ramolli en un probe à l'humanisme exemplaire et aux manières suaves. Le personnage est devenu lui-même, et a intégré l'ironie dont il se parait à sa personnalité véritable, acceptant ainsi le poids de son passé et de ses propres choix, dans un geste infiniment plus digne. Voilà pour le récit, plutôt bien construit mis à part un flash-back parisien trop cliché et pas forcément nécessaire, peut-être un peu démystifiant vis à vis d'une romance que j'aurais préféré m'imaginer. Pour ce qui est de la mise en scène, je serai beaucoup moins laudateur. Casablanca demeure lesté des conventions d'une époque révolue, aux moyens techniques incomparables à ceux d'aujourd'hui. Moins enclin à faire durer un plan, à laisser s'exprimer seulement sa musique (même si celle-ci joue un rôle important), à jouer sur le rythme de son récit ; tel était le cinéma d'une époque qui le rapprochait plus de la littérature et du théâtre que de la peinture ou de la musique. Le mystère venait d'une intrigue, de l'écriture de personnages complexes. Je préfère lui sur-imprimer l'aura d'un ton plus contemplatif, d'une narration moins régulière, aussi. Même une oeuvre aussi bien écrite, au final, n'est pas complètement protégée du passage du temps et de l'évolution des moyens artistiques. Dans l'ensemble, Casablanca reste cependant très beau, et j'y retiendrai un bon paquet de choses. Entres toutes, me marqueront longtemps la mort noble d'un amour impossible, et les larmes dans les yeux torturés de Bogart.
    fxportais
    fxportais

    4 abonnés 81 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 septembre 2015
    So sentimental.
    J'aime les dialogues, les personnages et leurs caractères
    Le cadre et l'ambiance de ce film qui n'a pas pris de rides.
    Nyns
    Nyns

    214 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 février 2017
    Casablanca bénéficie d'une aura incroyable puisqu'il représente un véritable produit de la seconde guerre mondiale (tourné en 1942), sur la seconde guerre mondiale, et qui plus est, anti-nazi! C'est donc assez émerveillé que l'on découvre cette fresque américano-franco-allemande (dont l'action se situe bien évidemment à Casablanca, Maroc français à l'époque), qui semble être d'abord une aventure de guerre mais apporte de façon subtile et inattendue la touche romanesque promise. Il y a beaucoup de données ici qui en font un véritable grand film incontournable, la mise en situation de l'intrigue est généreuse, avec du suspens, des personnages ambiguës et intéressants. D'ailleurs on a un peu tout les profils type auquel on pense pour un français de l'époque sous Vichy ; le collabo qui va dans le sens du vent, le résistant aux convictions inébranlables et le gars qui ne se mouille pas "je ne fais pas de politique", mais oui... C'est surtout celui qui préfère garder ses idées pour lui afin de continuer à faire son bout de chemin sans ennuie malgré la situation. Puis on a la romance, pour moi c'est peut-être ce qui a le moins fonctionné, même si elle a quelque chose de très beau et touchant. J'ai adoré le cynisme d'Humphrey Bogard se transformant en désemparement amoureux quand l'amour de sa vie réapparait et réanime ses blessures qu'il croyait pansées grâce au temps, un peu moins l'indécise Ingrid Bergman, auquel j'ai eu du mal a capté le changement de sens. Peut-être que selon moi la version spoiler: du gars qui se sacrifie par amour tout en sachant pertinemment que la femme qu'il aime en aime un autre, surtout le fait qu'elle aime et admire son mari secret...
    aurait été meilleure, enfin plus beau selon moi. Cela enlève du charme du coup à l'intrigue, mais c'est à prendre en faire-valoir (surtout quand on sait qu'une fin alternative avait été présentée dans les années 80 spoiler: mais qui ne va encore pas dans mon sens
    ), c'est donc bel et bien l'intrigue en soi et non son dénouement qui importe ici. Une référence indispensable pour cinéphile.
    nielrowbooks
    nielrowbooks

    24 abonnés 669 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 juillet 2015
    A revoir cette oeuvre, on s'aperçoit qu'elle a vieilli. Tellement, que même en 1942, les trucages étaient déjà flagrants sachant que d'autres films avaient fait beaucoup mieux en la matière. C'est pour cela qu'on ne peut pas donner le nom de chef-d'oeuvre à Casablanca. Par ailleurs c'est à peine un film, plutôt une pièce de théâtre et il ne vaut que par cela et conséquemment par ses dialogues, ses situations, sa trame romanesque sinon romantique. Evidemment les acteurs sont de première et l'aura que le temps aura tracée sur leur tête contribue à la notoriété du tout. Enfin le côté historique de l'oeuvre n'est pas à négliger, non point sur le déroulement des faits, mais concernant les décors principalement. C'est assez significatif et à notre avis c'est en cela qu'elle restera remarquable.
    Roub E.
    Roub E.

    948 abonnés 4 994 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 avril 2015
    Dans la série je découvre les classiques, je viens de regarder Casablanca. Et j ai vraiment apprécié. Je m attendais vraiment à une bluette surannée, j ai vu un très beau film sur l agitation de la guerre qui entraîne malgré eux les individus. Le couple Bogart Bergman est effectivement mythique avec Bogart en homme désabusé, traînant son spleen et son mépris de l être humain dans son bar de Casablanca et Bergman d une incroyable beauté tiraillé entre son amour et son "devoir". J ai beaucoup aimé le personnage du capitaine de police très ambigu dans ses rapports à l occupant allemand. L image est vraiment de toute beauté surtout les scènes à l intérieur du bar que j ai trouvé très réussi, la scène du bar français est elle aussi un beau moment de mise en scène. Du coup je range moi aussi Casablanca permis les classiques.
    MemoryCard64
    MemoryCard64

    42 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 avril 2015
    Casablanca est un immense pied-de-nez au troisième Reich et au régime de Vichy. C'est fascinant de se dire que des gens ont eu le culot de sortir de sortir ce film en 1942, alors que rien ne laissait présager de l'issue de la guerre. Le film s'intéresse à la situation politique et sociale de Casablanca au début des années 40. La ville est alors la dernière étape avant de pouvoir rejoindre Lisbonne et fuir vers les États-Unis. Beaucoup d'étrangers y restent dans l'attente d'un hypothétique Visa alors que la corruption et les arrangements règnent. C'est dans cette situation particulière que Rick et Ilsa, deux anciens amants, vont avoir des retrouvailles douloureuses. S'en suivra l'une des plus belles histoires d'amour du septième art, comme chacun sait. Mais la plus belle réussite du film, ce n'est ni le couple mythique Bogart/Bergman, ni la description de la ville a une période ou tout se vend et se négocie. C'est de m'avoir fait partager un sentiment que je n'aurais jamais cru ressentir devant un film : le patriotisme. Lors de la scène de la Marseillaise, je me suis senti français. Et cela suffit pour dire que Casablanca est un grand film.
    James Betaman
    James Betaman

    64 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 octobre 2016
    L’âge d’or d’Hollywood… une période du cinéma qui m’a toujours intrigué. Car en fin de compte, c’est vraiment dans cette période où je retrouve ce que j’aime dans le cinéma, des scénarios foutrement bien écrits, des intrigues passionnantes, des personnages extrêmement bien construits et de nombreux symboles nettement mieux amenés qu’aujourd’hui. A cela, on pourra dire que c’est un âge où s’est enchaîné pas mal de chef d’œuvre faisant encore parti des meilleurs films d’après de nombreuses critiques : Autant on Emporte le Vent, Citizen Kane et aussi Casablanca.
    En réalité, c’est un film que j’ai dans ma collec (le coffret Warner Bros Classique) et je l’avais vu, et puis je l’ai oublié. Probablement parce que j’étais trop jeune où pas assez cultivé dans le domaine du cinéma, Casablanca n’était pour moi qu’une histoire d’amour pour le coup très bien amenée sans rien de plus. Et j’ai un peu honte d’être passé à côté de tout le génie de cette œuvre. Mais à vrai dire, il aura fallu que je sois obligé de faire une dissertation sur un héros de film pour que je m’y penche vraiment. Ainsi, à la rechercher d’un héros du cinéma qui vaille vraiment le coup d’être étudié (et ça m’a pris deux semaines), je suis enfin tombé sur le héros qu’il me fallait, Rick Blaine (interprété avec charisme par Humphrey Bogart). Mais les souvenirs de me venaient plus, et à force de lire des critiques et des analyses, j’ai fini par ressortir le disque de sa jaquette et l’insérer dans mon lecteur blu-ray. Et la révélation a eu lieu.
    Ainsi, je savais à l’avance ce que j’allais voir : un film clairement engagé contre le nazisme et pour la liberté, faisant passer les USA comme un paradis de liberté, où tout le monde est heureux, tandis que c’est l’enfer en Europe. Bref, un truc bien Hollywoodien ! Mais je savais aussi que j’allais me retrouver face à un traitement de personnage incroyablement bien maîtrisé. En réalité, ce visionnage m’a simplement servi à me rendre compte à quel point ce film est maîtrisé de bout en bout.
    Et là, l’idiot de dix-sept que je suis va tout de suite vous calmer, je ne suis pas en adoration pour ce film. J’ai d’ailleurs à peu près le même ressenti que lors de mon premier visionnage, un film qui souffre de longueurs. Est-ce que pour autant le film a mal vieilli ? Non. Je dirai même qu’il a encore mieux vieilli que Citizen Kane, qui est pour moi, le meilleur film de cette génération (suivant naïvement les adorateurs, mais j’y peux rien, c’est un chef d’œuvre). En réalité, la seule raison pour laquelle je suis moins fan de Casabanca, c’est tout simplement parce que je ne fais pas parti du public visé. C’est vrai ça, je suis un cinéphile de dix-sept ans amoureux fou de Spiderman et Terminator qui adore regarder des thrillers et qui n’a aucune âme patriotique. Pourquoi j’irai regarder un film d’amour qui plus est, fait office de propagande au rêve américain ? Parce que je m’essaie un peu à tout.
    Mais il n’empêche que malgré le fait que je ne fasse pas parti du public visé, je ne peux pas nier les nombreuses qualités de Casablanca qui en font encore aujourd’hui, l’un des meilleurs films de tous les temps d’après pas mal de critiques. Ainsi, je vais m’étendre un peu sur l’écriture de Rick Blaine, aussi pertinente et bien foutu que celle de Daniel Plainview ou Walter White à l’exception près, qu’il n’est pas un anti-héros. Au contraire, Rick à tout pour être un héros de film. C’est simplement qu’on nous le présente comme un être égoïste et peu soucieux des conflits mondiaux mais qui garde une certaine morale en déchirant tous les chèques qu’il reçoit des allemands. Et puis, tout va basculer. On découvre par la suite, qu’il se battait pour des causes nobles, qu’il a aimé une femme, mais dont la brusque séparation à fait de lui l’homme solitaire qu’il est aujourd’hui. Et bien ça peut paraître simpliste, mais c’est tellement logique et bien amené que je ne peux que me prosterner devant le génie de narration de Michael Curtiz ! Tout cela pour nous montrer la véritable nature d’un héros, quelqu’un qui surmonte les épreuves. Vive l’Amérique !
    Mais il ne faut pas oublier ce qui fait le charme de ce film, sa dimension politique. Sorti en 1943, dans quel contexte est sorti ce film ? Pendant l’occupation allemande en France ! Bravo ! Et bien ouah, on pourra dire ce qu’on veut, mais ce film crache au visage des nazis sans se le cacher. Et c’est ça qui rend ce film spectaculaire, c’est qu’il a osé démonter toute crédibilité aux nazis. Le seul mort à l’écran, est un nazi, l’hymne français résonne plus fort que celui des nazis, bref, Hitler a dû mal le sentir celui-là. Et même dans la mise en scène, tout est contre nazisme (et Vichy aussi, comme quand Renault jette la bouteille avec marqué « Vichy » à la poubelle). Et ça peut paraître cliché à certains moments, mais c’est tellement bien amené, que je ne peux dire que bravo ! Du début à la fin, le film est un condensé de messages honorables.
    Donc Casablanca, j’ai beau ne pas être fan, m’ennuyé un peu devant, je ne le renie pas ! C’est un grand film qui mérite son statut de chef d’œuvre intemporel ! Bref, du grand art !
    Eselce
    Eselce

    1 389 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 décembre 2014
    Je l'ai vu pour son côté patriotique : La marseillaise est entonnée au-dessus des voix de soldats allemands dans le bar où se déroule la majorité du film. Mais il est plus que ça et nous tient en haleine jusqu'au bout. De l'amant ou du mari, qui s'effacera aux beaux yeux d'Ingrid Bergman ?
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 novembre 2014
    Oscar du meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur scénario, film sacré des américains, des millions de dollars de recette dans le monde et est considéré comme l'un des 10 meilleur films de tous les temps et le troisième meilleur film américain, Casablanca ! Pourtant, c'était pas gagné pour se film au départ. Tourné en catastrophe avec un budget exceptionnellement réduit, un scénario non terminé au moment de commencé à tourner, un réalisateur ( Michael Curtiz, réalisateur sur commende ) pris au dernier moment parce que le favori ( William Wyler ) n'était pas dispo, les acteurs qui changeaient sans cesse lors de la pré production; tous était fait pour que le film soit un échec. Et bien non. Ce film est effectivement un chef d'oeuvre. Alors oui nous avons une grande propagande anti-nazis qui peut paraître un peu lourde par moments, mais il faut replacer le film dans son contexte, ils ne savaient pas comment la guerre allait finir, tout pouvait basculer à tous moments. Mais je pense qu'aucune histoire d'amour n'avait été aussi bien filmé au cinéma. Tout y est parfait, les cadrages, les décors, les acteurs ( Humphrey Bogart bluffant; Ingrid Bergman épatante; Paul Henreid glaçant... ). Alors miracle ou coup de génie ? Cela reste un immense chef d'oeuvre avec un final grandiose.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 décembre 2014
    Grand classique, "Casablanca" mérite toujours son statut de chef d'oeuvre grâce à son scénario efficace, sa photographie impeccable et les thèmes abordés sobrement et intelligemment. Le duo Borgart et Bergman fonctionne très bien à l'écran et on ne peut qu'être touché par cette romance.
    Mephiless s.
    Mephiless s.

    62 abonnés 697 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 décembre 2014
    Un classique cinématographique! Avec d'excellents personnages bien écris, interprétés par d'excellents acteurs. L'ambiance du film est pesante, bien travaillée, le suspens et les retournements de situation sont omniprésents! Un très bon film!
    Alasky
    Alasky

    348 abonnés 3 394 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 octobre 2014
    Un classique intouchable, de l'émotion en masse, les acteurs sont au plus haut de leur talent et l'histoire des personnages m'a fait pleurer.
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