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Glouyie
15 abonnés
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4,0
Publiée le 1 mars 2017
"Here's looking at you, kid" "Casablanca", grand chef d'oeuvre de Michael Curtiz, est un très bon film, racontant l'histoire d'un américain exilé, propriétaire du night-club huppé de Casablanca, cynique et amer, qui retrouve son grand amour, Ilsa, qui débarque avec son mari, grand révolutionnaire tchèque. Sous fond de guerre, la romance entre ces deux protagonistes est très émouvante et profonde, elle évolue au fil du récit de façon réaliste et à un côté fataliste, les acteurs interprètent leur personnage complexe (surtout le duo Humphrey/Ingrid) à la perfection. Le film est agréable et n'a pas pris une ride. On passe un très bon moment.
Le charme désuet d'une autre époque et pourtant témoin valable d'une certaine atmosphère puisque le film date de 1942 et parle avec à-propos de ceux qui tentaient de fuir la France occupée via l'une de ses colonies, à savoir le Maroc, pour aller ensuite au Portugal et embarquer pour les Etats-Unis. Un vrai parcours du combattant...
Mais ah le temps béni des colonies ! il aurait fallu leur dire à ces amerloques que tout était d'abord écrit en français et que l'anglais n'était pas devenu la langue mondiale obligatoire... et que cet Américain qui vivait à Paris, patron de cabaret et autres jeux clandestins et qui se retrouve à Casablanca, patron de cabaret et autres jeux clandestins... euh on n'y croit pas ?
Un petit peu quand même... tout de même ! grâce au flegme charismatique du grand Humphrey, désabusé et cynique mais au coeur gros comme ça qui craque devant sa pouliche à l'oeil humide, la si captivante Ingrid.
Ainsi, Casablanca survit par ses acteurs et se dépêtre de son allure de pièce de théâtre mal dégrossie toujours grâce à eux, à ce triangle amoureux qui mêle regrets et bons sentiments à l'urgence d'un monde bouleversé.
Cependant, la ritournelle chialeuse qui casse les noix pendant presque tout le film a failli avoir raison de ma patience, je dois le confesser sans plus attendre, mon Père, j'ai failli jeter quelque chose à la gueule de ma télévision : mes boîtes de bière je crois.
Le film a clairement mal vieilli, je m'y attendais un peu en regardant un film des années 40, mais j'étais quand même assez déçu. Le scénario est plutôt bien conçu, mais la plupart des scènes, notamment sentimentales, manquent de spontanéité, d'ailleurs, l'histoire d'amour est très peu crédible à mon sens. Bref, à voir, parce que ça reste un film culte, mais il ne faut pas s'attendre à un chef d'oeuvre.
A la fois théâtral et exotique, Casablanca est un tourbillon de personnages et de sentiments. Si le film a beaucoup vieilli et rend les personnages d'une froideur toute hollywoodienne (version Code Hays), il est à la fois culte et immanquable.
Casablanca est un excellent classique à voir. L'histoire est très intéressante, mêlant aventure, drame, romance …. On ne s'ennuie pas une seule seconde. Le contexte géopolitique est fascinant (Casablanca en pleine Seconde Guerre Mondiale sous contrôle de Vichy). Humphrey Bogart est aussi impressionnant que sa postérité peut le présager. Ingrid Bergman est sublime et incarne parfaitement son rôle. Le couple Bergman – Bogart fonctionne très bien, l'alchimie entre les deux acteurs est là. Paul Henreid et Claude Rains complètent impeccablement le casting. Leurs personnages sont fascinants, surtout celui de d'Humphrey Bogart. Les quelques scènes de fusillades sont très divertissantes. Un must-see de la part de Michael Curtiz.
Petit bijoux du 7ème art, Casablanca de Michael Curtiz se présente comme un acte de résistance face au nazisme au plus fort entre 1941-1942 et qui s’octroie une bonne partie du continent européen. Le décors constitué essentiellement du bar de Humphrey Bogart (le night-club de Rick Blaine) se veut comme une formidable opportunité pour des dialogues savoureux où se rencontre membres SS, membres de la résistance ou tout simplement gens de passage en quête de divertissement. Impossible à classer dans les genres cinématographiques qui oscillent entre la romance et le thriller politique permet à Casablanca de se poser dans les fondamentaux du cinéma : la réalisation est maîtrisée, les lumières splendides et l'interprétation des acteurs impressionnants (mention spéciale [et je sais que je me répète] à Humphrey Bogart, sympathique dans son rôle de gérant flegmatique). Une oeuvre qui ne vieillit pas et qu'on se régalera à voir lors de chaque visionnage.
J´adore ce film. La réalisation de ce film est magnifique, la façon dont ils ont géré l'esthétique photographique est parfait comme aussi ce music fait avec Max Steiner dans ce film est la represetation du meilleure de ce travaille. C´est un histoir classique de la cinematographie américain de genres romance et drame qui se développer pendant la Seconde Guerre mondiale. La relation amoureux de Rick Blaine et Ilsa Lund est le theme principal de la histoir.
Visionné tout récemment, j'ai été totalement subjugué par la force émotionnelle du récit, la maestria d'une mise en scène hyper fluide pour l'époque et la qualité absolument sensationnelle de la photographie. Tout est parfait sans oublier les acteurs, inoubliables Humphrey Bogart et Ingrid Bergman. On appelle cela tout simplement un chef d'oeuvre, pierre angulaire de ce qui caractérise l'âge d'or hollywoodien.
C'est tout simplement l'un des meilleurs films de l'histoire du cinéma, réalisé par Michael Curtiz avec dans les rôles principaux Humphrey Bogart et Ingrid Bergman. Une histoire magnifique, des personnages incroyablement bien interprétés, des musiques incroyablement rêveuses et un dénouement magique. Voilà ce qu'on peut dire de Casablanca en quelques mots, un film qui reste intemporel et culte et qui peut se regarder à toute âge.
Portés par un H.Bogart au sommet de son art et une sublimissime I.Bergman, ce film va au-delà de la simple romance et s'offre un pamphlet sur la deuxième guerre mondiale et sur la future victoire des alliés. Mise en scène sobre mais symbolique de l'âge d'or d'Hollywood, un véritable classique à voir et à revoir.
Paris le romantisme Casablanca l'exotisme Il flotte dans ce film un tel parfum de nostalgie. Je parle bien sûr de l'histoire dans l'histoire: cet amour du passé si élégant et si charmant qui revient Casablanca comme un coup de poignard au cœur. Un classique parmi les classiques mais quel film.
D'un classicisme certes un peu daté, Casablanca fait son petit effet en jouant avec les ambiguïtés de l'époque, le jeu trouble des profiteurs du marché noir et des tripots, avec au milieu de cela une histoire d'amour impossible. La réalisation de Michael Curtiz est empreinte d'une sobriété bienvenue, et le film abonde en séquences mémorables autour du duo Bogart-Bergman, soutenu par toute une galerie de seconds rôles très justes. Le scénario est adroit et remarquablement construit, au dénouement certes prévisible mais rondement mené. Bogart livre une composition tout en finesse avec un personnage cynique et désabusé, face à Ingrid Bergman qui illustre merveilleusement les tiraillements d'une femme amoureuse. Du grand art.
Alors que toute l'Europe est sous domination allemande, Casablanca est le point de passage obligatoire pour ceux qui fuient la dictature nazie et qui souhaitent s'enfuir aux Etats-Unis. C'est donc au Maroc, alors une colonie française, que la police vichyste est chargée d'interpeller un des leaders de la résistance. Pour obtenir des laissez-passer signées de la main du général de Gaulle, Victor Laszlo et son épouse Ilsa doivent s'adresser à Rick Blaine. Ce dernier est un américain établit à Casablanca où il fait fortune avec son bar où joue tous les soirs un pianiste très talentueux. Or, tout se complique pour le résistant Laszlo car sa femme et Rick se connaissent déjà et ont une histoire commune.
A la croisée des chemins entre film romantique et suspens Casablanca dresse le portrait d'une ville en pleine ébullition où les résistants sont nombreux et où les Allemands tentent d'imposer leur domination. C'est dans ce contexte que Rick un homme bougon, froid et surtout qui refuse de prendre parti a décidé de vivre. Alors qu'il ne s'est jamais remis d'une déception amoureuse, ce dernier va devoir faire un choix entre aider la femme qu'il aime toujours ou profiter de sa détresse pour la garder pour lui.
Le duo Humphrey Bogart et Ingrid Bergman est aujourd'hui encore cité en référence, tout comme certaines répliques et bien sûr la scène de fin. Tous ces éléments font de ce film un classique qu'il est impératif d'avoir vu au moins une fois. Tourné durant la seconde guerre mondiale, ce film a été immédiatement un succès, il a d'ailleurs reçu plusieurs oscars. Les acteurs allemands qui jouent dans ce long métrage étaient de véritables acteurs allemands qui avaient émigrés aux Etats-Unis pour fuir le nazisme.