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    Casablanca
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    341 critiques spectateurs

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    schumiforever
    schumiforever

    7 abonnés 236 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 février 2011
    Parfois un film simple de prime abord, à tendance mélodramatique et sans véritable action, parvient à toucher à l'essence même du cinéma, et la magie d'Hollywood se matérialise à l'écran. Porté par le charisme phénoménal de Humprey Bogart, Casablanca développe intelligemment son histoire dans l'histoire, plus précisément la 2ème guerre mondiale, pendant laquelle résistance et coopération ont parfois été intimement liées. Jusqu'au bout on ignore ce qu'il adviendra de cette relation trouble entre le tenancier, le flic et le résistant, dans l'ambiance à la fois exotique et oppressante de ce club américain. Un chef d'œuvre.
    yoyoseb
    yoyoseb

    4 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 juillet 2007
    Chef d'oeuvre indémodable. Images somptueuses, acteurs inoubliables, reconstitution historique soignée. A voir et à revoir...
    AMCHI
    AMCHI

    5 794 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    J'aime bien les vieux films et surtout les acteurs de la belle époque hollywoodienne mais même si Casablanca est un classique que tout cinéphile doit voir, personnellement je n'ai pas trouvé ce film très extraordinaire.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    237 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 septembre 2008
    Réjouissons-nous, le classicisme au cinéma ne rime pas toujours avec une optique timorée sur le monde. «Casablanca» (USA, 1942) de Michael Curtiz décrit la situation du monde en 42 au travers d’une intrigue dans laquelle, du propre aveu du réalisateur, peu de faits fondamentaux se produisent. Réunis dans le microcosme d’un bar américain, les pôles majeurs de l’histoire occidentale de cette période sont réunis autour d’une intrigue amoureuse. Dirigeant nazi, préfet de police français, employé africain, pianiste américain, résistant tchèque… ce multi-nationalisme réuni, dans la grande majorité du film, au cœur ce lieu vivant que sont les bars résume et met en scène selon un schème analogue à celui de la politique internationale de 42 la position globale du monde durant la Seconde guerre mondiale. Les moyens du cinéma classique servent dans ce film du prolixe Curtiz un regard lucide porté par les Etats-Unis sur la situation politique environnante. Preuve que, quelques années avant le débarquement, le pays américain n’était pas aveugle face au désarroi de l’Europe. Outre cette heureuse lucidité, «Casablanca» fait montre d’un savant maniement de l’intrigue, articulant le progressif dévoilement de l’identité des personnages avec habileté. Même dans le dernier plan, lorsque marchant jusqu’à se perdre dans la brume, les deux personnages closent le film et rendent définitive la nature de tous les protagonistes, chacun apparaît comme nourri de dualité, persécuté par ses intensions et son éthique. Ce déni de rendre absolu les personnalités dénotent une belle sagesse, pas toujours évidente dans le cinéma hollywoodien, qui prend en compte qu’un personnage de cinéma, à l’instar d’un être vivant réel, se doit de ne pas être ramené à une essence, à une entité une et indivisible. Ce plaisir à voir, dans les apparats rebattus du cinéma classique, des personnages, à la fois symboles d’une politique nationale et incarnations atypiques, rappelle les œuvres de Hawks.
    dai72
    dai72

    147 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 mars 2014
    Un film qui donne envie de dormir. Le scénario manque de vie, de mouvements, d'actions. Le rythme lent est vite agaçant. Les musiques sont répétitives, sans rythme également. Bogart conserve la même tête de bout en bout. Aucune expression, aucune émotion, un vrai robot. Dans l'ensemble, c'est une film sans saveur, fade, terne tout comme la romance qui apparaît rarement finalement. Peut-être culte pour certains, pas pour moi !!
    willyzacc
    willyzacc

    78 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 septembre 2010
    Une très belle histoire d'amour.. autour de Nick le patron cynique et Lazlo le tchécoslovaque échappé des camps de la mort. Très beau film qui ne manque pas d'humour.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 27 mars 2013
    Un film remarquable sur tous les plans : La réalisation, le jeu d'acteur, le scénario, les dialogues... Je n'irai pas jusqu'à dire, comme certains, qu'il s'agit du plus grand film de tous les temps, mais si un classement devait être fait, Casablanca serait très bien placé.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 octobre 2012
    Un des plus grands chefs-d'oeuvre de l'histoire du cinéma. Romance, passion, patriotisme, nostalgie, tout est parfaitement mélangé et nous offre un film mythique. L'excellente prestation du duo Bogart-Bergman est pour beaucoup dans l'excellente qualité artistique du film. Culte.
    Angela Ki La
    Angela Ki La

    56 abonnés 586 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 novembre 2013
    Je pense que la plupart des gens jugent ce film non pas pour ce qu’il est, mais parce qu’il est sorti à un moment bien précise de fin de guerre mondiale, et de victoire allié. Ils l’aiment pour ce qu’il symbolise. C’est un truc mémoriel ce film, c’est sûr. C’est assez rare de voir presse et allocinéens être d’accord à ce point, mais c’est encore plus rare, de voir des défauts flagrants être passés sous silence radio total. Ce n’est qu’une pluie de lauriers de César, les mecs ! Et moi aussi je voulais participer à la fête, mais j’ai pas pût. Pourquoi ? Parce que histoire à l’eau de rose assez pâlotte, parce que des personnages peu convaincants, très simples, des schémas. Bogart, c’est le macho, Bergman, la femme amoureuse. La collection arlequin n’est pas loin, et là on nous dit que c’est romantique. Des clichés à la pelle. Un au hasard ? La bouteille de « Vichy » que l’on met à la poubelle, symbolise quoi ? La chute du régime de Vichy, bien sûr ! Pour moins que ça, n’importe quel autre film supérieur en ton et en contenu s’est fait ou se fera descendre en flèche. Je ne cite même pas les erreurs de débutants surprenant à ce niveau. Exemple ? Un officier allemand reçoit un coup de fil tard la nuit. On lui dit qu’un américain potentiellement dangereux veut fuir Casablanca, et lui il vient l’arrêter tout seul, sans escorte !? Mais t’as vu ça où toi ? N’importe nawak comme dirait mon pote Michel. Au moins il y a une bonne photo, mais c’est la moindre des choses pour un film de l’âge d’or hollywoodien. Ah ! J’oubliais l’argument massue, le couple Bogart-Bergman, manque de bol, le couple n’existe pas ou peu dans le film. C’est bavard, les allemands sont sans consistance et assez bêtes. Premier degré digne d’un film de propagande, et c’est en effet un film de propagande, qui ne dépasse pas la fonction pour laquelle il a tété conçu, remonter le moral de tout le monde à l’époque. D’ailleurs beaucoup soulignent le propos ouvertement propagandiste du film, mais disent que c’est génial quand-même. Bizarre, non ? Alors je mets 2 mais c’est vraiment parce que je suis gentil. Ça doit être le nez d’Ingrid Bergman qui met fait ça.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 août 2008
    J'aurais mis du temps à le voir ce classique du cinéma. Pourtant, c'est vrai qu'il mérite son titre de classique avec une histoire prenante et ses dialogues aux répliques toujours incisives ! L'univers où évolue les personnages est assez surprenant avec ce Casablanca Français pendant la seconde guerre mondiale et ce club Américain. Le fait d'entendre la Marseillaise est assez surprenant.
    Un beau film à voir sans hésiter.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 1 septembre 2010
    Certes, Casablanca est un film culte, mais permettez moi de vous dire qu'il n'est pas exempt de tous reproches. Non seulement le film n'a pas d'action principale mais en plus il traîne avec lui une sentimentalité à l'eau de rose qui en effraierait plus d'un; enfin, les scènes d'extérieurs apparaissent comme les archétypes des artifices hollywoodiens. En dépit de ces défauts incontestables, Casablanca présente également d'évidentes qualités comme l'humour cinglant maitrisé à merveille, un romantisme réservé, le portrait d'un homme en apparence cynique mais qui cache au fond de lui un idéaliste convaincu. Casablanca est donc certainement un film surcôté mais qui n'est pas vide pour autant.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 146 abonnés 5 130 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 octobre 2015
    Paris le romantisme
    Casablanca l'exotisme
    Il flotte dans ce film un tel parfum de nostalgie. Je parle bien sûr de l'histoire dans l'histoire: cet amour du passé si élégant et si charmant qui revient Casablanca comme un coup de poignard au cœur. Un classique parmi les classiques mais quel film.
    Ti Nou
    Ti Nou

    492 abonnés 3 494 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mars 2018
    Si les personnages, passant leur vie dans un cabaret, donnent l’illusion d’avoir une vie faite de fête et d’insouciance, ils ont tous une épée de Damoclès au-dessus de leur tête. Le décors, plein de faste, devient exigu et étouffant donnant son efficacité à ce huis-clos à l’intérieur de Casablanca.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    267 abonnés 1 639 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 octobre 2024
    Un grand classique. La grande classe. Élégance glamour ou piquante du casting, réalisation précise, montage rythmé… Tout cela sous influence européenne : la majeure partie du casting, à l’exception de trois acteurs américains, est composée d’Européens en exil, tandis que le réalisateur Michael Curtiz, d’origine hongroise, porte en lui un certain héritage expressionniste en matière stylistique. Autre grand atout du film : ses dialogues, vifs, pleins d’esprit, souvent laconiques et ironiques. Et puis il y a l’histoire, bien sûr, qui tient à la fois du film de propagande contre le nazisme, de la comédie politique épinglant les ambiguïtés des autorités françaises en zone dite libre, du film d’amour (contrarié) et du film à suspense. Un mélange de genres traité d’une manière enlevée, qui jongle habilement entre cynisme, romantisme et idéalisme, dans un cadre exotique à la Sternberg (Morocco). Tout n’y est pas parfait (un peu d’artificialité dans l’histoire d’amour entre les personnages d’Humphrey Bogart et d’Ingrid Bergman, un peu de caricature dans l’opposition entre nazis et résistants), mais le charme caustique de l’ensemble fonctionne pleinement.
    Aujourd’hui, le film est globalement encensé et considéré comme le chef-d’œuvre de Michael Curtiz ; sa chanson phare (As Time Goes By) et certaines répliques (dont « Play it again, Sam », pourtant jamais prononcée telle que dans le film !) sont cultes. Mais à l’époque de son tournage, personne n’attendait beaucoup de ce projet. Le scénario s’écrivait au jour le jour ; la relation était tendue entre Humphrey Bogart et Michael Curtiz que l’on disait particulièrement autoritaire. Curtiz qui enchaînait les tournages de manière stakhanoviste pour la Warner, passant d’un genre à l’autre, et considéré davantage comme un bon faiseur que comme un créateur (voir sa filmographie pléthorique et éclectique). À sa sortie, le film reçut un accueil critique mitigé aux États-Unis et mauvais en France (on lui reprocha des invraisemblances historico-politiques). Mais le succès public fut immédiat. Il marqua par ailleurs un tournant dans la carrière d’Humphrey Bogart, jusque-là abonné aux polars-thrillers. Son rôle de héros romantique (et figure de « rebelle malgré lui », récurrente dans les films de Michael Curtiz, avec lequel il a tourné sept fois) lui donna un statut de star polyvalente et une aura internationale.
    Sylvain P
    Sylvain P

    335 abonnés 1 356 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 novembre 2016
    A la fois théâtral et exotique, Casablanca est un tourbillon de personnages et de sentiments. Si le film a beaucoup vieilli et rend les personnages d'une froideur toute hollywoodienne (version Code Hays), il est à la fois culte et immanquable.
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