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5 critiques presse
Le Monde
par Henri Béhar
Une Ingrid Bergman belle jusqu'à l'impossible. Un Peter Lorre aux paupières lourdes de traîtrise. Un Claude Rains suave de compromission, (…) Bogart en veste de smoking blanc, solitaire et amer. Film-culte. Le Monde, 8 octobre 92
Positif
par Jean-Philippe Domecq
Dès les premières images, Bogart nous apparaît incroyablement métamorphosé. Certes l'intrigue et les dialogues requéraient la grâce et l'enjouement idylliques ; mais ce qui frappe dans l'interprétation de Bogart, c'est sa traduction intime, épidermique. Positif 228, mars 80
Télérama
par J.-L.D.
"Casablanca" se déguste avec infiniment de plaisir, car il s'en dégage le séduisant parfum des vieux airs surannés que l'on déniche dans les discothèques de quatre sous. Télérama, 10 mars 83
L'Obs
par La rédaction
(…) comment oublier Ingrid Bergman, si belle, sensuelle et rayonnante qu'elle damnerai un saint, ou, mieux, transformerait le plus cynique des collabos en un résistant forcené… Le Nouvel Obs., 4 septembre 82
La Croix
par La rédaction
(…) le film a pris un sacré coup de vieux. Le réalisateur, Michael Curtiz, y traine tous les poncifs qui accablent le cinéma américain [mais] l'ambiance ambiguë du monde interlope héritée du film "noir" sauve les meubles. Et Humphrey Bogart y est souverain. La Croix, 18 mars 73
Le Monde
Une Ingrid Bergman belle jusqu'à l'impossible. Un Peter Lorre aux paupières lourdes de traîtrise. Un Claude Rains suave de compromission, (…) Bogart en veste de smoking blanc, solitaire et amer. Film-culte. Le Monde, 8 octobre 92
Positif
Dès les premières images, Bogart nous apparaît incroyablement métamorphosé. Certes l'intrigue et les dialogues requéraient la grâce et l'enjouement idylliques ; mais ce qui frappe dans l'interprétation de Bogart, c'est sa traduction intime, épidermique. Positif 228, mars 80
Télérama
"Casablanca" se déguste avec infiniment de plaisir, car il s'en dégage le séduisant parfum des vieux airs surannés que l'on déniche dans les discothèques de quatre sous. Télérama, 10 mars 83
L'Obs
(…) comment oublier Ingrid Bergman, si belle, sensuelle et rayonnante qu'elle damnerai un saint, ou, mieux, transformerait le plus cynique des collabos en un résistant forcené… Le Nouvel Obs., 4 septembre 82
La Croix
(…) le film a pris un sacré coup de vieux. Le réalisateur, Michael Curtiz, y traine tous les poncifs qui accablent le cinéma américain [mais] l'ambiance ambiguë du monde interlope héritée du film "noir" sauve les meubles. Et Humphrey Bogart y est souverain. La Croix, 18 mars 73