Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
L'Express
par Christophe Carrière
Niels Schneider [...] trouve la juste mesure. A l'image du film, impressionnant d'authenticité, dont on sort secoué.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Paul Marchand, le journaliste au cigare, à la personnalité forte et arrogante, c'est Niels Schneider, méconnaissable. Epoustouflant.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
par Etienne Sorin
Sympathie pour le diable retrace avec force le parcours de Paul Marchand, une figure du journalisme, couvrant le siège de Sarajevo en 1992.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Transfuge
par Frédéric Mercier
[...] un film puissant et sans pathos sur un conflit que l’on n’avait jamais vu d’aussi près. Un film en forme de cri.
Télérama
par Guillemette Odicino
Un récit bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce portrait d’un homme complexe fascine en faisant découvrir un métier passionnant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un film édifiant dans lequel Niels Schneider est un Paul Marchand rageur et entier.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Sympathie pour le diable nous a totalement pris à revers, nous a bouleversés bien plus que nous ne le pensions. Plusieurs heures après sa projection, il nous hante et nous émeut encore. C'est bel et bien la marque des très grands films.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
On croirait le réalisateur Guillaume de Fontenay embarqué dans le conflit au côté de Paul Marchand, comme s’il l’avait filmé en 1992.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Xavier Leherpeur
La nervosité de la mise en scène, le cadre resserré au format carré et le tranchant du montage provoquent l’anxiété et la tension. Remarquable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par La Rédaction
Un film très fort, hyper-réaliste, indispensable.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Adaptation du récit de Paul Marchand, correspondant de guerre haut en couleurs, ce film rend compte avec une grande justesse et d’empathie des terribles conditions de vie des habitants et des difficultés des journalistes durant le siège de Sarajevo.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Puissant avec des acteurs habités.
Paris Match
par Caroline Mangez
Le saisissant « Symapthie pour le diable» dresse le portrait du journaliste Paul Marchand pendant le siège de Sarajevo.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
À la fois sobre et percutant, ce premier long métrage est un bon film de guerre qui présente une approche semi-documentaire du siège de Sarajevo et offre son meilleur rôle à Niels Schneider.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Pierre Cochez
Ce film est un conte sur l’utilité, et l’inutilité, du métier de journaliste. Comme l’indique son titre, il est aussi une description de la sympathie que l’on peut avoir pour le « diable » : à Sarajevo, le diable est dans les bombes, les blessés et les morts. Il rend la vie exceptionnelle, excitante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par A.M.
Le réalisateur canadien Guillaume de Fontenay ne cache rien des ambiguïtés et des transgressions du personnage (incarné par l’époustouflant Niels Schneider), qui n’en donnent que plus de justesse à ce premier long-métrage au style organique et enfiévré, tourné en 4/3, le cadre des caméras télé de l’époque.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Entre portrait du reporter de guerre en gloire et réflexion sur la place d’un observateur en enfer, ce premier longmétrage du réalisateur canadien Guillaume de Fontenay cherche avec opiniâtreté la juste distance face à son fascinant sujet, des réponses convaincantes aux interrogations légitimes que suscite le scénario.
Première
par Thierry Chèze
Là où Lojkine avait tendance à s’éparpiller en multipliant les sujets, Guillaume de Fontenay va droit au but avec un récit à l’os, une réalisation sans forfanterie qui fait surgir la violence avec une brutalité parfois insoutenable qui sied à son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Idée passionnante au demeurant, réinvestir une personnalité aussi charismatique dans un contexte politique aussi trouble présentait un risque. De fait, le film semble vouloir traiter ces deux sujets (Marchand et le siège de Sarajevo) à égalité mais ne parvient à cerner aucun des deux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Fabien Baumann
Pourtant, en dépit du frisson d’effroi qui parcourt les cent minutes de pellicule, "Sympathie pour le diable" laisse souvent interdit. Malgré une rencontre amoureuse, malgré la trahison à la cause journalistique que commettra Marchand, le scénario navigue.
L'Express
Niels Schneider [...] trouve la juste mesure. A l'image du film, impressionnant d'authenticité, dont on sort secoué.
Le Dauphiné Libéré
Paul Marchand, le journaliste au cigare, à la personnalité forte et arrogante, c'est Niels Schneider, méconnaissable. Epoustouflant.
Le Figaro
Sympathie pour le diable retrace avec force le parcours de Paul Marchand, une figure du journalisme, couvrant le siège de Sarajevo en 1992.
Transfuge
[...] un film puissant et sans pathos sur un conflit que l’on n’avait jamais vu d’aussi près. Un film en forme de cri.
Télérama
Un récit bouleversant.
20 Minutes
Ce portrait d’un homme complexe fascine en faisant découvrir un métier passionnant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un film édifiant dans lequel Niels Schneider est un Paul Marchand rageur et entier.
Ecran Large
Sympathie pour le diable nous a totalement pris à revers, nous a bouleversés bien plus que nous ne le pensions. Plusieurs heures après sa projection, il nous hante et nous émeut encore. C'est bel et bien la marque des très grands films.
Franceinfo Culture
On croirait le réalisateur Guillaume de Fontenay embarqué dans le conflit au côté de Paul Marchand, comme s’il l’avait filmé en 1992.
L'Obs
La nervosité de la mise en scène, le cadre resserré au format carré et le tranchant du montage provoquent l’anxiété et la tension. Remarquable.
Le Parisien
Un film très fort, hyper-réaliste, indispensable.
Les Fiches du Cinéma
Adaptation du récit de Paul Marchand, correspondant de guerre haut en couleurs, ce film rend compte avec une grande justesse et d’empathie des terribles conditions de vie des habitants et des difficultés des journalistes durant le siège de Sarajevo.
Ouest France
Puissant avec des acteurs habités.
Paris Match
Le saisissant « Symapthie pour le diable» dresse le portrait du journaliste Paul Marchand pendant le siège de Sarajevo.
aVoir-aLire.com
À la fois sobre et percutant, ce premier long métrage est un bon film de guerre qui présente une approche semi-documentaire du siège de Sarajevo et offre son meilleur rôle à Niels Schneider.
La Croix
Ce film est un conte sur l’utilité, et l’inutilité, du métier de journaliste. Comme l’indique son titre, il est aussi une description de la sympathie que l’on peut avoir pour le « diable » : à Sarajevo, le diable est dans les bombes, les blessés et les morts. Il rend la vie exceptionnelle, excitante.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur canadien Guillaume de Fontenay ne cache rien des ambiguïtés et des transgressions du personnage (incarné par l’époustouflant Niels Schneider), qui n’en donnent que plus de justesse à ce premier long-métrage au style organique et enfiévré, tourné en 4/3, le cadre des caméras télé de l’époque.
Le Monde
Entre portrait du reporter de guerre en gloire et réflexion sur la place d’un observateur en enfer, ce premier longmétrage du réalisateur canadien Guillaume de Fontenay cherche avec opiniâtreté la juste distance face à son fascinant sujet, des réponses convaincantes aux interrogations légitimes que suscite le scénario.
Première
Là où Lojkine avait tendance à s’éparpiller en multipliant les sujets, Guillaume de Fontenay va droit au but avec un récit à l’os, une réalisation sans forfanterie qui fait surgir la violence avec une brutalité parfois insoutenable qui sied à son sujet.
Les Inrockuptibles
Idée passionnante au demeurant, réinvestir une personnalité aussi charismatique dans un contexte politique aussi trouble présentait un risque. De fait, le film semble vouloir traiter ces deux sujets (Marchand et le siège de Sarajevo) à égalité mais ne parvient à cerner aucun des deux.
Positif
Pourtant, en dépit du frisson d’effroi qui parcourt les cent minutes de pellicule, "Sympathie pour le diable" laisse souvent interdit. Malgré une rencontre amoureuse, malgré la trahison à la cause journalistique que commettra Marchand, le scénario navigue.