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    Le Grand Bal
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    Georges Evinrude
    Georges Evinrude

    3 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 mars 2024
    Film mièvre et très, très subjectif. On ne voit qu'un aspect du Festival de Gennetines, c'est réalisé d'une manière très subjective, très partisane alors que le Grand Bal, qui permet de vivre des émotions qu'on ne ressent nulle part ailleurs, n'est finalement que trop présenté sous un angle borderline.
    Dommage, l'idée de filmer ce festival lancé en 1990 paraissait intéressante mais au final nos attentes sont déçues, parce que la réalisatrice n'a pas compris ce qu'est réellement ce Festival.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 521 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 septembre 2021
    Gennetines en France est l'endroit où les gens vont pour danser et oublier leurs soucis pendant sept jours et sept nuits d'affilée. Non ce n'est pas une rave party avec de faux DJ et de la musique de Rap. C'est l'endroit où les groupes folkloriques traditionnels viennent du monde entier et jouent leurs airs uniques pour que l'âme des danseurs les embrasse. Les gens dansent avec leurs proches et des inconnus sans inhibition ce qui leurs donnent une joie de vivre et un véritable sentiment d'appartenance a un pays. La réalisatrice du documentaire Laetitia Carton capture parfaitement l'ambiance et le ton de ce festival de danse laissant ses longs plans observer la passion et la dévotion des participants. Il n'y a pas de narration juste des images simples mais efficaces accompagnées de quelques interviews et de réflexions sur la façon dont la danse élève l'esprit des gens. Outre les danses étonnantes c'est la musique traditionnelle du monde entier qui renforce les émotions joyeuses qu'elles procurent aux gens. C'est la preuve que la danse peut rassembler toutes les couches de la société et peut même résoudre nos problèmes mondiaux. La Grand Bal est un must de la danse avec des moments d'observation étonnants de personnes dans des états hypnotiques absorbées par la musique et emportées vers une époque d'antan qui ne reviendra peut-être jamais...
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 177 abonnés 7 496 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 février 2021
    Immersion au cœur d’un bal, mais pas n’importe lequel, puisqu’il s’agit du "Grand Bal de l'Europe", un festival de danse traditionnelle créé en 1990 et qui se tient chaque année dans l’Allier. Durant 15 jours et 14 nuits (depuis 2017 le festival se déroule sur 2 semaines, jusqu’en 2016, il durait une semaine et était scindé en deux festivals), les participants dansent jusqu’au bout de la nuit, faisant fi de la fatigue du corps et de l’esprit.

    Avec Le Grand Bal (2018), Laetitia Carton a posé sa caméra au sein du festival et a filmé pour nous ces longues nuits de danse, de joie et de bonheur. Comme totalement coupé du monde, ils donnent l’impression de vivre en autarcie et ne vivent plus que de la danse au fil des jours. Plus de 2000 personnes se retrouvent ainsi sur les différents parquets (il y a 8 scènes de danse) mis à disposition durant le festival, afin d’accueillir suffisamment de festivaliers et ainsi, avoir plusieurs bals en simultané. Ce qu’il y a de beau ici, c’est que l’on constate à quel point la danse est intergénérationnelle, toutes les catégories d’âges et tous les milieux s’y retrouvent et ce, à toutes heures du jour et de la nuit. Ces danseurs amateurs comme professionnels viennent de partout, on y parle plusieurs langues et viennent y vivre leur passion au grès des rencontres et des partenaires de danse.

    Scottish, cercle circassien, mazurka (danse polonaise), bourrée (danse auvergnate), pizzica (danse italienne), polka (danse slave), hanter dro (danse bretonne) en passant par des danses folkloriques (gavotte de l’Aven, congo des Landes, …), toutes les danses s’y retrouvent, qu’elles soient collectives, individuelles ou en couple, le lâcher-prise et le bonheur qu’ils en retirent s’en ressent constamment.

    Un moment de bonheur partagé en communion, en osmose avec chacun des participants et dont le leitmotiv est la danse sous toutes ses formes et toutes ses coutures. Laetitia Carton réalise ici un très beau documentaire et une invitation à voir autrement la danse, à la vivre et à la partager.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    VOSTTL
    VOSTTL

    94 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 septembre 2019
    Voilà un documentaire instructif. J’ignorai tout de cet évènement bien de chez nous ! Mais à bien y réfléchir, combien d’évènements insolites me sont totalement inconnus ? Je ne dois pas être le seul à me poser cette question. Comme je ne dois pas être le seul à avoir été ému. Rares sont les documentaires qui me touchent. Dès les premières images de danses ma gorge s’est serrée à ma grande surprise. Je n’en revenais pas de tout ce monde venu de France, de Navarre et d’Europe réunit pour communier une même passion : la danse. Ce n’est pas un festival de 7 jours et 8 nuit de défouloir, non, ce sont des danses ancrées dans la terre, celles qui font référence à la ruralité, à la tradition des ancêtres, danses de tous les territoires du monde. Danses qui aspirent et inspirent tous les âges ! Les danses du terroir pourraient concerner « des anciens » , non, j’ai été étonnement et agréablement surpris de voir des jeunes filles, des jeunes femmes et des jeunes hommes se mêler à des femmes et à des hommes mûrs, à des hommes et des femmes d’un certain âge ; et, au-delà de la France, concernés, séduits, happés, par ces musiques traditionnelles. La danse, c’est avant tout de la musique laquelle transporte et favorise la danse. La musique, ce sont des instruments et des musiciens. Dit comme ça, c’est enfoncer des portes ouvertes ; ce qui n’est pas le cas pour Laetitia Carton : « Danser, ce sont aussi des instruments, des musiques. Se réapproprier des choses d’hier, des pas, des mélodies, des chants des instruments. L’interaction entre les musiciens et les danseurs. » Et cela se voit sous l’oeil bienveillant et discret de la caméra de Laetitia Carton. Ça compte les pas, ça cherche le rythme, ça s’imprègne de la musique, d’une voix. Tous à l’unisson concentrés, appliqués, libérés, expérimentés, fébriles, assurés dansent d’un même pas, se confondent avec la musique que ce soit en groupe ou par couple. Laetitia Carton : « On tourne, on transpire, on rit, on pleure on compte les pas, on chante, on se sent seul, on virevolte, on lâche, on attend, on s’agace, on joue, on devient fou. Raconter les regards, l’agilité et la simplicité des expérimentés, les lâcher-prise, les libertés que l’on prend, la folie douce, la grande humanité qui défile, la joie qui illumine les visages, les attentes sur les chaises, l’amour qui naît, la fatigue qui tombe, les liens qui resserrent et qui font tenir debout, quand on ose enfin se toucher, quand on se regarde, quand on vit vraiment ensemble et que la vie pulse. « La grande humanité » nous dit dans ce tourbillon de mots la réalisatrice de sa voix chaleureuse. Il y a une séquence où tout un groupe est concerné, concentré, presque en transe, les uns serrés contre les autres, continue ad libitum la chanson, decrescendo, alors que les deux musiciens avaient fini - il me semble -, leur chanson en fondu ; face à cette vague humaine qui ne lâche pas, les musiciens reprennent leurs notes, les dernières, comme pour sortir le groupe de sa torpeur. Cette séquence donnait un sens à "cette grande humanité". Dans ce microcosme qui a ses codes et dont le langage se veut universel, on peut trouver des hommes et des femmes qui restent sur la touche, parce que timides, parce qu’inexpérimentés. Mais tous sont liés, connectés. Un témoin nous dit : « Une connexion qui est liée à l’envie de vivre ». Oui, la danse c’est la vie, c’est un mouvement et le mouvement est la vie. Touchantes sont les interventions butinées ici ou là par la caméra, comme cette jeune femme qui nous dit qu’elle aime changer de partenaires car danser avec le même serait synonyme d’ennui ; une autre qui nous dit qu’un homme l’avait invité à danser mais comme elle ne maîtrisait pas la polka, il s’est retiré ; à sa grande surprise, selon elle, il a mal interprété sa réponse : le danseur a pensé qu’elle ne savait pas danser et non qu’elle voulait danser. Enfin pour conclure, cet autre témoignage d’une femme : « Ce côté éphémère, ça crée une poésie, je trouve ça beau. ». Merci à Laetitia Carton pour ce documentaire en effet poétique et surprenant. 
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 24 août 2019
    Dommage, pas d'image sur les danses d'Alsace alors qu'elles sont présentes lors du Grand Bal chaque année avec de multiples bals et ateliers à chaque festival.
    Laetitia Carton avait pourtant fait de la place à toutes les autres danses des régions de France dans SON film.
    Yvette F.
    Yvette F.

    8 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 juin 2019
    Très mauvais reportage qui doit "plaire" uniquement à celles et ceux qui pratiquent ce genre de "danse" de "défonce" .
    Très nian nian, ne donne pas du tout envie de rejoindre ce type de séminaire, déjanté.
    Danser dans les bals, ça oui toute ma jeunesse j'ai dansé et appris avec mes parents, entre copines, copains ...
    Dommage la danse en couple est très sensuelle, très gracieuse, rien à voir avec ce que présente ce documentaire c'est "moche", pas d'esthétique, c'est du n'importe quoi.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 9 juin 2019
    Je suis allé voir ce film pour combler une après midi pluvieuse et aussi pour en savoir un peu plus sur ce grand bal car aimant danser je me sentais tentée d'y participer à la prochaine session et bien je suis mitigée car cela m'a mis mal à l'aise parfois j'ai trouvé certaines scènes trop longues j'aurais aimé plus de témoignages et l'ambiance un peu trop babacool m'a fait réfléchir pourtant j'ai déjà participé à des initiations à la danse traditionnelle et j'avais fort apprécié
    velocio
    velocio

    1 299 abonnés 3 134 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mai 2019
    Depuis 1990, un évènement exceptionnel se déroule chaque année, au cœur de l’été, à Gennetines, un petit village situé à 10 kilomètres au nord-est de Moulins. Le nom de cet évènement : Le grand bal de l’Europe. Sa nature : des gens de tout âge et de tous milieux sociaux viennent par milliers de toute l’Europe pour danser plusieurs jours et plusieurs nuits durant au son de formations de musiques traditionnelles. Depuis plusieurs années, la réalisatrice de documentaires Laetitia Carton avait pris l’habitude de fréquenter cette manifestation lorsque, en 2015, elle a décidé, en accord avec Bernard Coclet, son créateur, de porter une édition à l’écran. En 2016, deux équipes de tournage se sont donc relayées pour couvrir 24 heures sur 24 les 8 jours du Grand Bal de Gennetines. La récolte : 200 heures de rushs.

    Le montage du film a été un exercice difficile, Laetitia Carton et Rodolphe Molla, le monteur, devant faire des choix douloureux pour arriver à une durée raisonnable pour un film de ce genre. En mai 2018, heureuse surprise : le film est retenu dans la sélection officielle du Festival de Cannes, dans le cadre du Cinéma de la plage. Une projection suivie d’un véritable bal traditionnel avec des groupes de musiciens du film. Près de 1000 personnes dansant jusqu’à 2 heures du matin sur la plage de la Croisette, dont « l’équipe d’un film chinois, tous en smoking et robe de soirée, les escarpins à la main, les pieds nus dans le sable, en train de danser un rondeau des Landes », se souvient avec émotion la réalisatrice.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 3 mai 2019
    Ce film, au dispositif tout simple, est d'une grande richesse et témoigne de toute la complexité de ce qui se joue en nous, chez nous, entre nous dans ces moments de bonheur partagés où l'on danse ensemble.
    C'est bien ce terme qui me vient le plus à l'esprit quand je repense à ce film : ensemble, dans toute la singularité des différences, des enjeux ou des motivations, c'est ce qui se joue dans ce bal étonnant.
    Un beau témoignage d'humanité sur un bel événement.
    Ici, rien de prétentieux, mais beaucoup de justesse et de finesse assorties d'un regard qui, bien que toujours bienveillants, ne tombe jamais dans l'angélisme.
    Un beau documentaire. Et bien davantage. Merci !

    Si vous souhaitez sourire, rêver et avoir matière à penser, ne manquez pas cette occasion.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 27 janvier 2019
    Ayant toujours vécu dans l'Allier, j'ai parfois entendu parler de ce bal sans jamais y être allé. Je suis donc venu voir ce docu avec un esprit curieux et une question en tête : qu'est-ce qui peut bien pousser ces gens à passer une semaine entière dans ces conditions spartiates ? L'amour de la musique et de la danse incontestablement,les rencontres certainement, mais peut-être davantage : une sorte d'expérience mystique voire spirituelle. Or, je reste sur ma faim et avec mes questions : j'ai vu beaucoup de danses, de bien jolies femmes, mais j'ai trouvé que ce film restait trop sur cet aspect '' descriptif ''. Les conversations des participants au sujet de la danse, leurs pratiques, leurs goûts sont intéressantes, mais j'aurais aimé qu'elles s'élèvent vers leurs motivations profondes. Les réflexions personnelles de la réalisatrice vont dans ce sens et sont fort intéressantes avec une très belle conclusion, mais j'aurais aimé qu'elle confronte son ressenti avec celui de quelques participants. De même j'aurais aimé savoir si des amitiés durables voire des relations amoureuses se créaient au-delà de l'éphémère évoqué par une danseuse.. Reste malgré tout de très belles images, d'un bal sans doute un peu idéalisé au montage ( Laetitia Carton évoque des pleurs et sûrement des tensions inévitables), mais dont les habitués peuvent je pense retrouver avec joie l'ambiance, et les images d'ouverture sont magnifiques avec ce paysage d'Auvergne ou du Bourbonnais recouvert de givre.
    Leclerc P
    Leclerc P

    14 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 décembre 2018
    La communion des âmes et des corps, le sourire, témoin du bonheur que procure la joie de danser jusqu au bout de la nuit, l érotisme de la danse en couple, l effet de transe de la danse en groupe de cent ou plus, bref un documentaire qui donne envie de retourner au bal, au dance floor et qui rappelle la peur de rester oubliée sur une chaise lors des boums de notre adolescence....
    Yves G.
    Yves G.

    1 455 abonnés 3 482 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 novembre 2018
    Chaque année depuis 1990, le Grand Bal de l'Europe réunit à Gennetines dans l'Allier pendant deux semaines des milliers de participants de tous âges et de tous milieux. Durant la journée, ils apprennent en atelier la technique des danses traditionnelles : polka, mazurka, bourrée, gavotte, quadrille... Le soir c'est le grand bal qui les réunit tous dans des virevoltes qui durent jusqu'à l'aube.
    Laetitia Carton, une habituée du festival, les a filmés.

    Il y aurait eu bien des façons de filmer ce Grand Bal. L'une aurait été d'en raconter l'histoire en interviewant les organisateurs de la manifestation et en questionnant leur entreprise. L'autre aurait été d'en faire la sociologie, afin d'insister sur sa mixité sociale ou au contraire de souligner telle ou telle surreprésentation. Un autre angle d'approche encore, celui de l'héroïsation, aurait été de s'inscrire dans les pas d'un ou deux participants - comme Guillaume Brac l'a fait dans "L'Île au trésor" pour nous faire découvrir l'Île de loisirs de Cergy-Pontoise.

    Le parti pris de Laetitia Carton est plus audacieux. Elle ne s'adresse ni à notre raison ni à notre cœur mais à notre sensualité. Elle choisit de ne rien nous expliquer mais de nous faire ressentir intimement la transe de la danse. Elle y réussit admirablement en plaçant sa caméra au centre de la piste de danse. Depuis ce poste d'observation privilégié, nous sommes immergés dans la danse, noyés dans sa musique, submergés par son mouvement.

    "Le Grand Bal" nous fait partager le sentiment de plénitude, d'épanouissement que ressentent les danseurs. Peu importe leur origine sociale, leur âge, leur sexe et même leur aptitude à la danse, tous semblent atteindre - et nous avec eux - une forme d'extase chamanique.

    Le film n'est pas seulement poétique. Il est aussi politique. Car ce Woodstock à l'envers propose une autre relation au corps, au besoin de toucher et d'être touché délesté de toute violence érotique, aux relations entre les sexes, au rapport au temps qui semble se dilater jusqu'au bout de la nuit dans les "bœufs" qui prolongent les bals.

    Les images sont accompagnées de la voix off de la réalisatrice qui lit des textes d'une fulgurante beauté. Je lis ici ou là qu'elle serait inutilement démonstrative. Je l'ai trouvée au contraire parfaitement adaptée.

    Sans doute, on pourrait reprocher à ce "Grand Bal" de n'avoir ni début ni fin, de durer un chouïa trop longtemps, en un mot, de tourner en rond comme ses danseurs. Mais la critique serait bien mesquine pour un documentaire si délicat, si souriant, si euphorisant.
    Alain M.
    Alain M.

    1 abonné 10 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 novembre 2018
    Incroyable, un documentaire d'une puissance émotionnante sur un festival assez discret, permettant chaque année à plus de 2000 festivaliers, de vivre avec leur corps et leur esprit la symbiose entre eux et dans les danses et les musiques les plus diverses.
    Festival exceptionnel ne serait ce que par l'implication de tous les participants ... qui sont les acteurs du festival !
    3 facettes impressionnantes dans ce film : narration voie off par la réalisatrice de sa propre découverte de la danse qui est au centre de sa vie depuis son très jeune age ; témoignages et images poignants du vécu de certains des festivaliers de tous ages et horizons; très beaux textes en voie off sur la magie et les effets de la danse sur les corps et les esprits, moments uniques de rapprochements et contacts physiques entre humains qui ne se connaissent souvent pas mais vont se découvrir et s'harmoniser pour quelques instants éphémères ...
    Difficile de rester immobile sur son siège pendant le film, et en sortant de la salle ... on s'envole littéralement !
    Paul F.
    Paul F.

    12 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 novembre 2018
    Si vous cherchez un bon petit film, le voici. Inutile de lire les critiques pour savoir si ce film/docu vous convient. C’est un petit bijou de bonheur qui vous transportera de joie du début à la fin. On ressort en dansant !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 novembre 2018
    Fan de danses traditionnelles et pratiquant un peu, je ne pouvais pas manquer ce film. Il m'a permis de découvrir une manifestation que je connaissais de nom, mais dont j'ignorais le déroulement. Plus qu'un festival ordinaire, c'est en effet bien un grand bal : dans la journée, on s'initie, le soir on danse (chacun fait son choix dans ce qui est proposé).
    Le film s'intéresse surtout à l'ambiance , et aux motivations des participants. De nombreux sujets sont évoqués, qui vont au-delà de la pratique de la danse, comme l'évolution des rapports hommes/ femmes (NB film tourné en 2016, bien avant le mouvement #metoo).
    Seule frustration ( pour les amateurs de danse): le film est un documentaire sur ce Bal, mais pas sur les danses . Il passe d'une danse à une autre sans toujours les nommer (sauf dans la séquence sur la pizzica et celle sur la bourrée accompagnée à la voix ). Il y en a dont j'aurais bien aimé savoir ce que c'était (NB merci à celui ou celle qui parle dans sa critique du congo des Landes, je ne trouvais plus le nom). Le générique cite les musiques, mais pas toutes, il me semble.
    Par contre, le film ne devrait pas rebuter les profanes en la matière. Il est avant tout un documentaire sur une expérience collective. il donnera peut-être à certains l'envie de se rendre dans un bal folk (enfin, j'espère)...
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