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    Crawl
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    495 critiques spectateurs

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    Clint B
    Clint B

    51 abonnés 280 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 septembre 2019
    Du pur kif. Un bon exemple de vrai "entertainment" horrifique, typé années 80/début 90, avec justement les réals de Raimi (ici producteur) Craven, Zemeckis et autres Maîtres du genre. Aja est de ceux la, et même si Crawl a des défauts, on passe un vrai bon moment de Cinoche, sans rien avoir à comprendre, juste profiter d'1h30 de tension et d'action. Et ça fait du bien parfois.
    Ricco92
    Ricco92

    225 abonnés 2 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juillet 2019
    Après le succès de Piranha 3-D, Alexandre Aja revient aux films d’animaux sous-marins avec Crawl. Cette fois, nous ne sommes plus face à des piranhas mais à des alligators qui plus est associés à un ouragan. Mais là, où le film de 2010 jouait beaucoup sur l’aspect comique, cette fois, le cinéaste cherche surtout à faire peur et y arrive (seuls quelques petits passages provoquent le rire par leur aspect exagéré et attendu). Ainsi, malgré un scénario qui n’est pas exempt de clichés, il fait une nouvelle fois preuve de son talent à créer l’angoisse jouant aussi bien sur le suspense que les jump scares (qui ne sont pas utilisés abusivement). Servi par deux acteurs principaux très bons (Kaya Scodelario et Barry Pepper), Crawl est donc un bon retour en salles du réalisateur (La Neuvième Vie de Louis Drax n’est sorti qu’en VOD et en DVD) qui nous offre une série B qui plaira à tous les amateurs du genre.
    RealPrime
    RealPrime

    84 abonnés 1 748 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 août 2019
    Mêlant horreur, survie et catastrophe, c'est avec un plaisir immense que je retrouve Kaya découvert dans la trilogie "Le labyrinthe" puis en principal rôle féminin dans le dernier connu des "Pirates des Caraïbes". Démarrant en trombe avec pour ouverture la piscine municipale ou les jeunes femmes s'entraînent dont elle-même dans un climat très bon, puis la tempête qui arrive à grand pas pour nous faire frissonner. Les effets numériques sont d'ailleurs excellents et l'on distingue, du moins, je distingue de mieux en mieux en mieux la très nette différence de qualité entre chaque visuel. Chaque société de production choisissant ses propres contact pour offrir plus ou moins du bon, ou très mauvais. Mais en ce qui concerne la Paramount, jamais j'aurais pu être déçu du résultat. Nos acteurs sont impeccables, sincères, réactions à souhait, hurlement et crainte à gogo superbement gérer, spoiler: un huit clos qui ne cesse d'être en mouvement puisque, malgré tous, bon nombre de film film entre 4 mur seulement m'ont très bien largement ennuyer à mort, celui-ci n'en fera pas partie. Puis nos animaux de compagnie, bah non d'un chien si j'avais pas su qu'ils étaient faut j'aurais jurer leur vraie nature. Paramount sait gérer niveau visuel pour nous livrer du vrai show, du photo réalisme saisissant pour des instants monstres.
    Des fonds musicaux stressant mais géniaux, effets sonores géniaux, acteurs géniaux. La grande scènes en extérieur avec cet environnement aquatique infernal superbement filmer et numériquement dantesque. Une photo démente rappelant avec brio les énormes films d'horreur. Le grand final aura lui été également dément, mais je déplore un seul bémol, c'est pourquoi 4,5/5, pas assez de crocos en total délire, un peu plus aurait été encore plus magistral. Mais il est réellement vrai que le côté thriller fut très bien exploité au lieu du côté horreur bourrique et qui donne mal à la tête. Aja y est parfaitement arriver, et son casting également.
    RedArrow
    RedArrow

    1 668 abonnés 1 529 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 juillet 2019
    On avait quitté Alexandre Aja en train d'élargir son approche de l'horreur à d'autres sous-catégories du genre comme la grosse potacherie gore ("Piranhas 3D") et la surface angélique du conte ou du drame fantastique pour explorer les recoins les plus tortueux de l'esprit humain ("Horns" et "La Neuvième Vie de Louis Drax"). Mais trois ans après son dernier long-métrage, c'est bel et bien un retour aux sources du premier degré horrifique ayant fait sa renommée que nous propose le cinéaste français toujours expatrié aux USA ! Alors, certes, il part patauger à nouveau avec des créatures aquatiques comme lors de son escapade en compagnie d'Elie Roth et de ses piranhas mais point ici de pochade aux allures de "Crocnado" (avouez que l'on y a tous pensé à la lecture du pitch) mais bien un survival pur et dur où une jeune nageuse et son père se retrouvent coincés dans leur maison en plein ouragan et en compagnie d'une tripotée d'alligators affamés ! Bref, voir Alexandre Aja revenir à une approche si simple et frontale de son cinéma était déjà une promesse en soi pour satisfaire notre soif de films de monstres marins finalement plus si nombreux à sortir sur grand écran...

    Soyons honnêtes, dans ce genre de film, on est toujours prêt à accepter d'avaler quelques couleuvres scénaristiques à condition que l'efficacité et les frissons soient au rendez-vous. Seulement, quand celles-ci deviennent tellement nombreuses au point d'annihiler toutes ces qualités que l'on y était venu chercher, le résultat ne peut qu'engendrer une immense déception et c'est hélas exactement le cas de figure dans lequel se trouve "Crawl".
    Pourtant, des couleuvres, on était effectivement disposé à en gober un certain nombre comme avec ces alligators échappés d'une ferme d'élevage voisine -et donc relativement "domestiqués" en instinct de prédation- mais qui, avant de rejoindre la maison de l'héroïne et son père, sont sans doute tombés sur une cargaison de cocaïne abandonnée pour devenir complètement enragés. On s'en fichait même un peu à vrai dire tant que les reptiles étaient mis en valeur et prêts à croquer tout ce qui passait sous leurs museaux, on était même content et, là-dessus, au moins, "Crawl" ne décevra pas ! Les alligators seront véritablement acharnés et tellement généreux dans leurs tentatives de planter leurs dents dans les humains du film que l'on sera assez rapidement de leur côté...

    Car, oui, pour le reste, "Crawl" va faire un carton plein d'âneries et de facilités en termes de mise en scène, de péripéties inutiles et du traitement de ses personnages.
    spoiler: Prenons simplement le décor de la majorité du film, les fondations de l'ancienne maison familiale. Au début, l'héroïne y arrive en rampant quasiment ventre à terre. Ensuite, lorsqu'elle doit y traîner un "poids lourd", à l'exact même endroit, on la retrouve presque debout (?). Et finalement, quand les intempéries dégénèrent, les lieux donnent carrément l'impression d'être un bassin olympique (???). Niveau gestion de l'espace, "Crawl" évolue par coups de baguette magique absolument ahurissants que l'on n'attendait pas d'un réalisateur habituellement attentif à ce genre de détails par souci de s'ancrer dans le réel ! Mais, soit, disons que ça passe encore... Toutefois, que dire alors d'une héroïne qui va gentiment passer un coup de fil devant les yeux d'un alligator alors qu'elle pourrait le faire dans l'abri de fortune d'où elle venait ? Que penser d'une discussion sentimentale père-fille interminable (et dont on se contrefiche) tombant comme une écaille sur la soupe en plein milieu du long-métrage ? Quelle tête faire devant des marques de morsures se transformant en égratignures en en attendant de nouvelles (les deux personnages principaux ont indéniablement des capacités régénérantes de lézard) ? Comment ne pas rire devant les héros faisant n'importe quoi pour gagner une demi-heure de film alors qu'ils auraient pu rejoindre l'endroit où ils se trouvent à la fin au bout d'à peine une heure ?... Bref, on ne citera pas tout le catalogue d'inepties dont "Crawl" semble raffoler dans sa progression mais reconnaissez que ça en fait déjà beaucoup pour accorder une once de crédibilité qui devrait être justement inhérente au réalisme d'une approche si premier degré. Et on préférera s'abstenir de tout commentaire sur l'imagerie clin d'oeil à une certaine saga pleine de xénomorphes à travers l'iconisation de l'héroïne ou l'environnement des alligators qui nous rappelle involontairement que l'on est effectivement à des années-lumières d'un survival de cette qualité...


    Heureusement donc que ces alligators ont une fringale de tous les diables et que les acteurs principaux (Kaya Scodelario et Barry Pepper) se démènent tant qu'ils peuvent malgré le ridicule des situations à jouer car, sans tout ce petit monde, "Crawl" coulerait la tête première dans la fosse sceptique de sa maison. On a beau adorer Alexandre Aja et n'avoir été que très peu déçu par sa filmographie jusque-là, force est de constater qu'il nous a pondu un magnifique "touché, crawlé" !
    nadège P.
    nadège P.

    132 abonnés 538 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 juillet 2019
    En cette période estivale, voilà un film de survie vraiment sympa !
    C'est court, c'est net, on passe un excellent moment de divertissement, c'est tout ce qu'on demande.
    On est scotchés par cette tempête, cette attaque d'alligators.
    C'est assez époustouflant et tant pis pour les éternels grincheux !!!
    Hammerstorm
    Hammerstorm

    71 abonnés 601 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 juillet 2019
    Crawl c'est un film dans lequel il est plus efficace de tuer un alligator à coup de pelles plutôt qu'avec un flingue. Où les personnages pensent qu'il est préférable de traverser une eau infestée d'alligators plutôt que de se réfugier sur un toit. C'est également un film dans lequel les morsures d'alligator n'ont aucun effet. Les réactions des personnages sont insensées. Le scénario est farfelu et ne sert qu'à rallonger artificiellement la durée du film. C'est mauvais à tout les niveaux au point que ca en devient drôle. Au bout d'un moment le film devient tellement ridicule que ca en devient hilarant. C'est d'ailleurs ce qui sauve le film, son côté nanardesque. En résumé Crawl c'est mauvais mais c'est drôle.
    legend13
    legend13

    247 abonnés 1 054 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 novembre 2019
    Un thriller aquatique réussi et abouti. Rien de bien innovant bien sûr et de la part de Alexandre Aja on est en droit d'attendre à quelque chose de plus fou, de plus gore. Mais bon j'ai trouvé le concept très sympa et au final le film est plutôt réussi. Mais pour les frissons faudra repasser.
    Hollywood-Biographer
    Hollywood-Biographer

    202 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 septembre 2019
    Avec "Crawl", Alexandre AJA signe son retour avec une série B efficace. Il y a de beaux effets-spéciaux mais ce thriller horrifique mettant en scène des alligators se révèle assez prévisible dans l'ensemble et cela nuit au suspense du film. C'est cousu de fil blanc et ça manque de tension.
    patosud26
    patosud26

    105 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 juillet 2019
    Bonne ou mauvaise, le film n'offre aucune surprise. On comprend rapidement que le père et la fille vont s'en tirer et que tous ceux qui traînent aux alentours et pourraient potentiellement les aider, vont mourir. Et c'est exactement comme ça que ça se passe, parce que c'est un film d'horreur et donc, il faut bien quelques morts, mais pas papounet ou sa fifille, je pense que l'âme sensible d'Aja ne s'en remettrait pas. Il y a également aucune crédibilité dans les attaques de crocodiles. Il faut savoir que cet animal à la mâchoire la plus puissante de la planète, avec plus de mille kilos de pression par morsure. Alors autant dire que si elle se referme sur ma main, il n'y a plus de main ou sur mon épaule, il n'y a plus d'épaule. Mais dans ce film, la mâchoire du crocodile, à la puissance de celle d'un chihuahua et encore un chihuahua âgé. Même les scènes d'apnée ou encore la scène du massage cardiaque et du bouche à bouche sont mal faites. Il est temps pour Aja de prendre une petite initiation aux gestes de premiers secours, car la, ça frole le ridicule. Les effets spéciaux sont bof, le jeu des acteurs bof, le seul perso sympa, c'est le chien. Un gros gros navet !
    selenie
    selenie

    6 256 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juillet 2019
    Les décors sont réalistes pour une immersion impressionnante dans l'ouragan. Mais le plus fort reste les alligators, qui ont d'abord avaler 1/3 du budget de 17 millions de dollars ! On tique tant le film est à contrario trop peu vraisemblable. En effet, dans le film les alligators semblent avoir peur de la terre ferme, qu'on est étonné de la solidité d'une simple porte de douche et qu'on est encore plus étonné de supposer que l'héroïne a sûrement des os en titane !!! Mais heureusement on ne s'ennuie pas une seconde sur ce survival bien foutu et divertissant. Malheureusement les invraisemblances en font une énième série B dans la veine de "Lake Placid" (1999) et "Solitaire" (2007)
    Site : Selenie
    Audrey L
    Audrey L

    639 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 août 2019
    Alexandre Aja s'amuse avec les crocos...et nous aussi. Bien entendu, le film est bourré d'incohérences et de facilités ( spoiler: on dirait qu'une jambe cassée ou un bras mutilé ne gênent pas, la décision irrationnelle d'aller jusqu'au bateau alors qu'on pense de suite à monter sur le toit.
    ..), mais les quelques sursauts sont intelligents, les alligators sont vraiment effrayants et surtout l'ironie d'Aja nous fait mourir...de rire. Une figurine de requin tueur, un panneau "Danger Alligators" ou des gens qui se font manger en arrière-plan sans que le personnage ne les voie, Aja a clairement la bêtise et s'éclate à parsemer d'humour (glauque) son film d'épouvante. Le final nous laisse sur notre faim (un peu abrupt), et on est assez indulgents avec les grosses ficelles du scénario, mais on ne s'ennuie pas car le film est assez court et intense. Les acteurs sont bons, et quelques plans sont mêmes somptueux (le démarrage est particulièrement bien filmé). Un film d'épouvante assez sympathique, bien que parfois peu crédible, qui vaut surtout pour l'ironie glauque d'Aja, horriblement drôle.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 juillet 2019
    Le nanar de l'été ! Un cyclone avec des vents de plus de 200 km/h et pas un cheveux qui bouge, des personnes que le fameux cyclone n'empêche pas de tenir debout ... des hélicoptères qui volent en plein cyclone ...
    Ça n'a ni queue ni tête , on s'ennuie ferme car il n'y aucune surprise. N'importe quel môme de 12 ans aurait pu écrire ce soi-disant scénario ! Chaque scène est prévisible , de la première à la dernière .

    Comment autant de critiques ont - ils pu aussi bien noter ce "film" ??????
    zorro50
    zorro50

    115 abonnés 249 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juillet 2019
    Le scénario est on ne peut plus basique mais çà fonctionne plutôt bien parce que les effets spéciaux sont réussis et que les alligators sont plus vrais que nature. L’ensemble est très impressionnant et les amateurs de sensations fortes seront comblés
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    413 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 août 2019
    Crawl se révèle une grande réussite avec des effets spéciaux invisibles et un vrai sens du montage et du cadrage. Bien entendu le film n’est pas exempt de défauts. Entre autres, on regrette la grande profusion de « jump scare »... et son lot de clichés, même si fort heureusement, Alexandre Aja joue généralement plutôt adroitement avec eux.
    Stephenballade
    Stephenballade

    397 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 août 2019
    Assurément un très bon divertissement signé Alexandre Aja. Et uniquement un bon divertissement. Parce que malgré lui, le spectateur va se trouver pris dans la tourmente dessinée par l’intrigue et ressentir par moments un suspense parfois insoutenable, l’amenant fatalement à sursauter sur quelques jump scares. Car quoi qu’on en dise, "Crawl" se révèle efficace. Très efficace. Pourtant le film est de courte durée (88 minutes, génériques compris), mais il est clair, net et… concis. Ahaaa vous attendiez « précis » hein ? Hé bien non. Je ne peux prononcer ce mot en raison de quelques incohérences dont je parlerai un peu plus loin. Pour tout dire, l’entame ne laisse rien présager de ces défauts car la mise en place du contexte est bonne et se permet le luxe de prendre le temps de démarrer malgré la faible longueur de l’œuvre. Mieux, tous les éléments sont réunis avec méthode et précision. Des petits détails qui peuvent paraître insignifiants comme certains accessoires, mais dont l’importance future est soulignée par la caméra du cinéaste. Rien de superflu donc. On nous amène en Floride, une région de temps en temps balayée par des cyclones. Ben justement, un ouragan menace de ravager la région, une personne demeure injoignable, des agents de police s’évertuent à boucler la zone, et tout cela à proximité d’une attraction qui en temps normal attire la curiosité des gens. Dans ces conditions, il n’est pas très difficile de deviner ce qu’il va se passer, surtout quand on sait qu’un tel événement climatique peut envoyer l’équivalent de plusieurs années de pluie en l’espace de quelques dizaines d’heure. Mais heureusement, le tout est suffisamment bien ficelé, avec en prime une bonne musique qui contribue à mettre le spectateur dans le bain jusqu’au cou en renforçant le côté anxiogène. Mais surtout, on a là une excellente prestation de Kaya Scoledario, laquelle devient du même coup le principal atout du film, éclaboussant de tout son talent les vilaines bébêtes. Evidemment, le spectateur peut profiter pleinement de ce spectacle offert par cette sorte de huis clos, à condition de ne pas être puriste. Encore que même sans être puriste, il sera difficile de ne pas relever des énormités : difficile d’admettre qu’un tel animal soit dans l’incapacité de casser une simple paroi de douche ! Ou que le simple support de savonnette puisse supporter le poids d’un être humain. Bon je ne vais pas citer toutes les incohérences car il y en a quand même pas mal. Elles restent néanmoins regrettables dans le sens que cette multitude de petites choses qui ne coulent pas de source nuise à la qualité de ce qui aurait pu être un long métrage majeur du genre et crée des remous dans la satisfaction du public. "Crawl" reste malgré tout un ouragan cinématographique particulièrement mordant, étonnamment sans images trop gores.
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