Note moyenne
3,4
31 titres de presse
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Ouest France
On le sait depuis ses remakes réussis de La Colline a des yeux et Piranhas 3D, Alexandre Aja est passé maître dans l'art de l'horreur aussi angoissante que ludique. Crawl fait montre de la même efficacité (...).
20 Minutes
Cette production de Sam Raimi renoue gaillardement avec les séries B horrifiques des années 1980.
Bande à part
Le nouveau film d’Alexandre Aja, émérite réalisateur de "Haute Tension" ou "La colline a des yeux", est un huis clos parfaitement maîtrisé, entre slasher et horreur pure avec des bestioles, dans la droite lignée des classiques, de "Jaws" à son propre "Piranha 3D".
CinemaTeaser
Du divertissement dans les règles de l'art.
Closer
Avec cette sorte des Dents de la mer des alligators, Alexandre Aja signe de nouveau un thriller horrifique à souhait !
Ecran Large
Programmatique et cousu de fil blanc, "Crawl" est une série B à l'ancienne souvent irrésistible. Alexandre Aja y injecte tout son savoir-faire, et transforme ce petit plaisir de survival en grand huit viandard, délectable de suspense et de brutalité.
Elle
A la fois drôle et efficace, un film catastrophe aux effets spéciaux très réussis (...).
L'Ecran Fantastique
[...] rollercoaster étourdissant et étouffant [...].
L'Ecran Fantastique
[...] une fois encore, Alexandre Aja s'empare du sujet avec une efficacité qui force le respect.
Le Dauphiné Libéré
Un vrai bon film d'épouvante.
Le Figaro
Aja, revenu au meilleur de sa forme, sert un divertissement primal, cru, violent, mais sacrément réjouissant.
Le Journal du Dimanche
Produit par Sam Raimi (Evil Dead), un spectacle intense, terrifiant et ingénieux, d'une incroyable générosité envers le public amateur de sensations fortes.
Le Parisien
Très bonne surprise que ce petit thriller intense.
Libération
Du film-concept, ennuyeux et cohérent qu’il aurait pu se contenter d’être, il finit en série B forcenée.
Mad Movies
Ne vous y trompez pas : malgré son appartenance à un sous-genre souvent négligé, "Crawl" est une petite bombe incarnée et généreuse qui [...] devrait se bonifier avec le temps.
Positif
La promesse du spectacle est pleinement tenue.
Première
Crawl est le film de genre qui arrive au meilleur moment : on ne le savait pas, mais on crevait d’envie de le voir.
Télé Loisirs
Un film de survie anxiogène et d'une redoutable efficacité.
Télé Loisirs
Prodige du cinéma de genre à tendance gore , Alexandre Aja signe un survival anxiogène d’une redoutable efficacité.
Voici
Un suspense ultra prenant, parfait pour la saison estivale !
Franceinfo Culture
Alexandre Aja sait doser ses effets, entre l’attachement que l’on voue à ses personnages, le suspense et l’horreur.
L'Obs
Au rayon "séries B du samedi soir", Crawl représente le haut du panier.
La Voix du Nord
Réjouissant, haletant et pas prise de tête. Alexandre Aja s’amuse et nous aussi !
Le Journal du Geek
Archétype du film habituellement vilipendé par les critiques, Crawl s'en sort pourtant bien mieux que prévu. Il parvient à divertir sans tricher pendant une heure et demi de stress honnête, là où il aurait été facile d'en faire une coquille vide déjà vue mille fois.
Critikat.com
Si Crawl est en cela un film pris à son propre jeu, la déception tient surtout à une certaine indolence de l’écriture, qui dessine d’astucieuses idées néanmoins inexplicablement laissées en friche.
L'Express
Bref, cela a beau être très bien mis en scène (le Frenchie sait faire, on vous dit !), aucun écueil du genre n'est évité. Dommage.
Le Monde
Crawl cherche à retrouver la dimension feuilletonesque des petites productions de série B d’horreur, mais est alourdi par des clichés psychologiques.
Les Fiches du Cinéma
Renouant avec le survival, Aja met en échec son savoir-faire et ses idées de mise en scène en leur préférant un scénario risible.
Les Inrockuptibles
Sans être raté, "Crawl" apparaît d'abord comme une occasion manquée.
Cahiers du Cinéma
L’absence de mise en scène, les invraisemblances d’intrigue ou de raccord, et les roulés-boulés dignes d’un nanar de Bruno Mattei, n’ont même pas l’argument du second degré pour sauver d’une improbable poésie ce curieux pudding.
Télérama
En quinze ans de carrière à Hollywood, le Français Alexandre Aja a signé deux excellents remakes de classiques du cinéma d’épouvante et, hélas, pas grand-chose d’autre. L’accablant Crawl s’ajoute à la demi-douzaine de films d’horreur écrits et/ou réalisés par ses soins et à la chaîne.