Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dans son premier film, le cinéaste chypriote Marios Piperides met en scène une farce impertinente sur les obsessions identitaires qui hantent son pays natal. Cette comédie ne respecte rien ni personne. Tant mieux !
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Émilie Chassevant
Entre comique et absurde, ce film sympathique révèle l’inextricable situation de Chypre.
Culturopoing.com
par Jean-Nicolas Schoeser
L’absurde s’y teinte d’un désenchantement tragique, que les pantomimes veulent masquer : la notion de territoire, d’identité, de frontières. Rire plutôt qu’en pleurer, semble dire Marios Piperides, puisque chacun a ses raisons.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Le film peine à tenir la longueur mais il distille une sympathie rafraîchissante, démontrant par ses situations cocasses et ses personnages décalés que la légèreté reste une arme efficace lorsqu'on cible des sujets dramatiques.
Libération
par Didier Péron
Ce premier long métrage, sympathique mais bancal, est entièrement hanté par une espèce d’agitation vaine dans un labyrinthe où des personnages coincés dans un petit espace s’en disputent la prérogative tout en rêvant tous de s’en défaire et d’aller voir ailleurs si l’air est plus respirable.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Sympathique comédie qui se perd un peu dans des péripéties annexes, "Where is Jimi Hendrix ?" a pour principal atout le contexte kafkaïenne de son décor, l'île de Chypre [...].
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Marie Sauvion
Ce meilleur atout de ce premier film, c’est ce décor de rêve plongé en plein cauchemar depuis sa partition, en 1974. Sous le soleil, ces péripéties absurdes entre frères ennemis, douaniers inflexibles et contrebandiers en bermuda ont des airs de Kafka en tongs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Derrière ses airs loufoques et décalés, cette comédie douce amère raconte l’absurdité de la situation politique inextricable de Nicosie, la capitale de Chypre, qui sépare artificiellement, par un mur, les Chypriotes grecs des Chypriotes turcs.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le cinéma chypriote existe ! C’est le seul intérêt de cette comédie poussive qui, une fois posée la situation absurde d’un pays partagé entre la législation européenne, l’occupation turque et la présence inactive de l’ONU, tire mollement à la ligne.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Clarisse Fabre
A travers cette microintrigue, le film raconte les divisions de l’île sur un mode décalé, absurde, qui manque de rythme et d’originalité.
Les Fiches du Cinéma
par Florian Fessenmeyer
Un film à gags qui épuise sans jamais faire rire, et qui passe à côté de ce qui semblait être son sujet premier : la partition de Chypre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Alexandre Büyükodabas
La comédie se teinte d'un sentiment de menace diffuse et convoque, à travers certaines rencontres, les fantômes de l'histoire.[...] Desservie par une galerie de seconds rôles stéréotypés, la narration finit hélas par elle aussi se perdre dans des effets de répétition prévisibles.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
Dans son premier film, le cinéaste chypriote Marios Piperides met en scène une farce impertinente sur les obsessions identitaires qui hantent son pays natal. Cette comédie ne respecte rien ni personne. Tant mieux !
Ouest France
Entre comique et absurde, ce film sympathique révèle l’inextricable situation de Chypre.
Culturopoing.com
L’absurde s’y teinte d’un désenchantement tragique, que les pantomimes veulent masquer : la notion de territoire, d’identité, de frontières. Rire plutôt qu’en pleurer, semble dire Marios Piperides, puisque chacun a ses raisons.
Le Journal du Dimanche
Le film peine à tenir la longueur mais il distille une sympathie rafraîchissante, démontrant par ses situations cocasses et ses personnages décalés que la légèreté reste une arme efficace lorsqu'on cible des sujets dramatiques.
Libération
Ce premier long métrage, sympathique mais bancal, est entièrement hanté par une espèce d’agitation vaine dans un labyrinthe où des personnages coincés dans un petit espace s’en disputent la prérogative tout en rêvant tous de s’en défaire et d’aller voir ailleurs si l’air est plus respirable.
Paris Match
Sympathique comédie qui se perd un peu dans des péripéties annexes, "Where is Jimi Hendrix ?" a pour principal atout le contexte kafkaïenne de son décor, l'île de Chypre [...].
Télérama
Ce meilleur atout de ce premier film, c’est ce décor de rêve plongé en plein cauchemar depuis sa partition, en 1974. Sous le soleil, ces péripéties absurdes entre frères ennemis, douaniers inflexibles et contrebandiers en bermuda ont des airs de Kafka en tongs.
aVoir-aLire.com
Derrière ses airs loufoques et décalés, cette comédie douce amère raconte l’absurdité de la situation politique inextricable de Nicosie, la capitale de Chypre, qui sépare artificiellement, par un mur, les Chypriotes grecs des Chypriotes turcs.
L'Obs
Le cinéma chypriote existe ! C’est le seul intérêt de cette comédie poussive qui, une fois posée la situation absurde d’un pays partagé entre la législation européenne, l’occupation turque et la présence inactive de l’ONU, tire mollement à la ligne.
Le Monde
A travers cette microintrigue, le film raconte les divisions de l’île sur un mode décalé, absurde, qui manque de rythme et d’originalité.
Les Fiches du Cinéma
Un film à gags qui épuise sans jamais faire rire, et qui passe à côté de ce qui semblait être son sujet premier : la partition de Chypre.
Les Inrockuptibles
La comédie se teinte d'un sentiment de menace diffuse et convoque, à travers certaines rencontres, les fantômes de l'histoire.[...] Desservie par une galerie de seconds rôles stéréotypés, la narration finit hélas par elle aussi se perdre dans des effets de répétition prévisibles.