Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Loin des codes du cinéma de Bollywood, ce thriller indien halluciné offre une plongée vertigineuse dans les entrailles de Bombay sur les traces d’un tueur en série. Noir, poisseux et magistral.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Si la démonstration est un peu courte [...], le thriller a ses finesses et son originalité. Le personnage de Ramanna, notamment, exprime une folie plausible et jamais vue dans un film du genre qui le rend proprement inquiétant, [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
La force du projet tient en effet surtout à ce décor urbain déglingué, chauffé à blanc et saisi dans des couleurs saturées par le chef opérateur Jay Oza.
Avec sa mise en scène âpre et sèche, le film s'affranchit ainsi de la simple représentation sociale et des codes balisés du thriller pour transformer Bombay en quelque chose de plus effrayant, car indicible.
Le film sort des ornières du genre en assumant le parallélisme faussé - car asymétrique - des parcours des deux personnages, s'attardant au moins autant sur l'un que sur l'autre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Anurag Kashyap conçoit son cinéma comme un électro choc qui ébranle le spectateur, d'où cette sensation de volontarisme constant. Mais il n'empêche que ça fonctionne. Quelque part entre les tics d’un Fincher première manière et Bollywood, il affirme sa patte dans ses inspirations composites et dresse un portrait peu flatteur d'une Inde de pauvreté et de bidonville.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le recours systématique au hors-champ et l'incontournable intermède musical [...] finissent par créer un décalage qui nuit à l'impact global d'un film pourtant ambitieux dans sa volonté d'inscrire le cinéma indien dans une veine plus réaliste.
Plus le film avance, plus le chasseur et sa proie se confondent. Le mal est des deux côtés, le flic s’avérant être un junkie déjanté, pervers lui aussi. Le portrait qu’en tire le réalisateur est, hélas, plus faible et répétitif que celui du criminel illuminé. Mais leur affrontement mâtiné d’attrait réserve pas mal de rebondissements (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Un policier de Bombay traque un serial killer, qui lui-même le suit et l’épie… Le but étant de mêler la figure de l’assassin et du flic. Exercice connu, dont Kashyap ne fait rien d’emballant, malgré le décor dantesque du bidonville de Bombay, formidable toile de fond.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Si le film n’est pas dépourvu de divers effets de style un peu voyants, il plonge avec talent les conventions fort éprouvées d’un genre familier dans les rues d’une métropole peu filmée de cette façon-là au cinéma. Bombay devient le troisième personnage d’une tragédie qu’elle engendre tout autant qu’elle la dévore.
20 Minutes
The Mumbai Murders renouvelle le jeu du chat et de la souris entre un flic et un tueur en série avec une intensité incroyable…
Ecran Large
Souvent virtuose et éprouvant, le film de serial killer du réalisateur de "Gangs of Wasseypur" impressionne par sa sanglante énergie.
Franceinfo Culture
Un thriller hors du commun qui devrait enivrer les amateurs du genre, projetés dans un ailleurs géographique et psychologique déroutant et fascinant.
L'Obs
Un polar sociologique et dérangeant de tout premier ordre.
La Croix
Loin des codes du cinéma de Bollywood, ce thriller indien halluciné offre une plongée vertigineuse dans les entrailles de Bombay sur les traces d’un tueur en série. Noir, poisseux et magistral.
La Septième Obsession
Avec son récit éclaté, le réalisateur réinterprète le cinéma de genre avec maestria.
Le Figaro
Anurag Kashyap confirme qu'il est le maître du polar indien.
Les Fiches du Cinéma
La vision du monde contemporain d’Anurag Kashyap est d’une noirceur absolue, évoquant, entre autres, la période noire de Fritz Lang.
Libération
Si la démonstration est un peu courte [...], le thriller a ses finesses et son originalité. Le personnage de Ramanna, notamment, exprime une folie plausible et jamais vue dans un film du genre qui le rend proprement inquiétant, [...].
Ouest France
Un thriller indien terriblement efficace.
Positif
La force du projet tient en effet surtout à ce décor urbain déglingué, chauffé à blanc et saisi dans des couleurs saturées par le chef opérateur Jay Oza.
Première
Anurag Kashyap signe un film de serial killer labyrinthique et obsédant, qui confirme les promesses romanesques de Gangs of Wasseypur.
Transfuge
Avec sa mise en scène âpre et sèche, le film s'affranchit ainsi de la simple représentation sociale et des codes balisés du thriller pour transformer Bombay en quelque chose de plus effrayant, car indicible.
Critikat.com
Le film sort des ornières du genre en assumant le parallélisme faussé - car asymétrique - des parcours des deux personnages, s'attardant au moins autant sur l'un que sur l'autre.
Culturopoing.com
Anurag Kashyap conçoit son cinéma comme un électro choc qui ébranle le spectateur, d'où cette sensation de volontarisme constant. Mais il n'empêche que ça fonctionne. Quelque part entre les tics d’un Fincher première manière et Bollywood, il affirme sa patte dans ses inspirations composites et dresse un portrait peu flatteur d'une Inde de pauvreté et de bidonville.
L'Ecran Fantastique
En dépit d'un manque de tension, certaines séquences glacent le sang [...] et le film reste constamment imprévisible.
L'Express
On suivra donc avec réserve ces "Mumbai Murders" éblouissants et dangereux.
Mad Movies
Le recours systématique au hors-champ et l'incontournable intermède musical [...] finissent par créer un décalage qui nuit à l'impact global d'un film pourtant ambitieux dans sa volonté d'inscrire le cinéma indien dans une veine plus réaliste.
Télérama
Plus le film avance, plus le chasseur et sa proie se confondent. Le mal est des deux côtés, le flic s’avérant être un junkie déjanté, pervers lui aussi. Le portrait qu’en tire le réalisateur est, hélas, plus faible et répétitif que celui du criminel illuminé. Mais leur affrontement mâtiné d’attrait réserve pas mal de rebondissements (...).
L'Humanité
Un policier de Bombay traque un serial killer, qui lui-même le suit et l’épie… Le but étant de mêler la figure de l’assassin et du flic. Exercice connu, dont Kashyap ne fait rien d’emballant, malgré le décor dantesque du bidonville de Bombay, formidable toile de fond.
Le Monde
Si le film n’est pas dépourvu de divers effets de style un peu voyants, il plonge avec talent les conventions fort éprouvées d’un genre familier dans les rues d’une métropole peu filmée de cette façon-là au cinéma. Bombay devient le troisième personnage d’une tragédie qu’elle engendre tout autant qu’elle la dévore.
Paris Match
Kashyap confirme sa virtuosité visuelle, mais son film se perd en bavardages et psychothérapie de bazar...