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    Annabelle – La Maison Du Mal
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    296 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 10 décembre 2019
    Annabelle est la belle poupée maléfique de Conjuring, alors conjurons le sort avec le couple Warren, sympa de les retrouver grâce au pouvoir psychique de madame, ils ont le secret magique, une intuition prémonitoire pour des croyants, aussi dur comme fer sera l’esprit malin et l’exorciste.
    Il faut y croire beaucoup, alors soutenons les et autres actions, la plus catholique possible, pour la combattre aisément cette entité objet vivante malfaisante dans cette fiction, enfermée depuis dans une salle sous scellé avec clé à double tour et pourtant.......

    L’intrigue fascinée sans être trop épouvantable, en attendant de préparer la troisième prestidigitation du cinéma d’épouvante, ce spin off est amuse bouche épouvantail.
    Diabloxrt
    Diabloxrt

    41 abonnés 1 487 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 novembre 2024
    Après un premier volet vraiment pas terrible, et une suite plutôt bonne qui relevait le niveau, ce troisième volet était attendu, mais sans plus, par peur de la déception. "Annabelle - La Maison Du Mal" est donc un long-métrage qui se retrouve à être très facilement le cul entre deux chaises. L'ensemble est globalement du même calibre que le premier volet, et cela reste donc bien inférieur à son prédécesseur. Ce qui rend ce long-métrage moins intéressant est très certainement dû à son écriture et à son style. On est vraiment face à un film d'horreur tout ce qu'il y a de plus basique avec des personnages bien clichés, un scénario peu inventif et des dialogues assez mal écrit. Globalement, j'aime l'idée de voir les esprits de la maison des Warren se réveiller. Mais en vérité, on sent que l'idée est très forcée, ne serait-ce que le fait qu'elle n'a rien à voir avec les deux premiers films, qui construisaient une petite forme de continuité entre eux. Tout est donc trop simpliste dans ce film, jusque dans les séquences horrifiques, très vite dérangé par une utilisation abusive des jumpscares. Pourtant, contrairement au premier volet, on sent qu'une petite ambiance réussit parfois à s'installer, à certains moments précis. La photographie est assez bien gérée, et certains moments prennent enfin leur temps, donc ils offrent quelques bonnes séquences. Surtout que le concept pouvait être très intéressant, car même si cela me dérange au niveau du scénario, nous retrouver plongés dans la maison des Warren et leurs collections d'horreurs, il n'y a rien de plus flippant ! C'est donc assez dommage de ce point de vue-là, car à cause de ces éléments très basiques, on finit vite par être un peu ennuyé face à tout cela. Et surtout, on ne frissonne jamais. Malgré le peu d'attente que j'avais pour celui-ci, je trouve donc quand même dommage que le résultat proposé soit si peu surprenant. Clairement, cet univers étendu, qui avait débuté avec le tout premier "Conjuring", n'est malheureusement pas à la hauteur et ne réussit pas à captiver. On verra ce que cela donnera dans le futur, mais je commence à être très pessimiste. Pour conclure, un film très moyen et qui n'apporte aucune surprise.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    707 abonnés 2 748 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 novembre 2019
    Le pire opus de la trilogie. Malgré un aspect assez fun que cette réunion paranormale, les effets horrifiques sont trop simplistes et attendus pour partager la moindre inquiétude.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 25 novembre 2019
    J'ai envie de résumer ce film à mauvais, mais c'est bien plus compliqué car le film n'est pas mauvais mais ... vraiment très raté. Scénario à la rue, effets grotesques, personnages stupides le seul point positif est l'ambiance dans la salle de cinéma où j'ai bien pu rigoler à voir les réactions des spectateurs.
    Liam Debruel
    Liam Debruel

    20 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 novembre 2019
    Pour son troisième film, est-ce que la poupée du Conjuring Universe aura droit à un opus infernal dans le bon ou dans le mauvais sens ?
    Mary Ellen garde la fille des Warren avec son amie Camilla. Quand cette dernière rentre dans la salle où le couple garde les objets possédés et libère accidentellement Annabelle, la soirée va être très longue…
    S’il faut reconnaître que les deux Conjuring ont su adopter une tournure de série B horrifique des années 70 avec un certain style, les longs-métrages dérivés ont été d’une qualité assez variable. On pense ainsi aux titres précédents uniquement concentrés sur Annabelle. D’un côté, le premier, réalisé par John R. Leonetti, s’avérait d’une médiocrité dispensable. De l’autre, la préquelle par David F. Sandberg s’avérait plus appréciable et était dotée d’un certain sens du drame bien plus prégnant. Alors que dire pour ce « Retour à la maison » ?
    Il faut bien avouer qu’avoir assisté à la séance en 4DX a confirmé la recherche d’entertainment de la part du film. Loin de chercher une sensation d’horreur pure, ce troisième Annabelle est un pur train fantôme, un tour de manège que certains apprécieront et d’autres détesteront. Ainsi, ceux qui voudront payer un supplément pour découvrir le film dans ce format devraient en avoir pour leur argent car la technologie ajoute aux effets horrifiques du film et transforme la salle en attraction, ce qui ne devrait pas ravir certains puristes.
    Mais concernant le film en lui-même, sans gadget pour accentuer sa qualité intrinsèque ? Disons-le clairement : le film est des plus perfectibles. Il y a quelques effets ratés, des points énervants comme la romance ou certaines blagues et une fois la scène d’ouverture passée, le rythme de début de métrage cherche à placer les éléments à venir avec une lenteur assez peu avenante pour le film. Il n’y a pas de recherche d’ambiance pesante, juste une certaine sensation qui alourdit la gestion du récit.
    C’est seulement à partir du moment où « Annabelle comes home » plonge dans l’horreur de son synopsis que le film s’envole vraiment, amenant un bestiaire assez intéressant et qui semble surtout être là pour teaser de potentiels spin-off. Il faut néanmoins reconnaître que la manière dont Gary Dauberman gère sa mise en scène est assez ludique et rappelle par moments l’amusement que l’on ressent devant les films de James Wan et sa gestion d’une réalisation en mouvement pour mieux souligner ses effets. Cela donne quelques séquences assez réussies qui devraient ravir les spectateurs venus pour du divertissement horrifique sympathique.
    En effet, on ne peut parler d’« Annabelle comes home » comme d’une grande œuvre de genre tant certaines errances amoindrissent l’impact global du film. Mais jamais celui-ci ne se vante être plus qu’une récréation d’épouvante qui fait son effet. L’amusement est présent et bien que l’on regrette de ne pas avoir droit à l’accomplissement total du potentiel derrière ce troisième « Annabelle », on peut apprécier le bon moment passé devant sans aucune gêne.
    Renaud  de Montbas
    Renaud de Montbas

    30 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 novembre 2019
    "Annabelle, la maison du mal" est classée dans les films épouvante-horreur, ok mais alors pour les 10/12 ans qui seront les seuls à risquer l'ombre d'un brin de pétoche. La réalisation est bonne et les images belles mais les jump scares sont usés jusqu'à la corde et le final "bisounours tout le monde s'aime dans le meilleur des mondes" est un peu pathétique et à côté du sujet pour ce type de film. Si vous êtes post adolesecent vous pouvez passer à côté sans aucun remord... 2.5 / 5
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 18 novembre 2019
    "Attraction" emblématique dans le genre horrifique, "Annabelle" la poupée maléfique a toujours suscité un intérêt particulier auprès des amateurs de l'horreur dès son incursion dans le premier "Conjuring", marquant le début de ce que l'on peut appeller désormais "The Conjuring Verse" ou l'univers"Conjuring" ainsi que les nombreuses productions qui lui sont attribuées, surfant sur la vague d'un succès sans précédent de leur modèle "The Conjuring" ,hélas pas souvent un gage de qualité, au point de perdre toute ambition, pour un univers en manque d'inspiration, ce qui n'est en aucun cas un bon signe, en effet l'industrie se repose souvent sur ses acquis, et s'oriente de plus en plus vers des productions commerciales, qui privilégie la quantité au détriment de la qualité..."Annabelle" constitue donc, le premier "Spin-Off" qui pose les bases de l'univers, une entrée en matière mitigée pour un premier long métrage, elle se voit doter d'un prequel qui remonte aux origines du mal, le meilleur opus de la franchise, c'est donc sans surprise qu'un troisième long métrage voit le jour, dans la continuité des aventures macabres de la poupée hantée, là où on l'avait découverte, lors de sa première apparition, dans la chambre des souvenirs maudits, que le couple de démonologues "Warren" avaient rapporté de leurs nombreuses enquêtes paranormales, un retour de la poupée possédée,qui se fera dans la douleur au grand dame des protagonistes qui auront la mauvaise idée de pénétrer dans la fameuse pièce interdite, un véritable musée occulte, où sommeille différents objets et artefacts, possédés par des entités démoniaques redoutables, aussi dangereuses les unes que les autres, "Annabelle" est sans doute la plus terrifiante, la plus dérangeante de la collection, hantée par un démon particulièrement puissant, qui peut contrôler ce qui l'entoure, un pouvoir aussi puissant qu'inquiétant , il aura cependant une influence importante sur l'évolution du récit,qui placera les personnages principaux notamment le trio de jeunes femmes au cœur d'une succession d'événements étranges, surnaturels, lors d'une nuit d'horreur, où les forces du mal se déchaînent à travers la poupée "Annabelle" élément déclencheur, réceptacle pour une force démoniaque hostile, se donnant du cœur à l'œuvre lorsqu'il s'agit de terroriser les plus curieux à vouloir s'aventurer dans la fameuse pièce maudite, à l'instar de ces personnages qui ne seront pas au bout de leurs peines...L'œuvre d'un certain Gary Dauberman, un habitué du genre, officiant en tant que scénariste (Annabelle 01,02 ,Ça) s'essaie à la réalisation,le résultat est pas mal dans l'ensemble, même si ce troisième opus de la franchise "Annabelle" n'apporte pas de sang neuf au mythe de la poupée maléfique, l'intrigue est assez classique dans son traitement, voire dans son déroulement, mais qui à le mérite de creuser son concept, en effet, une majeure partie du film, se déroule dans la maison des "Warren", un huis clos prenant, qui a la bonne idée d'exploiter la pièce interdite ainsi que les souvenirs maudits qu'elle abrite, des objets qui prendront vie (pour notre plus grand plaisir), en ressurgissant là où on les attend le moins, lors des apparitions qui font leur effet, à défaut d'être impressionnants, la tension monte d'un cran, l'intention est louable d'autant que la terreur est au rendez-vous, ce qui suscite un intérêt important quant à l'œuvre lorsqu'il s'agit d'explorer un élément dès lors inédit dans la saga, et la maudite panoplie d'objets hantés qui s'y trouvent, ce qui donne au long métrage un cachet,qui se fait sentir par l'influence d'un James Wan, toujours aussi impliqué, par une gestion d'angoisse et de terreur efficaces,même si le film cède à la facilité, puisant inlassablement dans les codes éculés du genre, à travers certaines scènes, dont les inévitables "Jumpscares" une composante intégrante dans le registre liés souvent aux moments de tension propices à engendrer l'angoisse suscitée, néanmoins dans "Annabelle: La maison du mal" l'ensemble fonctionne plutôt bien, assurant un spectacle horrifique correct à défaut d'être transcendant, plaisant à suivre, pour un premier passage à la réalisation de la part d'un Gary Dauberman très influencé par son mentor James Wan, d'ailleurs très impliqué dans le projet, un cinéaste à suivre de plus près."Annabelle 03" est un divertissement horrifique sympathique offrant un spectacle qui n'a rien à envier à ses prédécesseurs, dans une continuité plutôt pertinente,qui développe d'avantage l'univers de lapoupée hantée pour que l'on s'y attarde. Dans l'attente dun nouveau "Conjuring" "Annabelle: la maison du mal" est une bonne alternative, qui mérite sa chance.
    Ma note: 3/5
    Benito G
    Benito G

    684 abonnés 3 162 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 novembre 2019
    un 3ème opus qui suit le principe des précédents en faisant un clin d œil au couple de référence de Conjuring.. Laissant le travail à une jeune actrice qui s en sort assez bien même si j ai noté quelques facilités lors du dénouement aussi prévisible soit il mais jonché de quelques obstacles. On était toutefois habitué à quelques chose d un peu plus retors mais l on va mettre cela sur les débuts de la jeune fille sur les entités et ce qui va avec. On se sent comme familier dans les lieux rapport au opus alliant la fameuse pièce interdite et évidemment la poupée ! Bref un 3ème opus qui reste dans la lignée des autres et qui meme si il utilise les même codes. Parvient à nous divertir. Et pour une suite ou la nouveauté n est automatiquement plus, l ensemble arrive a nous divertir même si le début montre quelques longueurs.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 405 abonnés 4 251 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 novembre 2019
    “Annabelle” est initialement un spin-off de la franchise “Conjuring”. Le film ayant rencontré beaucoup de succès, il s’offre déjà un troisième épisode. “Annabelle 3 : La Maison du Mal” nous montre comment la poupée hideuse et malveillante a atterrit au beau milieu des collections d’artefacts maudits des époux Warren. Le célèbre couple rapidement effacé du scénario laisse alors place à une bande de gosses inconscients qui vont libérer Annabelle de sa cage en verre. Les situations horrifiques plus ou moins réussies vont alors s’enchaîner mais le sentiment de déjà vu est déjà trop important pour faire peur.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 087 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 novembre 2019
    Critique qui révèle certainement quelques éléments de résolution de l'intrigue.

    Même si l'on pourra clairement prétendre que les débuts de l'essoufflement de la franchise Conjuring remontent aux sorties coup sur coup de La Nonne et La Malédiction de la Dame Blanche, le premier volet à n'apporter aucune avancée dans l'intrigue, aucune précision primordiale et non anecdotique sur l'univers enclenché par James Wan n'est autre que ce troisième volet de la trilogie (pour l'instant?) Annabelle, détail en même temps ironique et logique lorsqu'on sait que c'est ce même personnage qui étendit son univers en univers partagé de spin-offs et films officiels.

    Réalisé par Gary Dauberman (scénariste habitué de la saga et de James Wan -il travailla aussi sur sa série Swamp Thing- qui dirige son premier film), La Maison du mal, à défaut d'avoir autre chose à proposer qu'une introduction dans l'univers de nouvelles créatures au design surprenant (et dont certains, s'ils n'apparaissent pour l'instant dans aucun spin-off, représenteront très surement les prochains protagonistes de Conjuring 3), ramène dans son casting Patrick Wilson et Vera Farmiga, acteurs dirigeants la franchise puisqu'ils en incarnent les deux personnages principaux, le couple Warren.

    Arrivés et repartis en coup de vent pour une introduction complètement inutile, ils ont pour principale utilité, outre de placer le film dans l'univers et de lui donner plus de consistance niveau réputation de casting, d'amener en vue du spectateur la nouvelle actrice chargée d'interpréter leur fille, Mckenna Grace, et qu'on ne retient pas plus que cela; sans véritable personnalité, elle n'apporte rien de plus que les apparitions de figurante de Sterling Jerins, la précédente interprète.

    C'est là qu'on attend ce troisième épisode au tournant; si l'on suit des personnages extrêmement caricaturaux qui n'apparaissent dans aucun autre volet (exception forcée de la fille Warren), c'est pour avoir de possibles surprises à l'issu et voir certains de ces adolescents insupportables (et peu nombreux) ne pas y survivre (particulièrement l'agaçante Madison Iseman). Première chose qui déçoit, il n'a jamais le courage de faire ce qu'il est naturel d'attendre et rend tous ses personnages intacts en fin de déroulement, à la différence que tous seront devenus amis avec l'héroïne, particulièrement ceux qui la harcelaient jusqu'alors.

    Et si on le suit sans trop de hargne, c'est aussi parce qu'il parvient à rendre, tout aussi paradoxal que cela puisse paraître, attachant ce groupe de clichés de personnages jeunes; surement est-ce due à la grossièreté du tableau dépeint, balancé au feutre tachant plutôt qu'au pinceau fin. Sans trop savoir pourquoi, on suit avec intérêt ces jeunes aux agissements stupides et seulement justifiables par le fait qu'ils servent à faire avancer l'intrigue.

    Madison Iseman représente le mieux ce sujet objet de Deus Ex Machina : constamment dans l'erreur d'appréciation, de jugement et d'action, elle balance l'intrigue sur un comportement absolument imprudent et vainement rafistolé à l'intrigue par un développement pathos du fait qu'elle ait perdue son père; il y avait plus logique, plus crédible comme manière de libérer ses monstres, et surement plus fin que de jeter la carte fameuse du "ne la blâmons pas, elle l'a fait par amour".

    Bourré de jumpscares, l'après libération des monstres pâtit de sa photographie sombre et banale, avec laquelle Dauberman tente d'imiter le style de Wan sans pour autant réussir à instaurer la moindre atmosphère oppressante. Si La Maison du mal fait peur, c'est parce qu'il nous fait risquer l'arrêt cardiaque à chaque moment de tension, parce que le son, hurlement de jumpscare, représente plus l'agression que n'importe laquelle des apparitions de créature démoniaque.

    Fallait s'attendre au fait que ce soit commercial, qu'il n'invente rien et ne tente pas de surprendre; seulement, de là à s'imaginer qu'il se contenterait de pomper le succès des autres sans pour autant apporter le moindre élément supplémentaire de compréhension du background de l'univers de la Warner, le tout laissé sur une conclusion qui n'apporte aucune avancée sur le destin d'aucun personnage (il y en aura bien un secondaire pour avoir fini en couple), il y avait un monde scandaleux qu'on ne pouvait imaginer atteindre un jour dans la franchise de Wan.

    Et si certains comparent l'univers partagé Conjuring à celui de la référence des références en terme de spin-offs faits sur des films-fils, le MCU, c'est oublier que ce dernier tente au moins de faire évoluer ses personnages, son intrigue et possède un but final. La destination de l'oeuvre de Wan semble, dès à présent, conduire droit dans le mur; ne reste plus qu'à évaluer la vitesse d'impact : sera-ce dès la sortie du prochain Conjuring en 2020, réalisé par le désastreux Michael Chaves, ou dans quelques années, quand un nouvel univers aura surgi, ou que le public se sera lassé de voir toujours les mêmes oeuvres commerciales portées par ces mêmes personnages perdant, à chaque film, un peu plus de leur essence originelle?

    On verra.
    Tueurdeserie
    Tueurdeserie

    23 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    Une petite remonté et amélioration par rapport au premier opus. J'ai trouvé cela très intéressant de montrer les objet recueillis par les Warren.
    Un bon film, pas très terrifiant mais divertissant.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 6 décembre 2020
    Malgré une belle photographie, une esthétique propre et des tentatives intéressantes dans le scénario (surtout dans la première demi-heure), le film se repose sur ses jumps scares trop fréquemment et justifie un peu trop son côté horrifique par l'idiotie des personnages (comme dans la fameuse scène qui est dans la bande annonce).
    Le film n’est pas à jeter mais il est vraiment faible scénaristiquement selon moi...
    Lvle15
    Lvle15

    15 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 octobre 2019
    Le plus nul de la trilogie.... après un 2 vraiment flippant j'avais hate de voir celui là. Quelle perte de temp ! Il est si loooooong.. on ne voit rien pendant 1h10 puis ils ont mis le paquet les 10 dernières minutes et c'est en plus mal fait. J'avais l'impression de regarder Buffy contre les vampires serieux. Passer votre chemin
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 16 octobre 2019
    très décevant au niveau scénario... trop long à commencer ( comme d'habitude) et chaque scène ayant pour but de faire peur est voué à l'échec tellement le jeux d'acteur est mauvais.
    les scènes "d'horreur" sont trop longues et ne créer aucun stress ou angoisse potentiel... personnellement je trouve que ce 3ème volets est fidèle à quasiment tous autres 3ème volets ^^"
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 15 octobre 2019
    D'énormes incohérences faciles à détecter pour ceux qui ont suivi l'alternance entre les conjuring's et Annabelle. Le 1ère étant l'âge de Judy Warren qui est bien plus jeune dans The Conjuring 1 alors qu'Annabelle est déjà présente dans la petite pièce des horreurs, au chaud dans sa vitrine. La seconde est la présence de la boîte à musique au miroir spiralé dans la même pièce... Pour ma part, le seul Annabelle digne d'un film d'épouvante restera le 2ème volet.
    En outre, très bon casting avec les jeunes acteurs et belle histoire avec une fin heureuse.
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