Note moyenne
2,2
12 titres de presse
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Bande à part
En poussant la porte du petit musée des horreurs des exorcistes Warren, on découvre moins la maison du mal que la maison de la poupée Annabelle. La saga se remet à hauteur d'enfance, avec plus de candeur que de peur.
Ecran Large
Jamais franchement indigent, ce 3e épisode des aventures d'Annabelle manque clairement d'énergie et de folie. Il ne suffit pas de convoquer un formidable musée des horreurs pour en faire quelque chose d'amusant.
Le Journal du Dimanche
Ce dérivé de la saga d'épouvante Conjuring se révèle rapidement inoffensif, comme l’héroïne est âgée de 11 ans. Mais il se savoure par son dispositif minimaliste de huis-clos, son choix d'une peur diffuse et son atmosphère inquiétante.
Les Fiches du Cinéma
Troisième volet de la franchise consacrée à la poupée maléfique (et qui est aussi l’occasion de renouer avec le couple Warren, héros de la saga Conjuring), le film de Gary Dauberman figure une aimable, quoique mineure, revisitation des figures du genre.
Les Inrockuptibles
À la surenchère frontale de la majorité des productions horrifiques contemporaines, Annabelle oppose un rythme flottant, tout en fausses pistes et pièges escamotés. S’il ne prend pas trop au sérieux ses esprits frappeurs […], il accorde une attention plus soutenue à ses personnages et les accompagne avec une tendresse étonnante.
Télé Loisirs
Si les fans des premiers films seront en terrain connu, les autres seront pris par l’ambiance et l’efficacité des séquences chocs.
L'Ecran Fantastique
[...] une oeuvre hésitante qui ne trouve pas sa voie, ni le bon rythme. Gênant.
Le Parisien
Un volet pas vraiment terrifiant, aux scènes déjà maintes fois vues.
Le Dauphiné Libéré
Troisième volet des aventures de la poupée maudite : elle commence par se répéter, et l’épouvante fait place à la lassitude.
Le Figaro
La poupée qui fait «bouh» est de retour, traînant derrière elle une agaçante impression de déjà-vu.
Mad Movies
Gary Dauberman prend un soin quasi maniaque à désarmorcer le moindre de ses effets, se vautre plus souvent qu'à son tour dans des gimmicks usés par des décennies d'exploitation sans vergogne par des salopards aux pieds lourds.
Télérama
Hélas, le réalisateur, inexpérimenté, multiplie les visions démoniaques en pure perte.