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BabsyDriver
80 abonnés
817 critiques
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3,5
Publiée le 3 janvier 2024
Après le break out du premier film, les poulets font le break in dans celui-ci. Si l'aventure reste au rendez-vous, cette suite tardive n'est toutefois pas à la hauteur de l'original, tout simplement car il y a moins d'audace et de charme à parodier James Bond/Mission : Impossible que La Grande Evasion.
Des personnages animés, en pâte à modeler, hauts en couleurs dans cette comédie très dynamique "Chicken Run La Menace nuggets". Ce second volet assez divertissant des aventures des Chicken Run est cette fois ci réalisée par Sam Fell. Il pourra amuser le plus jeune public, bien que son attrait dominant ne soit pas l'humour mais une Aventure moderne, plus orientée vers l'écologie et la solidarité.
Alors là je ne sais pas trop quoi dire... cette suite est sympa mais elle m'a un peu laissé de marbre. Je n'ai pas retrouvé le charme du premier opus car l'ambiance poulailler était bien plus sympa que cette ambiance de grand parc d'attraction pour poulets condamnés à devenir des nuggets. Alors certes la méchante diabolique est toujours là mais elle est nettement moins le fun que dans le premier volet et j'avoue que je me suis un peu ennuyé. Faut il vraiment faire des suites sans saveur à des films cultes qui datent à ce point ? J'ai un doute...
Cette suite est une réussite, elle est dans l'esprit rebelle et artisanal qui a tant séduit pour le premier. Voir ces poules en pâte à modeler faire du James Bond ou du mission impossible est juste génial, c'est une idée incroyable. Ça fonctionne si bien, et le côté pâte à modeler apporte une touche palpable et réelle au film qui compte beaucoup
Pas à la hauteur du premier mais divertissant quand-même.
On est ravis de revoir Ginger, Rocky, Babette, Bernadette et les autres poules les plus célèbres des années 2000 pour cette suite.
L'animation est un poil trop saccadée à cause de la stop motion, mais le scénario - bien que vu et revu - fonctionne, le propos est bien appuyé et l'humour fonctionne.
Avec la sortie de ‘Chicken run’ voici maintenant vingt-trois ans, ceux qui avaient raté le coche des premières aventures de Wallace & Gromit découvraient, littéralement éblouis, le travail des studios Aardman sur grand écran. A une époque où l’animation traditionnelle était à la peine tandis que la 3D numérique bafouillait encore pas mal, le stop-motion en pâte à modeler traitait d’égal à égal avec ses concurrents. Aujourd’hui que Aardman et Laïka ne survivent que par miracle à leurs propres coûts de production et de fonctionnement, on apprécie cette orientation technique surtout par envie de défendre le plus faible, par respect envers un certain artisanat née voici plusieurs décennies mais aussi parce que, effectivement, ces productions ont un (faux) côté do-it yourself que ne retrouveront jamais les paquebots numériques plus richement dotés. Je dois cependant reconnaître qu’en dehors de son statut de fondateur, je ne trouvais pas ‘Chicken run’ fondamentalement exceptionnel, même en l’an 2000 : l’hommage à ‘La grande évasion’ était amusant et on notait quelques personnages plus marquants que la moyenne mais je n’y retrouvais pas complètement la fantaisie absurde et toute britannique de ‘Wallace & Gromit. Dès lors, les retrouvailles d’aujourd’hui avec ces volailles fugueuses, cette fois confrontées à un élevage moins concentrationnaire mais tout aussi létal, carburent avant tout à la nostalgie. Pourtant,le nouveau venu ne repose pas exclusivement sur les appels du pied au passé, remet les poulettes (et non plus le coq hâbleur et vantard) au premier plan et dénonce une certaine forme de marketing du Fast-food qui dissimule l’industrialisation du vivant derrière une façade colorée et amusante. A délaisser les vieux films de guerre pour un pastiche de film d’espionnage, d’infiltration et de cambriolage très en vogue ces dix dernières années, ce ‘Chicken run’ se met lui-même dans une position qui l’obligerait à faire preuve d’une inventivité rare, celle des Pixar d’autrefois, pour se tailler une place au soleil. Malheureusement, s’il s’en tire tout de même mieux que le tout-venant de l’animation numérique, s’il n’oublie pas qu’un petit grain de folie permet souvent d’enlever les vilaines taches de conformisme qui plombent tant de productions jeunesse, ‘Chicken run 2’ donne l’impression de retenir ses coups la plupart du temps, de ne pas aller aussi loin qu’il le pourrait dans le délire (contrairement aux long-métrages consacrés à ‘Shaun le mouton’ par exemple), d’être finalement plus américain que britannique (et encore les productions Laika ont-t-elles a contrario réalisé un sans-faute jusqu’à présent). Et ce dernier point, même si le résultat est loin d’être catastrophique, est peut-être la pire insulte qu’on puisse adresser à une production Aardman.
J’avais beaucoup aimé Chicken Run premier du nom, ce second opus est bien mais inférieur. Cela reste tout de même un bon film d’animation avec des trouvailles et de l’humour, moins de noirceur et de suspens cependant que pour le film de 2000. Pas mal mais pas aussi bon.
Il fallait réussir cette suite, en conservant la fidélité à l'univers d'origine, son esprit et ses graphismes, sans se répéter servilement ou créer une oeuvre fade sans risque. C'était un défi considérable. Il a été brillamment relevé. Le film retrouve pleinement la difficile combinaison d'humour et d'aventure qui a fait justement le succès de l'original. Il peut intéresser à tous les âges. Un excellent film!
Après la master classe qu'était le premier Chicken run sortit en 2000, que j'avais vue sur VHS à l'époque, coproduit par Aardman, Pathé et DreamWorks, ce nouvelle opus sortit en 2023 par Netflix et Aardman est tous aussi excellent voir peut être même plus sur certain passage.
Le scénario reste très bon et cohérent par rapport au premier (Aardman y pensait déjà après le premier film). Cette fois c'est l'opposé du premier film, il ne faut plus sortir du poulailler mais y rentrer, qui est une idée intéressante. L'évolution des personnages ce tient par rapport au premier film, et surtout quand certain se retrouve, les confrontation sont bien emmené.
Côté décors pour moi c'est vraiment au dessus du premier (le premier avait cette DA plus réaliste, plus sage), la ça ose plus de truc.
Les lumière sont beaucoup plus travaillé.
La stop motion sa marche toujours aussi bien (comme pour les autres film utilisant la technique des décors réel et des poupées : Coraline, Wendell et Wild).
Bref foncer le voir (bien sur sa nécessite un abonnement Netflix pour l'instant)
Très joli long-métrage d'animation. Réalisé avec soin et sens. La magie retombe un peu après le 1er mais tout est rondement mené, certes de façon classique mais avec talent. Il y a autant de plaisir pour les petits que pour les grands.
23 ans plus tard, toujours aussi top ! Tellement de travail pour un résultat au top ! Un film ambitieux et impressionnant de savoir faire ! Chapeau bas.
Moins développé que son prédécesseur, ce Chicken Run est cependant un très bon moment à passer en famille. Avec des gags qui font mouche, un scénario décalé et drôle, on regrette cependant que le film soit un peu moins développé concernant les personnages, préférant le gag de situation aux de mots et dialogues. On peut noter néanmoins de nombreuses références à des sagas du cinéma comme James Bond par exemple, et un réel travail sur les décors et détails, toujours faits de pâtes à modeler. Les musiques sont assez biens. Un film sympathique pour passer une bonne soirée.
Il me semblait que le premier film chicken, Run avait une bonne réputation. On a voulu regarder ce film d’animation pour ne pas se prendre la tête, mais en fait il est totalement ennuyeux, les différents éléments du scénario ont l’air assez artificiels, il n’y a pas vraiment de surprise, ni de retournement de situation, C’est un film d’animation quelconque, très vite oublié
Chicken Run est de retour 20 après et signe une déception grasse comme la poule. L'idée de retrouver la combattante Ginger et ses acolytes étaient bonnes ainsi que l'idée du nuggets et qui bien à la mode de nos jours. Malheureusement, le scénario ne suit pas. Il est prévisible et illogique comme Babette et ses réflexions sans queue ni tête. J'ai commencé à déchanté comme Rocky seulement au bout de quelques minutes pour finir par me lasser de toutes ces scènes qui veulent sensibiliser l'être humain au ravage de l'industrie. Le final est complètement décevant et bâclé en mon sens. Ce film d'animation restera une pauvre histoire sans saveur à regarder une fois alors que le premier volet était en avance sur son temps. Je ne pense pas qu'il y aura un 3eme volet ou du moins quand les poules auront des dents.