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Changel' Un
23 critiques
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2,5
Publiée le 18 décembre 2022
Déçue que hazanavicus puisse faire un film pareil. Le scénario n’est qu’un réchauffé de toy story, Omar sy joue un double rôle qui est incompréhensible. Le jeune « max » terriblement mal. Je mets deux étoiles car le film fait du bien et le casting est plutôt attachant
Pathétique dommage malgré le bon acteur omar sy !!!! Nul pas intéressant du tout l'histoire ni queue ni tête pas agréable à suivre comme in plat sans goût c'est fade
Honnêtement, ce film a énormément de critiques et est jugé comme médiocre mais personnellement je l’ai beaucoup apprécié. Il a une belle morale, avec une agréable histoire qui peut parler à tous. Omar Sy est touchant dans son rôle de papa-prince. Ce film est agréable et touchant, pour passer un bon moment.
A titre personnel , j ai trouve le scénario tres original et j ai passé un tres bon moment sans voir le temps passer ( ce qui est tres bon signe pour moi car quand je regarde ma montre c est que le le film commence a m ennuyer) J ai trouve les effets speciaux tres reussis Bref moi et ma fille nous avons adoré ce film
Dans l'ensemble ce film est une vraie réussite, mais qui a les défauts de ses qualités et les qualités de ses défauts. Il faut préciser que c'est un superbe film concernant le visuel et le style !! Le sujet (traitant de la relation Père/Fille) a beau être vu et revu, ici on a une toute nouvelle approche dans le manière de le mettre en lumière.
Pour autant, il est vrai que sur certains aspects il peut sembler réducteur (c'est pas complètement faux), être un peu téléphoné et même souffrir de quelques longueurs. Mais bon, il faut se rappeler qu'il s'adresse à la fois aux enfants et aux adultes donc ces défauts ne sont pas illogiques.
En conclusion c'est un bon film, novateur et bienveillant : à voir
"Le prince oublié"...un père raconte chaque soir à sa fille des aventures où lesquelles il est le héros...jusqu'à ce qu'elle rentre au collège et le héros de ses histoires va changer... C'est un film bien gentillet, on peu se retrouver dans ce père de famille qui voit son enfant grandir ...trop vite. Après donc film sympa , Omar est pas mal du tout dans le rôle du père un peu paumé sauver par sa voisine (qui a forcement le béguin pour le papa hein) ...les scènes dans le monde imaginaire sont pas trop mal non plus...un peu triste l'histoire des oubliettes mais voilà c'est bien mais sans plus rien à rajouter de plus. NOTE: 5.25/10
4 561 abonnés
18 103 critiques
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4,0
Publiée le 17 août 2021
L'histoire suit un père célibataire qui s'efforce d'offrir une expérience de croissance heureuse à sa fille en lui racontant des histoires. Tout va pour le mieux jusqu'à ce que l'adolescence s'en mêle et le père (Omar Sy) et la fille doivent apprendre à la gérer. Les costumes du monde de l'histoire sont brillants et joyeux. L'histoire de la vie réelle est honnête mais aussi positive. Leur concept de comédie et leur fantaisie et la façon dont ils enseignent comment notre vie va se dérouler sont trop bons. Il me fait même penser à ce que je devrais préparer si j'avais étais un enfant. Quoi qu'il en soi, ce film mérite plus de points qu'il n'en a ici. Pour moi je donne quatre étoiles au Pince Oublie et je recommande vraiment ce film pour toute famille qui a un enfant...
Plein de bonnes choses dans ce conte , malheureusement un genre pour lequel j'ai du mal à accrocher...Les passages surréalistes sont parfois un peu tirés par les cheveux. Super Casting. Originalité: 8/10. Réalisation: 5/10. Acteurs: 8/10. Photo: 7/10.
Souvent peu cité parmi les plus gros réalisateurs français, Michel Hazanavicius a pourtant un excellent dossier, avec de gros succès très souvent salués par la critique. "Le Prince Oublié" montre, une nouvelle fois, son envie de proposer des longs-métrages bien plus ambitieux que ce qui se fait généralement en France. Avec une esthétique poussée et un scénario purement tourné vers le fantastique, on arrive devant un film à l'univers particulier et très enfantin. Mais cela marche très bien ! L'idée n'est pas juste de proposer une ambiance enfantine pour la famille, mais de remettre tout cet aspect en question. Tout le film va travailler sur le fait de remettre en perspective cet aspect de l'enfance, et sur le fait d'accepter le fait grandir du point de vue des parents. Toute la base va donc être de poser un univers crédible et en accord avec le ton du film. Comme l'ambition est toujours bien mélangée avec les moyens, on peut être heureux que ce film ait eu assez de moyens pour proposer quelque chose d'aussi originale. Si les fonds verts sont assez voyants, le travail sur les décors, ainsi que les effets spéciaux, est assez remarquable et permet à tout cela de prendre vie. L'univers semble donc vivant et est parfait pour traiter ce genre de thématiques. C'est coloré, travaillé et inventif à ce niveau. Derrière, le tout sera donc de jouer avec cela, en travaillant cette ambiance d'un point de vue plus adulte. Ce rôle sera géré par un très bon Omar Sy, de manière assez légère, mais de manière intéressante et intelligente en faisant en sorte de mettre le monde fictif du film avec le monde réel. La métaphore passe bien, elle permet de rendre les thématiques facilement compréhensibles et de faire un tout très efficace pour toute la famille. Donc si vous voulez passer une petite soirée sympa, n'hésitez pas à visionner ce long-métrage vraiment intéressant et qui fait plaisir à voir en France. Pour conclure, un film d'un réalisateur qui continue de faire parler son style si unique.
Une idée de départ séduisante, avec un sacré potentiel… qui aboutit à un immense gâchis. Hazanavicius sait se mettre en danger à chacun de ses films et il est difficile de lui tenir rigueur de cette ambition. L'accident artistique s'accompagne d'un semi accident industriel : si le film a frôlé le million d'entrées ( pas mal quand même), il n'a pas répondu aux attentes et au budget important. Le passage de l'enfance à l'adolescence avait été magnifiquement traité dans Toy story 3 et on sent bien que le fantôme de John Lasseter plane sur le film d'Hazanvicius ( en particulier la scène des oubliettes). Mais voilà, un manque de rythme assez surprenant fait tomber à plat pas mal de répliques, l'humour est globalement très décevant, filmer l'invisible ou la transparence est toujours casse-gueule ( et ça l'est ici) et - mais c'est sans doute très personnel, je n'ai pas été estomaqué par les efftes spéciaux : j'ai même trouvé cela parfois un peu cheap. Et quand l'ensemble est visuellement assez bigarré, un drôle sentiment de film déjà has been se dégage. Mais tout n'est pas à jeter. On peut s'amuser du tandem Sy-Damiens, Bérénice Béjo est top (même si son personnage aurait mérité plus de profondeur et les raisons de son crush pour Sy restent dans le flou)… et j'avoue avoir beaucoup aimé les panneaux pub, un fil rouge narratif très malin.
Si ‘Le prince oublié’ devait avoir un seul mérite, ce serait d’observer Michel Hazanivicius sortir (une fois de plus) de sa zone de confort et faire sortir au passage le cinéma français de la sienne, pour s’attaquer à une production familiale inhabituellement luxueuse mais qui repose surtout sur cette interdépendance métaphorique entre l’imaginaire et la banalité du quotidien, dont le cinéma américain est tout à fait coutumier mais que le cinéma français renifle toujours avec méfiance. Qui dit “familial” dit forcément respect de certaines convenances, crainte du dérapage inconscient, morale rassurante et fédératrice : il ne faut donc pas espérer un humour ravageur ou une conclusion qui puisse surprendre, et tout se déroulera exactement de la manière dont on s’y attend : c’est toute la limite d’un tel exercice et ‘Le prince oublié’ ne déroge pas à la règle. On reste toutefois assez curieux de découvrir comment le réalisateur va se débrouiller pour gérer quelque chose d’aussi contraire aux habitudes du cinéma français. La réponse qu’on obtient une heure quarante plus tard, c’est qu’il ne s’est pas mal débrouillé du tout, même si l’ensemble reste un peu plus hésitant, un peu plus maladroit, un peu plus artificiel que dans n’importe quelle production américaine équivalente, sans que le scénario s’aventure beaucoup plus loin que ces dernières dans la complexité. Tout basique qu’il soit, le concept demeure sympathique et pourra autant parler aux ados qu’aux adultes bon-publics : c’est l’histoire d’un père qui raconte des histoires extraordinaires dont lui et sa fille sont les héros, mais qui n’a pas su prendre la mesure du fait que celle-ci grandissait. Côté méta, l’heure du conte est un plateau de cinéma, avec ses figurants, ses régisseurs et ses rivalités. La facture ultra colorée de cette dimension imaginaire suscite une certaine bienveillance mais ‘Le prince oublié’ pique tellement de petites choses à droite et à gauche, à tous les films et dessin-animés américains basés sur un principe plus ou moins identique (‘Vice-Versa’ en source principale du pillage) qu’il en devient parfois un peu gênant.
Vu en famille avec nos enfants de 9 et 12 ans donc en plein dans l'âge concerné : tout le monde a adoré, les enfants pour les décors et les personnages "imaginaires", l'ado pour l'histoire qui lui ressemble, les parents pour la justesse du sujet, du rôle du papa. top!