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Votre avis sur Le Prince Oublié ?
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Vu en avant première et comme à chaque fois emballée! Super casting avec toujours un grand Omar Sy! Un registre un peu différé de ses habitudes mais tellement bien mené ! Bravo!!!
Un film plein de tendresse.
Un conte pour enfant et adultes à l'âme d'enfant.
Omar Sy et Berenice Bejo superbes, de jeunes acteurs prometteurs.
Un conte pour enfant et adultes à l'âme d'enfant.
Omar Sy et Berenice Bejo superbes, de jeunes acteurs prometteurs.
Mes filles (7 et 14 ans) et moi (adulte) avons adoré ce film : de l'aventure, de l'humour, des petits clins d'œil dans les dialogues pour les grands, de la féerie, de l'émotion....
Un grand Omar Sy
A aller voir en famille
Un grand Omar Sy
A aller voir en famille
Nous sommes allés à l'avant première du 8 Février 2020 au cinéma les 3 Palmes à Marseille. Le film était très bien, une très belle histoire. Cependant nous étions un peu déçus que les acteurs viennent avant le film, et que surtout, à la fin du film, il n'y a pas eu de rencontre avec ces derniers. Fort dommage... mais très content d'avoir vu les acteurs et le réalisateur !
Michel Hazanavicius nous raconte une belle histoire, pleine de poésie. Le passage de l'enfance à l'adolescence de notre jeune héroïne est décrit avec finesse dans cet univers parallèle, un monde fascinant et très colorée qui amusera les petits et les grands.
Vu en avant première en présence des acteurs
😍le film est pas mal avec une belle histoire sur les enfants qui grandissent... Sa touche tous les parents
😍le film est pas mal avec une belle histoire sur les enfants qui grandissent... Sa touche tous les parents
J'ai beaucoup aimé. C'est un très beau conte qui s'adresse aux enfants, aux parents et aux grands-parents. Bref à tout le monde sauf aux 16-23 ans à moins qu'ils n'aient des neveux et nièce ou petits frères et sœurs qui grandissent. Je n'avais plus rien vu de pareil depuis Jeunet et Caro. Et Les scénaristes Bruno Merle et Noé Debré et Michel Hazanavicius ont fait mieux : le monde imaginaire et le monde réel sont étroitement entrelacés. Ils nous proposent une très jolie histoire, celle de l'enfant qui grandit. Jeu juste des grands et des petits avec Bérénice Béjot, François Damiens, Omar Sy et les enfants qu'ont reverra certainement. C'est les vacances, profitez-en.
J'ai vu cette chose en avant-première, à temps donc pour mettre chacun en garde contre cette soupe de mélasse mielleuse et de foutraque clownesque aux airs de disneyland sans une once d'humour ni la moindre parcelle d'intérêt.
Alors, épargnez-vous cela, et surtout épargnez-en vos enfants !
Alors, épargnez-vous cela, et surtout épargnez-en vos enfants !
J'ai adoré. C'est drôle, c'est touchant. Ca m'a complètement rappelé mon rôle de père où j'ai cessé d'être un prince que je suis redevenu .... Une superbe fable
Michel Hazanavicius n’a jamais oublié la belle histoire, cela même à travers le passé cela se ressent indéniablement dans toute sa filmographie « Oss 117 Le Caire nid d’espions ou encore le second volet de l’agent secret. Sans oublier le film qui a fait de lui un réalisateur auquel on frémisse à chaque nouveau projet depuis le triomphe de « The Artist ». Mais aussi le mal aimé et pourtant très bon « The Search » et plus récemment l’excellent « Le Redoutable » Cependant, il manque un je-ne-sais-quoi pour ne pas avoir envie d’oublier ce nouveau Prince. Hazanavicius a toujours été résolument nostalgique d’une époque. Avec cela la peur de l’oubli, l’imaginaire comme lieu de refuge. Histoire de faire perdurer les souvenirs jadis oubliés. Même si le conte dispose de belle valeur, tout est bien trop lisse et terriblement prévisible. Une texture à la « Roger Rabbit », un très léger côté « Truman Show » la chocolaterie des merveilles ne prend pas, je me suis déjà retrouvé dans les bras Morphée. La composition d’Howard Shore, est malheureusement décevante le tout sans grande inspiration, comme l’impression d’entendre les morceaux qui étaient dans le tiroir des invendus et sans âme. Le film ravira peut-être les parents et leur enfant ou pas, car parfois même dans les contes ce monde est cruel. Boulevardducinema.com
Wouaw quelle petite de 2020 pour la famille, une histoire touchante et à la fois marrante.
Omar joue un rôle vraiment touchant, j'ai adoré !
Je vous conseil d'allez le voir.
J'ai eu l'occasion de le voir en AVP au CGR de blagnac merci pour ce moment inoubliable !!
Omar joue un rôle vraiment touchant, j'ai adoré !
Je vous conseil d'allez le voir.
J'ai eu l'occasion de le voir en AVP au CGR de blagnac merci pour ce moment inoubliable !!
Très bonne comédie française, avec de l'humour, de l'imagination, de la tendresse, de l'amour, de la poésie.
Des jeunes comédiens à découvrir, avec un réalisateur qui tente un nouveau style avec brio et des acteurs délicieux avec Omar, François, et Berenice.
Une vraie détente, et surtout un film sans violence, ça fait du bien !
Des jeunes comédiens à découvrir, avec un réalisateur qui tente un nouveau style avec brio et des acteurs délicieux avec Omar, François, et Berenice.
Une vraie détente, et surtout un film sans violence, ça fait du bien !
ConFucAmuS
Le Prince oublié occupe une place bien particulière dans la filmographie de son réalisateur. Il arrive après les triomphes populaires d'OSS 117 et The Artist, qui célébraient à leur façon le cinéma et ses figures installées (le muet et noir et blanc, l'agent secret (a)typique).
Mais surtout après deux tentatives, The Search et Le Redoutable, plus singulières, plus sérieuses, plus sensibles. Leurs échecs (injustes, à mon avis) ont paradoxalement donné l'envie à Michel Hazanavicius de continuer à étendre son répertoire avec le film pour enfants.
Une tentative plus que bienvenue, au moment où il aurait pu opter pour une troisième aventure d'Hubert Bonisseur de la Bath et s'offrir un succès garanti. La présence d'Omar Sy - au capital sympathie dévastateur (et je le comprends) - assurant les arrières, M. Hazanavicius prend donc le pari de mettre (un peu) les vannes en sourdine et d'aller à plus d'innocence.
Il y a cependant un problème. Le Prince Oublié narre l'histoire d'un père veuf (Djibi) qui avait pour habitude de raconter des histoires à sa petite Sofia pour dormir. Un monde virtuel dont il est le héros et Sofia la princesse à protéger. Ses fables apparaissent autant comme le moyen de faire rêver sa fille que d'assurer son rôle de père. Sitôt que l'adolescence rapplique, le rapport père-fille s'en retrouve bousculé, ainsi que ce microcosme onirique bâti par Djibi.
Oui, le problème est là. Cette histoire, on l'a déjà vue avec Vice-Versa en 2015. Malgré sa bonne volonté, et la magie dégagée par ses interprètes, Le Prince Oublié patine rapidement sur une voie empruntée par Pixar et ne parvient jamais à s'en émanciper. À la rigueur, son premier tiers propose l'idée méta assez intéressante d'un monde imaginaire évoquant les studios de cinéma. En dehors de ça, même le retournement du concept (les parents ont cette-fois ci le premier rôle) ne permet pas de réel détour sur un chemin nouveau. Et c'est dommage.
Après différents essais transformés et parfaitement habités par la personnalité de leur auteur, Le Prince Oublié manque d'un "père" plus présent à la barre pour dynamiter les codes, comme Hazanavicius sait si bien le faire.
Mais surtout après deux tentatives, The Search et Le Redoutable, plus singulières, plus sérieuses, plus sensibles. Leurs échecs (injustes, à mon avis) ont paradoxalement donné l'envie à Michel Hazanavicius de continuer à étendre son répertoire avec le film pour enfants.
Une tentative plus que bienvenue, au moment où il aurait pu opter pour une troisième aventure d'Hubert Bonisseur de la Bath et s'offrir un succès garanti. La présence d'Omar Sy - au capital sympathie dévastateur (et je le comprends) - assurant les arrières, M. Hazanavicius prend donc le pari de mettre (un peu) les vannes en sourdine et d'aller à plus d'innocence.
Il y a cependant un problème. Le Prince Oublié narre l'histoire d'un père veuf (Djibi) qui avait pour habitude de raconter des histoires à sa petite Sofia pour dormir. Un monde virtuel dont il est le héros et Sofia la princesse à protéger. Ses fables apparaissent autant comme le moyen de faire rêver sa fille que d'assurer son rôle de père. Sitôt que l'adolescence rapplique, le rapport père-fille s'en retrouve bousculé, ainsi que ce microcosme onirique bâti par Djibi.
Oui, le problème est là. Cette histoire, on l'a déjà vue avec Vice-Versa en 2015. Malgré sa bonne volonté, et la magie dégagée par ses interprètes, Le Prince Oublié patine rapidement sur une voie empruntée par Pixar et ne parvient jamais à s'en émanciper. À la rigueur, son premier tiers propose l'idée méta assez intéressante d'un monde imaginaire évoquant les studios de cinéma. En dehors de ça, même le retournement du concept (les parents ont cette-fois ci le premier rôle) ne permet pas de réel détour sur un chemin nouveau. Et c'est dommage.
Après différents essais transformés et parfaitement habités par la personnalité de leur auteur, Le Prince Oublié manque d'un "père" plus présent à la barre pour dynamiter les codes, comme Hazanavicius sait si bien le faire.
Super film à voir en famille, surtout si vous avez des enfants ! Je l'ai vu en avant-première et je n'ai pas été déçu. Quand j'ai vu la bande-annonce, je n'étais pas sur d'aimer le film mais finalement, SI !!!
ce soir 23.01.20 c'était avant-première du Film "Le PRINCE Oublié" avec Omar Sy, Bérénice BEJO, François Damiens..... séance au Ciné PALACE D'EPERNAY 51 en présence de Bérénice BEJO , Michel HAZANAVICIUS et un membre de la production(Jonathan) accueillis par M.Castaner gérant Le Palace. FILM tous publics et plein de poésie, conte sur le passage à l'adolescence vue de la relation Père-Fille...Très Spectaculaire également !!! merveilleux conte à double approche réelle/virtuelle....
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