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    Le Prince Oublié
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    289 critiques spectateurs

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    Yetcha
    Yetcha

    894 abonnés 4 406 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 novembre 2020
    Alors là bravo car le sujet du passage l'adolescence, la fin de l'innocence, le rejet des parents etc.. Chapeau. Tout est fait de telle sorte qu'on saisi parfaitement les dessous psychologique de ce passage obligé de tout être humain. Une très belle mise en image et poétique de ce moment délicat. C'est drôle, touchant et à la fois sérieux. La bande-annonce ne laissait pas penser à une telle approche, aussi fine. Un super film parental et familial!
    Benito G
    Benito G

    677 abonnés 3 162 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 février 2020
    Un film de chez nous pas spécialement innovant si l on regarde ce qui sait déjà fait. Mais reprenant une base bien Frenchi, on se retrouve devant une comédie familiale assez touchante ou parent enfant se trouve réunit... En parallèle avec un imaginaire débordant aux FX tres bons. Le cahier des charges et donc bien remplit et respecté. Et offre des acteurs au top de leur forme. Omar S. une fois de plus devoile une bonne prestation. Certains trouveront l ensemble un peu too much si on s appuie sur le côté subtile des choses... Mais après tout, le principe de nous divertir , tant enfant que parent et réussit et l on sort de la séance avec le smile ! Bref pari réussi pour cette comédie de début d année.
    Ti Nou
    Ti Nou

    508 abonnés 3 505 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2020
    Il est parfois difficile, quand on est parent, d’accepter que son enfant grandisse. Michel Hazanavicius conte une belle histoire où les personnages provoquent d’emblée l’empathie. Jamais caustique ou cynique, son film fait preuve d’une grande bienveillance et ça fait du bien.
    moket
    moket

    539 abonnés 4 345 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 janvier 2021
    Un film inventif et touchant et une belle histoire sur la relation père/fille, la peur d'être "remplacé". On aurait apprécié un peu plus de fantaisie, que le film aille plus loin dans la folie, car il y a un côté très artificiel à ce monde imaginaire. Et on ne peut s'empêcher de penser que Toy Story ou encore Vice Versa ont déjà raconté la même histoire... mais en mieux !
    Hotinhere
    Hotinhere

    569 abonnés 4 993 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 mars 2021
    Un conte familial sur l’imaginaire au pitch séduisant et orignal, mais au résultat final complètement raté, sans magie ni saveurs.
    legend13
    legend13

    252 abonnés 1 058 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mars 2020
    Un concept plutôt sympathique et original. Omar Sy s'en donne à cœur joie dans ce jolie petit mélange de vie réel et de conte de fées. D'ailleurs le monde imaginaire est plutôt bien foutu et inventif. Certaines répliques et situations sont bien senties. Oui mais voilà, de la part d'un réalisateur de la trempe de Hazanavicius on est en droit d'attendre beaucoup mieux surtout dans sa dernière partie bourré d'effets numériques en tout genre. Bref, un film sympathique surtout destinée à un jeune public. Et c'est bien dommage.
    Ricco92
    Ricco92

    230 abonnés 2 156 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 décembre 2022
    Il arrive un jour où les parents ne deviennent plus les héros de leurs enfants qui préfèrent doucement s’orienter vers leurs amoureux ou leurs amoureuses. C’est cette coupure progressive du cordon ombilical parfois difficile à gérer pour certains parents que choisit de raconter Michel Hazanavicius dans Le Prince oublié. Pour cela il choisit d’adopter une structure narrative rappelant celle du Magnifique en alternant des séquences se déroulant dans le monde réel avec d’autres se situant dans un monde imaginaire provenant cette fois d’un fantasme enfantin vu du point de vue du personnage du père. Hélas, Hazanavicius ne réitère pas l’exploit de Philippe De Broca car il n’arrive pas à intéresser autant aux deux univers. S’il réussit plutôt les séquences se situant dans la réalité avec une intrigue qui peut évoquer des souvenirs à de nombreux parents, il rate totalement celles se déroulant dans le monde imaginaire qui sont totalement grotesques et volontairement surjouées, sans compter sur le fait que celui-ci est totalement illogique car il adopte le point de vue du père alors qu’il est clairement enfantin. Ce conte pour enfants pourra donc peut-être plaire au jeune public possiblement plus sensible à l’aspect farfelu du monde imaginaire mais risque d’ennuyer un public adulte que cette fantaisie risque d’exaspérer par son aspect volontairement ridicule alors que la partie réaliste aurait pu lui plaire. Dommage !
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    135 abonnés 2 235 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 janvier 2021
    TOY STORY. Aux oubliettes. Avec le temps on n'aime plus. Séduit par le principe, la débauche d'effets spéciaux a refroidi mes ardeurs de bon humeur. Je veux bien que le Omar s'amuse, j'aurais préféré le plonger dans l'eau bouillante.
    shindu77
    shindu77

    94 abonnés 1 611 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mars 2020
    Film assez sympathique et bon dans l'ensemble. Les différents acteurs sont intéressants et l'histoire aussi. C'est davantage dans la réalisation que cela pêche un peu. Cela ne va pas assez loin dans la réflexion et donc ne dépasse pas le simple film parent/enfant.
    Bien mais peut mieux faire.
    jaja77
    jaja77

    61 abonnés 1 326 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 février 2020
    Un film à mi chemin entre rêve et réalité plutôt pas trop mal mais je suis un petit déçu. Pourtant l'histoire est très intéressante sur la relation compliquée entre le père et la fille sur le monde réel mais pour la partie imaginaire l'ai trouvé trop banale voir ennuyeuse et les images sont pas top aussi. Heureusement, "omar s'y" rattrape ce point négatif du film. Je pense que les enfants apprécieront mieux. Il se laisse voir une fois amplement.
    Michael78420
    Michael78420

    46 abonnés 1 459 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 février 2024
    Au départ j'ai craint le pire, pensant que Le Prince Oublié s'adressait aux moins de sept ans uniquement. Quand soudain j'ai compris la signification de ces deux mondes parallèles, faisant apparaître un joli conte. Une belle histoire de passage de l'adolescence entre un père et sa fille. Les personnages secondaires viennent ajouter leur grain de sel, en particulier Pritprout (François Damiens). Le spectateur reçoit des messages affichés dans les abribus (et puis un beau jour), sur les bus (confiance, un petit papa pour l'homme, un grand papa pour l'humanité), sur les 4x3 (quinze ans ont passé, comme un battement de cil). En voyant Djibi (Omar Sy) raconter des histoires à sa fille pour l'endormir, le papa que je suis s'est rappelé de toutes ces histoires que j'ai racontées à mes filles quand elles étaient petites. Et aussi du moment où ça devient inutile, comme lorsque Sofia dit "Papa j'ai onze ans, je peux me les faire toute seule mes histoires maintenant." Clotilde/la femme à la porte (Bérénice Béjo, ma chouchoute, comme chacun sait), accompagne cette transition en douceur : "Grâce à la confiance toutes les portes peuvent s'ouvrir." Alors la vie continue. Le monde imaginaire est féérique. Le monde réel est sympathique, mention spéciale pour le check tartare (je ne pouvais pas passer à côté). À voir surtout si vous avez (eu) des ados.
    chas
    chas

    37 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2020
    La fille à son papa grandit. Les avis sur le film sont contrastés, y compris à propos du jeu des acteurs alors que j’ai trouvé Sy, Damiens, Béjo excellents.
    Finir de raconter des histoires avant que s’endorme un enfant n’est pas une petite affaire, même si elle est un sujet familier traité ici avec malice et tendresse. Les personnages hauts en couleurs, sont aux couleurs de la fiction d’un monde rêvé traité avec la même gentillesse que celui de la réalité des arrêts de bus et des canapés convertibles.
    Je me demandais une fois l’émotion passée et la nostalgie revisitée, comment le cinéaste allait conclure. C’est au-delà de ce qu’un papou aurait imaginé : magnifiquement !
    Ma petite fille lorsque je lui disais qu’en apprenant à lire, elle allait s’ouvrir des mondes merveilleux m’a demandé : « mais tu continueras à me lire des histoires ».
    Parce que je suis un « enfant attardé » comme le disait Garcin au « Masque et la plume », et sans vergogne, j’ai visualisé aussi la fin de mes propres illusions, comment mes croyances se sont essoufflées ou sont devenues des caricatures. Et à vrai dire comme je suis un vieux monsieur, les oubliettes, elles, se rappelant à moi très souvent, j’aime bien quand le cinéma convoque à nouveau ceux qui sont tombés au fond.
    Roub E.
    Roub E.

    983 abonnés 5 015 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 janvier 2021
    Si je voulais être méchant je dirais que c’est gentil. Ce prince oublié avait pourtant de quoi me plaire sur le papier avec Hazanavicius derrière la caméra, Omar Sy devant et une histoire sur la difficulté pour un père de voir passer sa fille dans l’adolescence. Mais cette histoire a déjà été racontée et mieux que cela. Le film est trop gnan gnan, trop artificiel, chose curieuse chez Hazanavicius ça manque de soin à l’écran, ça paraît bâclé, trop frileux et peu inspiré. Le final surtout m’a déçu avec les personnages oubliés qui m’ont beaucoup fait penser à Vice Versa mais en beaucoup, beaucoup moins bien. Le film m’a aussi fait penser à « demain tout commence » ou Omar Sy jouait aussi un rôle de père protecteur et ce dernier était plus réussi. Ça n’est pas totalement honteux mais c’est franchement décevant.
    Audrey L
    Audrey L

    647 abonnés 2 593 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 février 2021
    Le dernier Michel Hazanavicius est un film dont on devine les intentions louables (le thème du lâcher-prise des parents sur les enfants, les valeurs fondamentales du rêve et du conte...) mais qui se ramasse royalement dans sa conception, jusqu'à en devenir un produit très laid, au héros ultra-antipathique et aux dialogues navrants. On remarque tout d'abord les effets spéciaux qui sont épouvantables, en témoignent le dragon vert ou le parc en vue d'ensemble, dignes d'un dessin animé bon marché. S'ensuit un soi-disant héros en construction qu'on préfèrerait plutôt étrangler avec sa cape (il est narcissique, puéril et n'hésite pas à jouer le collabo pour envoyer à la mort un personnage fragile qui avait pour seul tort d'habiter sa loge... Rien à faire, on le hait jusqu'au bout). Enfin le film semble adorer s'asseoir entre deux chaises, d'une part en alternant des dialogues d'une stupidité avérée ("Tant que la bataille n'est pas perdue, la bataille n'est pas perdue."... Oh ça alors, on n'aurait pas cru.) et d'autres d'une vulgarité qui fera siffler les oreilles des enfants (on ouvre le film sur trois utilisations du mot "c.n") ; de même que l'on oscille toujours entre niaiserie assumée (les histoires racontées, le vilain Pritprout dont le nom flatulent annonce déjà la couleur) et film sur la déchéance des rêves d'enfants (tristounet pour les petits). Bref, un film qui navigue à vue et où l'on ne sait pas qui des enfants ou des adultes s'ennuient le plus. Un mélange de niaiserie dégoulinante, de dialogues dénués de toute intelligence et d'un héros qu'on jetterait volontiers aux oubliettes...
    Cinememories
    Cinememories

    487 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 septembre 2021
    Michel Hazanavicius touche à tout ce que se rapproche de la French Touch, avec un style très particulier, car on pourrait lui reprocher de trop remodeler des œuvres ou icônes existantes. Malgré tout, nous n’excluons pas l’ambition de bien vouloir se démarquer de ces supports et il s’en affranchit assez bien avec “OSS 117” et avec son généreux “The Artist”. El il remonte à loin, cette époque qui le poussait dans la satire de l’audiovisuel, car c’est une régression instantanée avec ce conte, qui rapproche de “Vice-Versa” dans sa structure. Le film réussit néanmoins à divertir, mais pour un public plus aguerri, il faudra plus que des effets visuels moyens, pour rendre l’aventure inoubliable et surtout pertinente. Le rapport père-fille est brossé dans le sens du poil, pas de surprises quant à la finalité d’une intrigue qui tourne souvent en rond. Ce sera donc dans ces divers échanges et échos à l’univers des histoires fantastiques que la magie doit opérer et conquérir le cœur des protagonistes et du spectateur.

    Malheureusement, le film trébuche souvent sur ce décalage qui réécrit la réalité au-delà de la frontière des rêves. Nous ressentons véritablement l’absence d’un modèle féminin fort et rassurant et la mise en scène y parvient dès l’introduction. Mais cette peine se retrouve rapidement mise de côté afin de faire évoluer Sofia (Sarah Gaye), fraîchement débarquée au collège. Le portrait de cette portion de vie n’est que confusion, mais l’on ne cherchera pas à aller plus loin, car ce sera la quête d’admiration qui sera au coeur de la mêlée. La jeune fille grandit et son paternel Djibi (Omar Sy) s’éloigne peu à peu du titre de meilleur ami et confident de cette dernière. Pourtant, le thème familial persiste et le récit nous ramène vers cet équilibre, qui a déjà laissé des cicatrices derrière. Pour l’enfant, rien n’est plus dangereux que l’apprentissage via ses fréquentations, mais nous passons tous par là et ce sont des erreurs communes qui parlent à chacun, aussi bien aux parents qu’aux enfants ouverts d’esprit. Et c’est ainsi à chaque chapitre qui s’enchaîne. La prise de recul est sans doute le message universel qui catalyse l’aventure intérieure, mais que vaut-elle réellement ?

    Le réel et l’imaginaire ne font qu’un en soi, et la comparaison avec le célèbre Pixar semble inévitable. Avec de monde coloré, stylisé, lisse et pleines de péripéties en tout genre, une hiérarchie s’installe et c’est sans doute ce qui prêtera à confusion sur l’ensemble du conte. Le parallèle avec les problématiques d’une pré-adolescente ne parvient pas toujours à rendre l’imaginaire crédible. Des détails s'acharnent pourtant à trancher sur ce qui est flou et ce qui tiendrait du concret. Et bien que la mise en scène puisse amuser, le point de vue du père semble freiner les ambitions d’Hazanavicius, qui passe à côté de son sujet. Pour un film qui souhaite mettre en retrait la réalité en faveur de l’imaginaire, c’est un échec total. Elle prend plus de place qu’il n’y paraît, car les échanges tombent à plat et quand bien même le réalisateur cherche à transposer le concept d’industrie qui contrôle tout, jusque dans les fantasmes, il trébuche sur sa transposition. Tout comme le personnage de Bérénice Bejo, il y a de l’incohérence dans l’air et autour des oubliettes, qui n’assument pas la meilleure des morales.

    Nous sommes donc loin d’investir le minimum syndical d’Hollywood, car il faut revoir l’approche. Le passionné de Godard et le cinéphile derrière l’architecture intéressante de “Le Redoutable” n’a pas su empêcher “Le Prince Oublié” de définitivement sortir de sa caverne. De même, Howard Shore ne parvient pas à sublimer l’esthétique, qui ne convainc pas de base et donc la plupart des idées de mise en scène finissent dans le caniveau. Le point de vue adulte n’a pas pu être travaillé comme souhaité et on ressent les multiaxes narratifs qui s’établissent sans trouver de dénouement ni de continuité. Il faudra plus que des panneaux publicitaires comme transition, il faut du cœur et plus de maturité pour mettre à genoux l’audience qui demande encore à être enchantée.
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