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Votre avis sur Le Prince Oublié ?
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Destinè à un jeune public, cette grosse production de Michel Hazanavicius vaut surtout pour son inventivitè visuelle en nous transportant dans le monde de l'imaginaire, à la manière de Tim Burton! La rèfèrence est èvidente! Pourtant les situations intèressantes ne manquent pas dans ce conte familial d'autant que « le gentil » Omar Sy et « le mèchant » François Damiens font des prestations plutôt amusantes! Reste que "Le prince oubliè" (2020) est assez niais dans ce qu'il propose avec une histoire qui manque parfois de rythme dans ces aller-retours entre le monde imaginaire et rèel! On regrette aussi que le scènario, plutôt bien construit, ne soit pas plus fouillè chez les personnages rèels et qu'il serve uniquement à introduire des effets visuels façon « Toys » , mais avec des moyens français! Heureusement on ne s'ennuie pas et Omar Sy a suffisamment de sympathie pour que l'on croit dur comme fer à son personnage de papa « prince » cèlibataire! Idèal pour les fêtes de fin d'annèe...
Beaucoup de tendresse et un univers imaginatif tres fertile. Au premier plan la complicité d'un père et sa fille qui entre dans l'adolescence avec tous les changements que ça induit. La moitié du film se déroule dans le monde imaginaire et c'est assez savoureux. J'avoue avoir pris plaisir a replonger dans les histoires sans queue ni tête avec des personnages extravagants qu'on raconte aux enfants ...
Cinéphiles 44
Dans “Le Prince Oublié”, Omar Sy est le père veuf d’une fille de onze ans. Chaque soir, il lui raconte une histoire dans laquelle il est un prince. Mais sa fille grandit et entre dans l’adolescence, l’âge de la contestation. Son personnage de prince va alors devoir se battre pour ne pas tomber dans les oubliettes. Dans le film, Michel Hazanavicius oppose le monde social réel à celui où tout est possible entre féérie et imaginaire. Son parc géant est vivifiant de couleur et séduira les enfants et la plupart des adultes. En effet, le réalisateur a mis le paquet sur les effets spéciaux, voir trop, et place son conte dans un style très singulier pour le cinéma français. Le personnage d’Omar Sy est sans surprise, il convint comme on s’y attendait. Celui de François Damiens est drôle et moche à souhait. Celui de Bérénice Bejo est plus authentique et parvient quelques fois à nous toucher. “Le Prince oublié” est une comédie charmante et attendrissante qui aurait cependant gagné à être moins répétitif et moins numérique.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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Nous avons beaucoup aimé.J y suis allée avec mes petits enfants.Nous avons tous trouvé l histoire intéressante poétique et drôle et les acteurs formidables.On vous le conseille
CinÉmotion
Bon, déjà il est plutôt surprenant de voir Michel Hazanavicius pour ce genre de film, et le fait qu'il sorte un peu de sa zone de confort est honorable. Le résultat est mitigé pour ma part. Je dois avouer que la première partie m'a fait très peur, et semblait très orienté "enfantin", mais petit à petit j'ai finalement réussi à intégrer l'univers et à me laisser un peu porter par celui-ci sans réellement y arriver à 100%.
D'un point de vue scénario déjà, j'ai trouvé l'histoire et tout le parallèle qui est fait entre l'arc narratif de l'enfant spoiler: (à savoir la fin de l'enfance et l'entrée dans l'adolescence)
avec l'arc narratif du père, spoiler: (à savoir celui de l'âge adulte et le début d'une nouvelle relation amoureuse)
, intéressante et qui se répondait bien l'un dans l'autre. Par contre, l'arc narratif adulte m'a semblé trop caricatural et nian nian, mais cela s'inscrit dans le cahier des charges d'un film familial orienté enfant. Autant Omar Sy arrive comme toujours à emporter mon adhésion avec son rayonnement solaire et sa façon de jouer qui, même avec des dialogues pas toujours au niveau, parvient quand même à les faire sonner justes et à crédibiliser toute une scène, ce qui est quand même un atout énorme pour un acteur (mais du coup aussi pour le réal) ! Mais alors autant Bérénice Béjo, au contraire, je l'ai trouvé pas tellement à la hauteur, ou en tout cas pas faite pour ce rôle, je n'ai jamais pu accrocher ni à sa prestation, ni à son personnage. Peut-être que j'ai eu du mal à la dissocier de rôle plus "réaliste et sérieux" qu'elle a l'habitude de jouer, je ne sais pas, mais elle m'a presque paru insupportable dans ce film. Et du coup, les scènes spoiler: "amoureuses" entre elle et le père
, m'ont paru complètement fausses et caricaturales, peut-être est-ce aussi dû à l'écriture "fable" et les facilités d'écriture qui se rapporte à ce genre de film, je ne sais pas, mais pour moi Bérénice Béjo a clairement été un défaut dans ce film. Par contre, François Damiens, (que j'adore !!) remplit pleinement la mission, je l'ai trouvé très bon et drôle dans son rôle du méchant, ce qui n'était pas forcément couru d'avance.
Ensuite, j'ai aussi eu un peu de mal avec les costumes et le côté "artificiel" et "artifices" des décors, qui se mélangeait à des effets numériques, mais cela m'avait fait le même effet avec le film d'Alain Chabat "Santa & Cie" qui reprenait un peu la même direction artistique pour l'univers parallèle de l'usine à jouet, etc. Une question d'habitude là encore, qu'on a pas tous les jours de voir en France. Mais paradoxalement, les décors sont aussi une force dans ce film, et permet de bien marquer les 2 univers (fable vs réalité), ambiance pop et coloré, et j'ai trouvé que le passage de l'un à l'autre des univers était bien orchestré, avec en plus l'audace de casser le 4ème mur parfois. Les effets visuels fonctionnent également sans être spectaculaire, seuls les vols en hauteur etc sont pas toujours très très réaliste dans leur effet et font pour le coup très artifice encore une fois.
Mais il faut quand même saluer l'ambition artistique et la créativité qui émane de ce film, avec de bonnes idées créatrices et visuelles, même si le budget (qui s'élève à 25 millions d'euros tout de même !) ne pouvait pas permettre d'en faire beaucoup plus, cela suffit amplement à émerveiller les plus jeunes et a voir un film français sortir un peu de ses carcans habituels.
D'un point de vue scénario déjà, j'ai trouvé l'histoire et tout le parallèle qui est fait entre l'arc narratif de l'enfant spoiler: (à savoir la fin de l'enfance et l'entrée dans l'adolescence)
avec l'arc narratif du père, spoiler: (à savoir celui de l'âge adulte et le début d'une nouvelle relation amoureuse)
, intéressante et qui se répondait bien l'un dans l'autre. Par contre, l'arc narratif adulte m'a semblé trop caricatural et nian nian, mais cela s'inscrit dans le cahier des charges d'un film familial orienté enfant. Autant Omar Sy arrive comme toujours à emporter mon adhésion avec son rayonnement solaire et sa façon de jouer qui, même avec des dialogues pas toujours au niveau, parvient quand même à les faire sonner justes et à crédibiliser toute une scène, ce qui est quand même un atout énorme pour un acteur (mais du coup aussi pour le réal) ! Mais alors autant Bérénice Béjo, au contraire, je l'ai trouvé pas tellement à la hauteur, ou en tout cas pas faite pour ce rôle, je n'ai jamais pu accrocher ni à sa prestation, ni à son personnage. Peut-être que j'ai eu du mal à la dissocier de rôle plus "réaliste et sérieux" qu'elle a l'habitude de jouer, je ne sais pas, mais elle m'a presque paru insupportable dans ce film. Et du coup, les scènes spoiler: "amoureuses" entre elle et le père
, m'ont paru complètement fausses et caricaturales, peut-être est-ce aussi dû à l'écriture "fable" et les facilités d'écriture qui se rapporte à ce genre de film, je ne sais pas, mais pour moi Bérénice Béjo a clairement été un défaut dans ce film. Par contre, François Damiens, (que j'adore !!) remplit pleinement la mission, je l'ai trouvé très bon et drôle dans son rôle du méchant, ce qui n'était pas forcément couru d'avance.
Ensuite, j'ai aussi eu un peu de mal avec les costumes et le côté "artificiel" et "artifices" des décors, qui se mélangeait à des effets numériques, mais cela m'avait fait le même effet avec le film d'Alain Chabat "Santa & Cie" qui reprenait un peu la même direction artistique pour l'univers parallèle de l'usine à jouet, etc. Une question d'habitude là encore, qu'on a pas tous les jours de voir en France. Mais paradoxalement, les décors sont aussi une force dans ce film, et permet de bien marquer les 2 univers (fable vs réalité), ambiance pop et coloré, et j'ai trouvé que le passage de l'un à l'autre des univers était bien orchestré, avec en plus l'audace de casser le 4ème mur parfois. Les effets visuels fonctionnent également sans être spectaculaire, seuls les vols en hauteur etc sont pas toujours très très réaliste dans leur effet et font pour le coup très artifice encore une fois.
Mais il faut quand même saluer l'ambition artistique et la créativité qui émane de ce film, avec de bonnes idées créatrices et visuelles, même si le budget (qui s'élève à 25 millions d'euros tout de même !) ne pouvait pas permettre d'en faire beaucoup plus, cela suffit amplement à émerveiller les plus jeunes et a voir un film français sortir un peu de ses carcans habituels.
Pendant une heure, Michel Hazanavicius parvient à rendre son nouveau long-métrage tout à fait digeste. Mais passé cette première partie de bonne facture, le récit plonge aux oubliettes, au sens propre comme au sens figuré. Omar Sy donnait pourtant, comme toujours, le meilleur de lui-même dans ce début de film convaincant. Bérénice Béjo jouait assez juste et apportait de la fraîcheur. Les deux enfants incarnant les rôles principaux étaient eux beaucoup moins à l’aise, semblant assez mal dirigé par un réalisateur peut-être peu dans son élément à l’idée de tourner avec des mineurs. Quant à François Damiens, sans être mauvais, on a connu l’acteur belge plus inspiré. La toute première séquence dans le monde imaginaire laisse pourtant assez dubitatif, tant on frôle la niaiserie dans les dialogues et dans les situations. L’intrigue, heureusement, s’installe ensuite de manière habile et on comprend vite que l’entrée au collège de la jeune héroïne va briser les idéaux du papa et va donc, en parallèle, bousculer son univers enchanté. Cela fonctionne assez bien jusque là, malgré un côté criard et pas toujours très joli des décors et des costumes, notamment celui ridicule d’Omar Sy en prince. Mais tout le final s’avère assez catastrophique accumulant des dialogues creux et des visuels hideux. Qu’une hâte alors : que cela se termine au plus vite ! Semblant être un film de commande destiné à sortir pour les vacances scolaires, et visant le public enfantin, Michel Hazanavicius tente des choses mais ne semble jamais à l’aise avec son sujet et finit par se perdre et nous livre un film inabouti et vite oubliable.
Une très bonne surprise que ce film plutôt destiné pour les enfants, mais pas que... Comme quoi une réalisation française peut rivaliser avec les productions américaines , à partir du moment ou l'on met des moyens et surtout de l'ambition. Les histoires en parallèle entre le monde réel et le monde imaginaire fonctionnent parfaitement, et ce n'était pas gagné d'avance. Le thème du deuil qui engendre un certain type de relation père fille est traité avec pudeur et réalisme. Donc inutile de faire la fine bouche parce que c'est une production hexagonale comme je vois ici et là sur certaines critiques, et quel dommage que ce film ne cartonne pas plus au box-office depuis sa sortie, et ce malgré les vacances scolaires...
J'ai une fille donc forcément ce film me touche. C'est très mignon, drôle et plein de métaphores excellente. J'ai passé un bon moment devant ce petit film.
Je ne comprends pas les grincheux.
Ce film est labéllisé family, c'est donc un film pour les enfants et me petits-enfants ont adoré, même mon petit-fils qui est très remuant est resté scotché.
Un scénario très original, bien ficelé, et Omar Sy reste très digne dans son collant.Des moments tendres et drôles.
Ce film est labéllisé family, c'est donc un film pour les enfants et me petits-enfants ont adoré, même mon petit-fils qui est très remuant est resté scotché.
Un scénario très original, bien ficelé, et Omar Sy reste très digne dans son collant.Des moments tendres et drôles.
Jean-Jacques FERNANDEZ
Plein de bonnes choses dans ce conte , malheureusement un genre pour lequel j'ai du mal à accrocher...Les passages surréalistes sont parfois un peu tirés par les cheveux. Super Casting.
Originalité: 8/10. Réalisation: 5/10. Acteurs: 8/10. Photo: 7/10.
Originalité: 8/10. Réalisation: 5/10. Acteurs: 8/10. Photo: 7/10.
Prince Oublié est un film un peu décevant. L'humour sauve un peu les meubles de cette histoire qui semblait bonne sur le papier, mais que pêche en vrai. La storyline ressemble à celle du dessin animé Pixar où on voit les émotions d'une ado en pleine adolescence. Mais il y a une belle magie et de très beaux effets.
Dik ap Prale
La partie côté conte n'est pas totalement réussie, jamais étourdissante à la limite peu surprenante, certains personnages tel que le Cowboy nous ravit, mais les liens entre les deux mondes sont en échos.
Un film très poétique sur les relations entre père et fille. Omar Sy est parfait, drôle et attachant, relayé par François Damiens en méchant cartoonesque et Bérénice Béjot en Fée Clochette / Dame de la porte.
Un bon moment en famille.
Un bon moment en famille.
Plutôt conte pour enfants (?) .... j'adore Omar Sy et Bérénice Bejo - ils sont encore extras dans ce divertissement qui conjugue plusieurs genres, pourquoi pas....C'est à mon goût juste un peu fouillis voire même légèrement désagréable à suivre (d'ailleurs je n'étais pas le seul vu le nombre de départs en projection). Certes, il y a de la poésie, et une fraîcheur indéniable, mais il manque du liant, du "vrai" et la mayonnaise n'a pas pris !! **
je suis restée bloquée sur les similitudes avec Vice-versa que j'avais adoré. Du coup je n'ai rien trouvé de drôle ni franchement touchant.
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