Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un joli film familial, pas bête, à la fois coloré et léger.
Public
par Florence Roman
Les effets spéciaux sont dignes des meilleurs films made in Hollywood, avec de l'émotion et un humour bien français en plus.
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette comédie sur un père face à sa fille qui grandit flirte avec le fantastique de façon originale.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Michel Hazanavicius signe un joli conte sur l’adolescence et les rapports entre père et fille.
Closer
par La Rédaction
Le propos est touchant et les décors dignes du meilleur Tim Burton.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Hazanavicius double son propos d’une réflexion sur la sortie de l’enfance par la perte de son imaginaire. Un imaginaire qu’il identifie au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Superbe comédie familiale, cet éloge de l’imaginaire est inspiré par la fin du rite qui réunit parent et enfant, le soir autour d’un livre. De cette mélancolie inévitable, le cinéaste, encore surprenant, tire un film fabuleux, enthousiasmant où rayonnent Bérénice Béjo, Omar Sy et François Damiens.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Ouest France
par Pascale Vergereau
Une sympathique comédie familiale.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Michel Hazanavicius signe un joli conte pour enfants qui aurait gagné à être plus enlevé.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Michel Hazanavicius revient avec un conte pour parents sages. Mais trop d’effets spéciaux tuent la fantaisie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
C’est surtout un film familial autour de la dimension universelle d’une touchante relation père-fille, avec un Omar Sy dans un rôle qui lui ressemble.
Le Parisien
par Catherine Balle
Au milieu de décors bigarrés et sous un déluge d'effets spéciaux qui en mettent plein la vue, le couple père-fille se révèle très touchant
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Olivier De Bruyn
Parfois maladroit dans l'enchevêtrement de ses deux récits, le film, malgré ses défauts, fait néanmoins preuve d'une ambition peu commune dans ce genre de production et confirme la singularité de l'auteur de "The Artist" et du "Redoutable".
Première
par Christophe Narbonne
Cet hymne à la paternité, s’il manque de mordant narratif et de trouvailles visuelles (une bonne idée cependant : assimiler le monde imaginaire à un plateau de cinéma), peut réussir à émouvoir par son côté ligne claire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Film pour jeune public d’un Michel Hazanavicius dont le moins qu’on puisse dire est qu’il s’attaque à tous les genres. Son « Prince oublié » est un objet hybride, bizarre, tendre aussi, qui en dit sans doute davantage sur le désarroi d’un père que sur l’enfance.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
On regrette que le scénario soit sacrifié au profit d'effets spéciaux envahissants. Reste un film attachant sur la relation père-fille et l'entrée dans l'adolescence.
Télérama
par Marie Sauvion
Il y a de jolies idées — les personnages si secondaires qu’ils en deviennent littéralement transparents —, une ambition certaine et même, au cœur de ce divertissement familial, une tentative de comédie romantique avec la pimpante et drôle Bérénice Bejo. Dommage que les bons sentiments noient souvent les gags comme la mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Du cinéma dans le cinéma ? En costume de conte et de comédie familiale, Le Prince oublié déguise une nouvelle déclaration d’amour au cinéma de Michel Hazanavicius, le cinéphile redoutable.
L'Ecran Fantastique
par Cédric Coppola
Le manque de magie, le peu de fantaisie, des décors ternes et une absence d'humour font regretter que le maître d'oeuvre n'ait pas laissé davantage parler la fantaisie et ne se soit pas pleinement engouffré dans un mélange de prises de vue réelles et d'animation comme "Roger Rabbit", "L'Apprentie sorcière" ou "Mary Poppins", voire "Space Jam" l'ont fait avant lui.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Du cinéma dans le cinéma ? En costume de conte et de comédie familiale, Le Prince oublié déguise une nouvelle déclaration d’amour au cinéma de Michel Hazanavicius, le cinéphile redoutable.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le réalisateur du Prince oublié a toujours eu le goût du spectacle, tenant aussi bien à lancer OSS 117 dans une vraie jungle qu’à mobiliser des centaines de figurants pour entourer Godard en mai 1968. Cette fois, le piège du spectaculaire s’est refermé sur lui (...).
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Un pot-pourri des productions Pixar, non dénué d'habileté scénaristique, mais un peu vide d'enjeux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Au fond, le problème de Michel Hazanavicius, c’est le réglage entre le premier degré et tous les autres degrés de distance possibles avec lesquels on peut aborder cette histoire et ce genre de film assez casse-gueule.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Loisirs
par Gwénola Trouillard
L'idée est séduisante et originale, même si Michel Hazanavicius peine à insuffler de la magie à son univers virtuel.
Voici
par A.V.
Ce conte au joli pitch souffre de son premier degré, de son casting inégal et d'un univers fantastique visuellement lourd, kitsch.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Complètement niais.
Critikat.com
par Josué Morel
Au-delà de l’échec industriel manifeste, qu’attendre d’un conte animé par une conception aussi étriquée de l’imaginaire ?
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
On sait gré à Michel Hazanavicius de changer de registre, et de tenter des choses très différentes, mais là, désolé, ce malheureux prince, charmant au demeurant, restera oublié.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Point
par Victoria Gairin
Pour son septième long-métrage, le réalisateur signe un conte familial sur l'imaginaire, kitsch et sans saveur. Quelle déception !
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Conte familial loupé dans les grandes largeurs, ce Prince oublié confirme que le cinéma de Hazanavicius est en crise.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par François Cau
[...] tout a un vague goût de plat réchauffé au micro-ondes, rien ne tient debout, rien ne fait sens, l'énergie s'y consume vainement, dans l'espoir qu'il en reste quelque chose.
Femme Actuelle
Un joli film familial, pas bête, à la fois coloré et léger.
Public
Les effets spéciaux sont dignes des meilleurs films made in Hollywood, avec de l'émotion et un humour bien français en plus.
20 Minutes
Cette comédie sur un père face à sa fille qui grandit flirte avec le fantastique de façon originale.
CNews
Michel Hazanavicius signe un joli conte sur l’adolescence et les rapports entre père et fille.
Closer
Le propos est touchant et les décors dignes du meilleur Tim Burton.
Franceinfo Culture
Hazanavicius double son propos d’une réflexion sur la sortie de l’enfance par la perte de son imaginaire. Un imaginaire qu’il identifie au cinéma.
La Croix
Superbe comédie familiale, cet éloge de l’imaginaire est inspiré par la fin du rite qui réunit parent et enfant, le soir autour d’un livre. De cette mélancolie inévitable, le cinéaste, encore surprenant, tire un film fabuleux, enthousiasmant où rayonnent Bérénice Béjo, Omar Sy et François Damiens.
Ouest France
Une sympathique comédie familiale.
La Voix du Nord
Michel Hazanavicius signe un joli conte pour enfants qui aurait gagné à être plus enlevé.
Le Figaro
Michel Hazanavicius revient avec un conte pour parents sages. Mais trop d’effets spéciaux tuent la fantaisie.
Le Journal du Dimanche
C’est surtout un film familial autour de la dimension universelle d’une touchante relation père-fille, avec un Omar Sy dans un rôle qui lui ressemble.
Le Parisien
Au milieu de décors bigarrés et sous un déluge d'effets spéciaux qui en mettent plein la vue, le couple père-fille se révèle très touchant
Positif
Parfois maladroit dans l'enchevêtrement de ses deux récits, le film, malgré ses défauts, fait néanmoins preuve d'une ambition peu commune dans ce genre de production et confirme la singularité de l'auteur de "The Artist" et du "Redoutable".
Première
Cet hymne à la paternité, s’il manque de mordant narratif et de trouvailles visuelles (une bonne idée cependant : assimiler le monde imaginaire à un plateau de cinéma), peut réussir à émouvoir par son côté ligne claire.
Sud Ouest
Film pour jeune public d’un Michel Hazanavicius dont le moins qu’on puisse dire est qu’il s’attaque à tous les genres. Son « Prince oublié » est un objet hybride, bizarre, tendre aussi, qui en dit sans doute davantage sur le désarroi d’un père que sur l’enfance.
Télé 7 Jours
On regrette que le scénario soit sacrifié au profit d'effets spéciaux envahissants. Reste un film attachant sur la relation père-fille et l'entrée dans l'adolescence.
Télérama
Il y a de jolies idées — les personnages si secondaires qu’ils en deviennent littéralement transparents —, une ambition certaine et même, au cœur de ce divertissement familial, une tentative de comédie romantique avec la pimpante et drôle Bérénice Bejo. Dommage que les bons sentiments noient souvent les gags comme la mélancolie.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Du cinéma dans le cinéma ? En costume de conte et de comédie familiale, Le Prince oublié déguise une nouvelle déclaration d’amour au cinéma de Michel Hazanavicius, le cinéphile redoutable.
L'Ecran Fantastique
Le manque de magie, le peu de fantaisie, des décors ternes et une absence d'humour font regretter que le maître d'oeuvre n'ait pas laissé davantage parler la fantaisie et ne se soit pas pleinement engouffré dans un mélange de prises de vue réelles et d'animation comme "Roger Rabbit", "L'Apprentie sorcière" ou "Mary Poppins", voire "Space Jam" l'ont fait avant lui.
Le Dauphiné Libéré
Du cinéma dans le cinéma ? En costume de conte et de comédie familiale, Le Prince oublié déguise une nouvelle déclaration d’amour au cinéma de Michel Hazanavicius, le cinéphile redoutable.
Le Monde
Le réalisateur du Prince oublié a toujours eu le goût du spectacle, tenant aussi bien à lancer OSS 117 dans une vraie jungle qu’à mobiliser des centaines de figurants pour entourer Godard en mai 1968. Cette fois, le piège du spectaculaire s’est refermé sur lui (...).
Les Inrockuptibles
Un pot-pourri des productions Pixar, non dénué d'habileté scénaristique, mais un peu vide d'enjeux.
Libération
Au fond, le problème de Michel Hazanavicius, c’est le réglage entre le premier degré et tous les autres degrés de distance possibles avec lesquels on peut aborder cette histoire et ce genre de film assez casse-gueule.
Télé Loisirs
L'idée est séduisante et originale, même si Michel Hazanavicius peine à insuffler de la magie à son univers virtuel.
Voici
Ce conte au joli pitch souffre de son premier degré, de son casting inégal et d'un univers fantastique visuellement lourd, kitsch.
Cahiers du Cinéma
Complètement niais.
Critikat.com
Au-delà de l’échec industriel manifeste, qu’attendre d’un conte animé par une conception aussi étriquée de l’imaginaire ?
L'Obs
On sait gré à Michel Hazanavicius de changer de registre, et de tenter des choses très différentes, mais là, désolé, ce malheureux prince, charmant au demeurant, restera oublié.
Le Point
Pour son septième long-métrage, le réalisateur signe un conte familial sur l'imaginaire, kitsch et sans saveur. Quelle déception !
Les Fiches du Cinéma
Conte familial loupé dans les grandes largeurs, ce Prince oublié confirme que le cinéma de Hazanavicius est en crise.
Mad Movies
[...] tout a un vague goût de plat réchauffé au micro-ondes, rien ne tient debout, rien ne fait sens, l'énergie s'y consume vainement, dans l'espoir qu'il en reste quelque chose.