Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette œuvre couverte de récompenses - notamment le Grand Prix du Festival d’animation de Tokyo, est distribuée en France par Eurozoom dont l’exigence en matière d’animation surprend constamment.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Prescilia Corrent
Une merveilleuse ode onirique à l’insouciance de l’enfance, et un brin de fraîcheur et de douceur candy salvateurs pour nous, habitués à la monotonie de notre quotidien.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Antoine Le Fur
Intelligent et profondément humaniste, "Happiness Road" s'impose comme la belle surprise animée de l'été.
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Malgré un dénouement un peu convenu, ce premier film de la Taïwanaise Hsin Yin Sung sonne incroyablement juste, captant des moments de vérité et restituant avec une sensibilité impressionnante l’enfance, son insouciance et ses souffrances, les questions d’identité de l’adolescence et la quête de bonheur de l’âge adulte.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
C’est un très beau film sur le bonheur, la poursuite du bonheur, qui ne se cache pas que sur cette route, si on souhaite y croire, est semée d’embûches. Pour petits et grands.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Christophe Narbonne
Il y a du Takahata dans cette chronique nostalgique du passage à l'âge adulte qui parle de déracinement et de vague à l'âme via un récit déconstruit et des variations visuelles qui procurent un tourbillon d'émotions.
Télérama
par Samuel Douhaire
Un passionnant récit d’apprentissage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Politique et poétique, Happiness Road est un éloge animé de l’enfance, de la vie et du bonheur. Beaucoup de bonheur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Si "Happiness Road" aurait sans doute gagné à être raccourci, sous ses traits et son humour enfantin, il se révèle émouvant et plus profond qu’on pouvait le penser.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Avis aux potentiels spectateurs : ne pas se laisser décourager par l’abondance de références enfantines. La route est longue (une heure cinquante et une minutes) et la voie lactée, mais le périple vaut le détour pour ceux qui seraient curieux de (re)visiter l’histoire de Taïwan de ces quarante dernières années, au détour d’une fiction autobiographique – en partie seulement.
Première
par Christophe Narbonne
Plusieurs strates narratives et visuelles composent le récit, un brin décousu, qui dessinent au final une chronique douce-amère du passage à l’âge adulte, avec ses espoirs déçus, son deuil de l’enfance et la prise en main nécessaire pour s’accomplir.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Cette œuvre couverte de récompenses - notamment le Grand Prix du Festival d’animation de Tokyo, est distribuée en France par Eurozoom dont l’exigence en matière d’animation surprend constamment.
Ecran Large
Une merveilleuse ode onirique à l’insouciance de l’enfance, et un brin de fraîcheur et de douceur candy salvateurs pour nous, habitués à la monotonie de notre quotidien.
L'Express
Intelligent et profondément humaniste, "Happiness Road" s'impose comme la belle surprise animée de l'été.
La Croix
Malgré un dénouement un peu convenu, ce premier film de la Taïwanaise Hsin Yin Sung sonne incroyablement juste, captant des moments de vérité et restituant avec une sensibilité impressionnante l’enfance, son insouciance et ses souffrances, les questions d’identité de l’adolescence et la quête de bonheur de l’âge adulte.
Les Inrockuptibles
C’est un très beau film sur le bonheur, la poursuite du bonheur, qui ne se cache pas que sur cette route, si on souhaite y croire, est semée d’embûches. Pour petits et grands.
Ouest France
Il y a du Takahata dans cette chronique nostalgique du passage à l'âge adulte qui parle de déracinement et de vague à l'âme via un récit déconstruit et des variations visuelles qui procurent un tourbillon d'émotions.
Télérama
Un passionnant récit d’apprentissage.
aVoir-aLire.com
Politique et poétique, Happiness Road est un éloge animé de l’enfance, de la vie et du bonheur. Beaucoup de bonheur.
Le Journal du Dimanche
Si "Happiness Road" aurait sans doute gagné à être raccourci, sous ses traits et son humour enfantin, il se révèle émouvant et plus profond qu’on pouvait le penser.
Le Monde
Avis aux potentiels spectateurs : ne pas se laisser décourager par l’abondance de références enfantines. La route est longue (une heure cinquante et une minutes) et la voie lactée, mais le périple vaut le détour pour ceux qui seraient curieux de (re)visiter l’histoire de Taïwan de ces quarante dernières années, au détour d’une fiction autobiographique – en partie seulement.
Première
Plusieurs strates narratives et visuelles composent le récit, un brin décousu, qui dessinent au final une chronique douce-amère du passage à l’âge adulte, avec ses espoirs déçus, son deuil de l’enfance et la prise en main nécessaire pour s’accomplir.