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Tant d’acuité, de style et de risques payants nous permettent de considérer ce petit film sur des petites choses comme l’avènement d’une authentique cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ce que le film sacrifie en un certain flou, il le retrouve dans sa capacité à dessiner un mouvement et à se laisser emporter par des événements dont l’importance déborde l’intériorité de son personnage et semble le placer face à la figure de sa propre vie.
Terra Franca est bien plus qu’un film divertissant. Il est frappant de voir comment cette jeune cinéaste et chef-opératrice nous donne à suivre un « feuilleton » alors que la parole a jailli des repas familiaux. Rien ne relève du décor : tout est vrai, la maison, la table à manger, le bateau d’Albertino, le bar que tient Dalia…
"Terra Franca" est une preuve de plus de l’émergence d’une nouvelle et séduisante génération dans le cinéma portugais. S’ajoute à la liste le nom de Leonor Teles, dont il faudra chérir le cinéma autant qu’il chérit ses personnages, c’est-à-dire beaucoup.
Mais à force de fuir toute forme de dramatisation, Terra Franca finit peu à peu par susciter l’ennui, oubliant de tendre la main vers le spectateur pour un résultat dont la cérébralité finit presque par résonner comme un contresens par rapport à la promesse de départ.
La critique complète est disponible sur le site Première
Mais à force de fuir toute forme de dramatisation, son Terra Franca finit peu à peu par susciter l’ennui, oubliant de tendre la main vers le spectateur pour un résultat dont la cérébralité finit presque par résonner comme un contresens par rapport à la promesse de départ.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
Tant d’acuité, de style et de risques payants nous permettent de considérer ce petit film sur des petites choses comme l’avènement d’une authentique cinéaste.
L'Humanité
Pourquoi filmer la banalité ? Sans doute parce qu’elle est trop rare au cinéma. Ce documentaire simple et serein lave les yeux.
Les Fiches du Cinéma
Refusant la dramatisation et la focale ethnographique, ce portrait intergénérationnel révèle avec finesse sa beauté brute.
Télérama
Un doc lumineux et sensible où s’invite aussi la peur des lendemains.
Cahiers du Cinéma
Ce que le film sacrifie en un certain flou, il le retrouve dans sa capacité à dessiner un mouvement et à se laisser emporter par des événements dont l’importance déborde l’intériorité de son personnage et semble le placer face à la figure de sa propre vie.
Le Monde
Terra Franca est bien plus qu’un film divertissant. Il est frappant de voir comment cette jeune cinéaste et chef-opératrice nous donne à suivre un « feuilleton » alors que la parole a jailli des repas familiaux. Rien ne relève du décor : tout est vrai, la maison, la table à manger, le bateau d’Albertino, le bar que tient Dalia…
Les Inrockuptibles
"Terra Franca" est une preuve de plus de l’émergence d’une nouvelle et séduisante génération dans le cinéma portugais. S’ajoute à la liste le nom de Leonor Teles, dont il faudra chérir le cinéma autant qu’il chérit ses personnages, c’est-à-dire beaucoup.
Critikat.com
Les belles nuances qui naissent des lumières entre chien et loup ne viennent jamais éclairer un récit qui se refuse toute zone d’ombre.
Première
Mais à force de fuir toute forme de dramatisation, Terra Franca finit peu à peu par susciter l’ennui, oubliant de tendre la main vers le spectateur pour un résultat dont la cérébralité finit presque par résonner comme un contresens par rapport à la promesse de départ.
Première
Mais à force de fuir toute forme de dramatisation, son Terra Franca finit peu à peu par susciter l’ennui, oubliant de tendre la main vers le spectateur pour un résultat dont la cérébralité finit presque par résonner comme un contresens par rapport à la promesse de départ.