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Votre avis sur Alice et le maire ?
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Ce film se voudrait une satire grinçante du monde politique mais il s’empêtre dans les états d’âmes d’un maire d’une grande ville. La sensibilité d’Anaïs Demoustier reste bloquée sur quelques regards et l’audace de Fabrice Luchini est noyée dans une fatigue qui ne semble pas seulement être celle demandée pour le rôle. Ça partait bien, mais le soufflé reste plat et froid. C’est triste.
"Alice et le maire" - deuxième long-mètrage ècrit et rèalisè par Nicolas Pariser / 723 587 entrèes en France / critiques quasi dithyrambiques - ne serait certainement pas l'oeuvre verbeuse qu'elle est sans la prèsence usèe et dèsabusèe de Fabrice Luchini et de la remarquable Anaïs Demoustier dans le rôle de la brillante professeure de philosophie! Grâce à eux, on suit cette rencontre piquante et subtile sur la vacuitè du pouvoir qui s'inspire plus ou moins de 'L'arbre, le maire et la mèdiathèque" (1991) d'Eric Rohmer en ayant aussi la politique comme sujet! Un scènario de base très intèressant (un maire qui n'a plus d'idèe) avec tous les ingrèdients du film français sans genre, mais ouvert en terme de pensèes et d'idèes politiques! L'essentiel du film se passe donc dans un bureau, sur les bords du Rhône, avec une ville de Lyon qui ressemble à s'y mèprendre à une grande mètropole d'Europe Centrale! Ce qui aurait pu être ennuyeux devient passionnant (cf. la rèdaction du discours en un seul plan) grâce au duo de comèdiens! Cèsar (surprise) de la meilleure actrice pour Demoustier! Luchini aurait pu au moins prètendre à une nomination...
Un très bon film. Une très bonne comédie dramatique avec Anais Demoustier, Fabrice Luchini et Nora Hamazawi sur la fonction de maire d'une ville importante comme Lyon.
Un film d'une absolue nullité dans lequel un maire manque d'idées.
Hélas , c'est plutôt le réalisateur qui manque d'idées avec des décors minimalistes et des dialogues sans intéret.
Pour Fabrice Luchini, "la politique est une névrose très mystérieuse" Le Monde, 19 mai 2019 .
Pour moi ce cinéma est une névrose très ennuyeuse.
A réserver à celles et ceux qui se croient supérieurs intellectuellement parce qu'ls s'enferment dans un ennui de 103 minutes.
Hélas , c'est plutôt le réalisateur qui manque d'idées avec des décors minimalistes et des dialogues sans intéret.
Pour Fabrice Luchini, "la politique est une névrose très mystérieuse" Le Monde, 19 mai 2019 .
Pour moi ce cinéma est une névrose très ennuyeuse.
A réserver à celles et ceux qui se croient supérieurs intellectuellement parce qu'ls s'enferment dans un ennui de 103 minutes.
En fait, le projet du film est de faire renouer le socialisme avec une certaine idée du contrat social. Et c'est le rôle du personnage d'Anaïs Demoustier, de donner à un maire l'occasion de renouer avec une forme d'éthique philosophico démocratique face à un système économique qui depuis longtemps paralyse les idéaux de la gauche. En soit, c'est bel et bien un film politique. L'autre intérêt du film, c'est de nous montrer la machinerie technocratique dans ce qu'elle a de plus inepte avec ses intrigues internes, ces jalousies, etc... Sur ces deux aspects là, le film de Nicolas Pariser est assez remarquable. Même si parfois certaines digressions font artificielles et qu'il manque clairement un je ne sais quoi plus de plus fort ou de plus engagé que cet alignement de joutes cérébrales ou théoriques. Sinon, la mise en scène est très académique mais soignée. Mais ça ne prend pas de risques. Côté acteurs, voila un défi pour Luchini, qu'on sait plutôt saltimbanque de droite, de jouer une personnalité de gauche. Il le fait bien, dans un registre sobre mais dense. A ses côtés, Anaïs Demoustier est assez juste, mais son personnage n'est pas complétement caractérisé. Au final, "Alice et le maire" peut se voir comme un film désabusé sur un monde politique incapable de se remettre en question. Mais sa forme très convenue et l'absence d'enjeu fort l'empêche d'être vraiment passionnant.
Rares sont les films qui s'intéressent au contenu politique sans traiter d'un scandale ou d'une corruption quelconque. C'est tout le mérite de ce film de traiter des idées et des difficultés de bâtir un projet politique cohérent. Certes, il pêche un peu par le fait qu'on ne sait pas vraiment l'enjeu final mais sinon, il nous propose quelque chose d'intelligent servi par un grand acteur dans le rôle du maire. A réserver à ceux qui aiment réfléchir.
un film très bien interprété sur le pouvoir, l'action politique et les idées et accessoirement sur la vie infernale des cabinets des gouvernants.
L'élu, maire de Lyon et de gauche est lucide sur ses limites, et tente en vain de rebondir grâce aux conseil dune jeune normalienne, ingénue mais vraie.
Ceci étant dit, ce n'est guère palpitant.
Au passage, quelques belles images de la ville de Lyon
L'élu, maire de Lyon et de gauche est lucide sur ses limites, et tente en vain de rebondir grâce aux conseil dune jeune normalienne, ingénue mais vraie.
Ceci étant dit, ce n'est guère palpitant.
Au passage, quelques belles images de la ville de Lyon
Le film m'a déçu. Intéressant au début, il devient ennuyeux dans sa seconde partie. C'était un état des lieux de la vie politique ? Quel message a t on voulu passer ? Quelques dialogues m'ont fait sourire, les acteurs sont bons mais pour moi, ça n'ira pas plus loin.
2 étoiles - Alice et le Maire
Film dont le scénario manque fortement d'idées ... La narration est mal structurée et devient ennuyeuse. Dommage : le contenu est intéressant et, contextualisé dans ce temps présent, il parle inévitablement ... du moins pour ceux qui ont la sensibilité de ce maire. Le discours pour le congrès de Théraneau est criant de vérité !!!! Bref, film pamphlet pour un auditoire spécifique ; en dehors de ce public, film plat et qui frôle 1,5 étoile.
Film dont le scénario manque fortement d'idées ... La narration est mal structurée et devient ennuyeuse. Dommage : le contenu est intéressant et, contextualisé dans ce temps présent, il parle inévitablement ... du moins pour ceux qui ont la sensibilité de ce maire. Le discours pour le congrès de Théraneau est criant de vérité !!!! Bref, film pamphlet pour un auditoire spécifique ; en dehors de ce public, film plat et qui frôle 1,5 étoile.
Un scénario éclairant sur les véritables enjeux actuels de la politique, centrée sur les citoyens, l'humanité et son habitat : la planète ; servi par des comédiens d'une grande justesse.
Bon déjà, j'ai beau me forcer je n'arrive pas à supporter A Demoustier. Mais comme j'apprécie F Lucchini j'ai regardé.
Et je me suis grave emmerdé !!
Les dialogues sont trrrès longs et ennnuyeux, il ne se passe rien et ce n'est pas très bien joué.
Et je me suis grave emmerdé !!
Les dialogues sont trrrès longs et ennnuyeux, il ne se passe rien et ce n'est pas très bien joué.
Ou le désenchantement d'un homme pour la politique , plus profond que d'ordinaire , rehumanisee et rattrapee par la vitalité et la séduction d'une jeune femme libre d'esprit critique du monde surfait et froid qui nous englouti
Étonnant que Mr Luchini porte se role d'homme politique de gauche, alors qu'il est proche de Mr Macron lui même proche des US, capitaliste impérialiste, culture très lénifiante.
Par ailleurs excellentissime comme Anaïs Dumoustier
Étonnant que Mr Luchini porte se role d'homme politique de gauche, alors qu'il est proche de Mr Macron lui même proche des US, capitaliste impérialiste, culture très lénifiante.
Par ailleurs excellentissime comme Anaïs Dumoustier
Une plongée dans le milieu de la politique et de l'administration municipale. Les 2 acteurs forment un binôme en toute cohérence dans un environnement finalement assez stressant. Passionnant.
Luchini dans la peau du maire de Lyon , un maire qui après 30 est à court de nouvelles idées, anais demoustier dans le rôle de la dernière arrivée pour rejoindre l’équipe du maire et qui va finalement avoir pour mission de lui redonner des idées.. duo sympathique mais sur la fin j’ai trouvé ça un peu long
Un.milieu que l on ne connaît pas,les coulisses du pouvoir d une mairie et la cour superficielle auprès du monarque-maire,que l on se rassure tout bascuke à tout moment et collé dirait Gilbert becaud.et ke spectacle continue.
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