Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Keiko Masuda
Les derniers feux d’un âge d’or du cinéma italien brillent dans ce film au rythme enlevé. Son humour, sa folie et ses nombreuses références à un monde du cinéma qu’il dépeint avec nostalgie séduiront aussi bien les cinéphiles avertis que le grand public.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Pour peu que l’on veuille faire fi de l’hystérie qui en accompagne trop souvent la narration, ces nuits romaines – comme leurs lendemains – conservent bel et bien une magie inaltérée, le regard posé sur eux ici n’étant pas sans rappeler parfois la loufoquerie contrariée de Paolo Sorrentino.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le réalisateur joue d’une nostalgie, mais démontre en même temps combien le cinéma italien est bien vivant et regagne ses galons.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par La Rédaction
Assez brouillon, parfois vulgaire, mais avec des scènes réussies, et un ton original, à la fois désabusé et mordant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Malgré son charme, ce film un brin nostalgique a tendance à trop s’éparpiller pour tenir sur la longueur.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Foire aux vanités, mégalomanie, ressentiment, combinaisons diverses, jalousies mortelles caractérisent un petit monde auquel rêvent d’appartenir les trois jeunes gens. Si elle n’est pas dénuée d’une certaine complaisance, son amertume a d’autant plus de saveur qu’elle ne repose sur la possibilité d’aucune nostalgie.
Première
par Sophie Benamon
Virzi dépeint avec superbe une industrie corrompue, machiste, sans verser dans le name dropping inutile : le seul personnage cité ici est Fellini, dont on entrevoit l’ombre dans une magnifique scène sur le tournage de La Voce della luna.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Anne Dessuant
Paolo Virzì parle de lui à travers l’histoire des trois jeunes scénaristes qui débarquent à Rome. Il prend un plaisir communicatif à évoquer des épisodes « historiques » du cinéma italien, comme le tournage de la dernière scène de La voce della luna, de Fellini. Moments magiques trop fugaces.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Par son sujet et sa forme foisonnante, Nuits magiques apparaît comme un hommage au cinéma italien des grandes heures. Mais la multiplication des personnages et des intrigues secondaires finit par rendre confus le récit.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Virzi fait revivre les maîtres qu'il a dû fréquenter au début de sa carrière sans vraiment les chahuter ni leur adresser un hommage poignant. Il en germe une nuit au musée mélancolique et un brin désabusée, mais définitivement sans magie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Éric Derobert
Où sont passées, dans ces Nuits bien peu magiques (dont on retiendra tout de même l’émouvant épilogue), la rigueur narrative des "Opportunistes" (2014) et l’extravagance de "Folles de joie" (2016), deux qualités pas toujours contradictoires ?
Critikat.com
par Thomas Grignon
La mise en scène sert d'écrin à la célébration d'un stéréotype, celui d'une Rome aux allures d'image d'Épinal.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Plus de deux heures épuisantes de cris et d’agitation, vides de toute nostalgie ou émotion.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
Les derniers feux d’un âge d’or du cinéma italien brillent dans ce film au rythme enlevé. Son humour, sa folie et ses nombreuses références à un monde du cinéma qu’il dépeint avec nostalgie séduiront aussi bien les cinéphiles avertis que le grand public.
Rolling Stone
Pour peu que l’on veuille faire fi de l’hystérie qui en accompagne trop souvent la narration, ces nuits romaines – comme leurs lendemains – conservent bel et bien une magie inaltérée, le regard posé sur eux ici n’étant pas sans rappeler parfois la loufoquerie contrariée de Paolo Sorrentino.
Franceinfo Culture
Le réalisateur joue d’une nostalgie, mais démontre en même temps combien le cinéma italien est bien vivant et regagne ses galons.
Le Figaro
Assez brouillon, parfois vulgaire, mais avec des scènes réussies, et un ton original, à la fois désabusé et mordant.
Le Journal du Dimanche
Malgré son charme, ce film un brin nostalgique a tendance à trop s’éparpiller pour tenir sur la longueur.
Le Monde
Foire aux vanités, mégalomanie, ressentiment, combinaisons diverses, jalousies mortelles caractérisent un petit monde auquel rêvent d’appartenir les trois jeunes gens. Si elle n’est pas dénuée d’une certaine complaisance, son amertume a d’autant plus de saveur qu’elle ne repose sur la possibilité d’aucune nostalgie.
Première
Virzi dépeint avec superbe une industrie corrompue, machiste, sans verser dans le name dropping inutile : le seul personnage cité ici est Fellini, dont on entrevoit l’ombre dans une magnifique scène sur le tournage de La Voce della luna.
Télérama
Paolo Virzì parle de lui à travers l’histoire des trois jeunes scénaristes qui débarquent à Rome. Il prend un plaisir communicatif à évoquer des épisodes « historiques » du cinéma italien, comme le tournage de la dernière scène de La voce della luna, de Fellini. Moments magiques trop fugaces.
La Croix
Par son sujet et sa forme foisonnante, Nuits magiques apparaît comme un hommage au cinéma italien des grandes heures. Mais la multiplication des personnages et des intrigues secondaires finit par rendre confus le récit.
Les Inrockuptibles
Virzi fait revivre les maîtres qu'il a dû fréquenter au début de sa carrière sans vraiment les chahuter ni leur adresser un hommage poignant. Il en germe une nuit au musée mélancolique et un brin désabusée, mais définitivement sans magie.
Positif
Où sont passées, dans ces Nuits bien peu magiques (dont on retiendra tout de même l’émouvant épilogue), la rigueur narrative des "Opportunistes" (2014) et l’extravagance de "Folles de joie" (2016), deux qualités pas toujours contradictoires ?
Critikat.com
La mise en scène sert d'écrin à la célébration d'un stéréotype, celui d'une Rome aux allures d'image d'Épinal.
L'Obs
Plus de deux heures épuisantes de cris et d’agitation, vides de toute nostalgie ou émotion.