Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Télérama
par Guillemette Odicino
Il fallait une grande comédienne pour incarner cette survie en marche forcée : Samal Yeslyamova a remporté, à l’unanimité, le prix d’interprétation féminine au dernier Festival de Cannes. Elle est la chair de ce grand drame social et féministe, petite résistante crapahutant dans la neige, corps exsangue et doux visage baissé contre la bourrasque.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Modèle de drame épuré et de dénonciation sans pathos de la condition de la femme, ce film est un coup de poing qui n’est pas sans rappeler l’art des Dardenne.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jean-François Lixon
Prix d’interprétation à Cannes, Samal Yeslyamova, dans une prestation très physique et peu valorisante par son rôle de victime, porte le film sur ses épaules. C'est ce qui a touché le jury cannois.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
[...] sa détermination à coller aux basques de son héroïne (par ailleurs formidable Samal Yeslyamova, qui n'a pas volé son prix d'interprétation à Cannes) et de tout ce qui l'approche vire au systématisme, comme une volonté de démontrer un savoir-faire. Dès lors, la performance devient un exercice de style. Dommage.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Sorte de Rosetta russe, cette galérienne qui s’enlise dans les problèmes n’est pourtant jamais filmée de façon misérabiliste : grâce à une caméra à hauteur de son héroïne, le réalisateur kazakh rend hommage à la ténacité d’une « invisible » qui refuse, par instinct de survie, de se laisser broyer par une société individualiste et cadenassée.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Ce qui pouvait s'apparenter à un geste artistique il y a vingt ans, de la part des frères Dardenne, devient une succession de gestes attendus. Ayka tient malgré tout la route.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Sélectionné en compétition officielle au dernier festival de Cannes, «Ayka » est une sorte de «Rosetta » kazakh : la caméra suit la course folle de cette jeune malheureuse qui cumule les ennuis, au point que le film a des allures de thriller social. Il est porté par la comédienne Samal Yeslyamova, qui campe une Ayka sidérante d’énergie (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Pour "Ayka", jeune exilée kirghize à Moscou, la vie est une course d'obstacles. Pauvre, endettée, venant d'accoucher, la caméra la suit pour faire ressentir ce qu'est l'obligation d'aller vite pour survivre. Un beau film, même si on n'aime pas le cinéma immersif.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Sorte de "Rosetta" sous la neige, "Ayka" est un terrifiant film d’horreur naturaliste sur la condition féminine.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le fil de l’animalité, franchement appuyé, achève de tirer l’ensemble vers un assez pénible symbolisme, aussi réducteur finalement que les forces liguées à obstruer le peu d’espace et de tangentes que cherche encore cette femme pour mener son existence.
Critikat.com
par Thomas Choury
Il est dommageable qu’une telle virtuosité dans un cinéma de l’instant ne débouche que sur une démonstration d’accablement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
Rêve échoué dans l’infect gourbi que louent des marchands de sommeil à des sans-papiers de toutes origines. Si l’on peut partager la dénonciation du sort indigne auquel ils sont assignés, l’excès finit par accabler et la crédibilité s’en ressent.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
On ne contestera pas les intentions louables d'un scénario féministe et social. Mais la mise en scène, caméra à l'épaule, exploite à coups de gros plans insistants la détresse de cette victime de la Russie contemporaine, sans jamais se poser la question de la distance.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Frédéric Foubert
La radicalité de la mise en scène condamnant le spectateur à l’apnée (une caméra portée qui ne lâche pas l’actrice d’une semelle) impressionne d’abord, avant qu’on réalise que le systématisme de ce néo-Rosetta ne débouche jamais sur autre chose que la sensation d’étouffement produite par son dispositif claustro.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
par La Rédaction
Au 71e Festival de Cannes, le calvaire de cette jeune immigrée kirghize en Russie, sans emploi, sans papiers et poursuivie par des mafieux a tiré des larmes aux festivaliers. Pas à nous.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
On a bien envie de dire que Samal Yeslyamova, l’actrice principale du film, méritait le prix d’interprétation reçu à Cannes pour avoir enduré l’extase masochiste imposée par son réalisateur mais nous, quelle récompense aura-t-on si nous parvenons à tenir jusqu’à la fin du film ?
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
On en a retenu (surprise !) qu’il ne fait pas bon être pauvre et sans papiers en Russie aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Baptiste Roux
Visiblement hanté par le "Rosetta" des Dardenne, Sergey Dvortsevoy s'égare dans un misérabilisme hyperréaliste qui, à grand renfort de faux suspense retors et de symboles pesants, est censé bouleverser le spectateur, pourtant de marbre devant l'accumulation d'avanies subies par la suppliciée, réduite à une seule expression hébétée [...].
Télérama
Il fallait une grande comédienne pour incarner cette survie en marche forcée : Samal Yeslyamova a remporté, à l’unanimité, le prix d’interprétation féminine au dernier Festival de Cannes. Elle est la chair de ce grand drame social et féministe, petite résistante crapahutant dans la neige, corps exsangue et doux visage baissé contre la bourrasque.
aVoir-aLire.com
Modèle de drame épuré et de dénonciation sans pathos de la condition de la femme, ce film est un coup de poing qui n’est pas sans rappeler l’art des Dardenne.
Franceinfo Culture
Prix d’interprétation à Cannes, Samal Yeslyamova, dans une prestation très physique et peu valorisante par son rôle de victime, porte le film sur ses épaules. C'est ce qui a touché le jury cannois.
L'Express
[...] sa détermination à coller aux basques de son héroïne (par ailleurs formidable Samal Yeslyamova, qui n'a pas volé son prix d'interprétation à Cannes) et de tout ce qui l'approche vire au systématisme, comme une volonté de démontrer un savoir-faire. Dès lors, la performance devient un exercice de style. Dommage.
Le Journal du Dimanche
Sorte de Rosetta russe, cette galérienne qui s’enlise dans les problèmes n’est pourtant jamais filmée de façon misérabiliste : grâce à une caméra à hauteur de son héroïne, le réalisateur kazakh rend hommage à la ténacité d’une « invisible » qui refuse, par instinct de survie, de se laisser broyer par une société individualiste et cadenassée.
Le Monde
Ce qui pouvait s'apparenter à un geste artistique il y a vingt ans, de la part des frères Dardenne, devient une succession de gestes attendus. Ayka tient malgré tout la route.
Le Parisien
Sélectionné en compétition officielle au dernier festival de Cannes, «Ayka » est une sorte de «Rosetta » kazakh : la caméra suit la course folle de cette jeune malheureuse qui cumule les ennuis, au point que le film a des allures de thriller social. Il est porté par la comédienne Samal Yeslyamova, qui campe une Ayka sidérante d’énergie (...).
Les Fiches du Cinéma
Pour "Ayka", jeune exilée kirghize à Moscou, la vie est une course d'obstacles. Pauvre, endettée, venant d'accoucher, la caméra la suit pour faire ressentir ce qu'est l'obligation d'aller vite pour survivre. Un beau film, même si on n'aime pas le cinéma immersif.
Paris Match
Sorte de "Rosetta" sous la neige, "Ayka" est un terrifiant film d’horreur naturaliste sur la condition féminine.
Cahiers du Cinéma
Le fil de l’animalité, franchement appuyé, achève de tirer l’ensemble vers un assez pénible symbolisme, aussi réducteur finalement que les forces liguées à obstruer le peu d’espace et de tangentes que cherche encore cette femme pour mener son existence.
Critikat.com
Il est dommageable qu’une telle virtuosité dans un cinéma de l’instant ne débouche que sur une démonstration d’accablement.
L'Humanité
Rêve échoué dans l’infect gourbi que louent des marchands de sommeil à des sans-papiers de toutes origines. Si l’on peut partager la dénonciation du sort indigne auquel ils sont assignés, l’excès finit par accabler et la crédibilité s’en ressent.
L'Obs
On ne contestera pas les intentions louables d'un scénario féministe et social. Mais la mise en scène, caméra à l'épaule, exploite à coups de gros plans insistants la détresse de cette victime de la Russie contemporaine, sans jamais se poser la question de la distance.
Première
La radicalité de la mise en scène condamnant le spectateur à l’apnée (une caméra portée qui ne lâche pas l’actrice d’une semelle) impressionne d’abord, avant qu’on réalise que le systématisme de ce néo-Rosetta ne débouche jamais sur autre chose que la sensation d’étouffement produite par son dispositif claustro.
Le Figaro
Au 71e Festival de Cannes, le calvaire de cette jeune immigrée kirghize en Russie, sans emploi, sans papiers et poursuivie par des mafieux a tiré des larmes aux festivaliers. Pas à nous.
Les Inrockuptibles
On a bien envie de dire que Samal Yeslyamova, l’actrice principale du film, méritait le prix d’interprétation reçu à Cannes pour avoir enduré l’extase masochiste imposée par son réalisateur mais nous, quelle récompense aura-t-on si nous parvenons à tenir jusqu’à la fin du film ?
Libération
On en a retenu (surprise !) qu’il ne fait pas bon être pauvre et sans papiers en Russie aujourd’hui.
Positif
Visiblement hanté par le "Rosetta" des Dardenne, Sergey Dvortsevoy s'égare dans un misérabilisme hyperréaliste qui, à grand renfort de faux suspense retors et de symboles pesants, est censé bouleverser le spectateur, pourtant de marbre devant l'accumulation d'avanies subies par la suppliciée, réduite à une seule expression hébétée [...].