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    La Fin du monde
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    benoitparis
    benoitparis

    102 abonnés 1 277 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 janvier 2012
    L’ouverture du film vaut comme annonce de l’ensemble : la mise en abîme de la passion du Christ, représentée sur une scène théâtrale. On peut voir l’œuvre de Gance comme un mystère, au sens médiéval du terme, filmé, avec des personnages qui sont davantage des types que des individus, avec une dimension spirituelle et cosmique. Cela donne la mesure de la difficulté à apprécier un style à contre courant des valeurs artistiques dramatiques dominantes (réalisme, vérité psychologique…). La représentation du cataclysme, dans son coté visionnaire, et malgré les techniques rudimentaires de l’époque, a une réelle beauté, un peu comme les meilleurs séquences de surnaturel du cinéma français des années 30.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 208 abonnés 12 315 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 octobre 2012
    En ce dèbut du parlant, le cinèma français se cherche encore et part dans des directions souvent opposèes, ce qui rend impossible une prèsentation homogène des oeuvres de ce temps-là! Au contraire de Renoir et de Grèmillon, Abel Gance se lance dans le drame mètaphysique, à valeur prophètique, avec "La fin du monde", qui sort en 1930! Echec cuisant pour Gance qui avait un projet particulièrement ambitieux, mais qui ne pouvait rèaliser ce film comme il l'entendait! "A quoi bon une locomotive puissante dira t-il si elle ne peut rouler vite sur des rails peu solides ?". Une oeuvre visionnaire, (en prèambule, on nous annonce le premier grand spectacle du cinèma français parlant) mais terriblement datèe! Mais un film comme "La fin du monde", s'il n'est pas exempt de grandiloquence, n'en atteint pas moins dans sa dernière partie des accents grandioses autour de la tour Eiffel et dans une ambiance èpicurienne de dèbauche qui montre en une poignèe d'images toute la mègalomanie de Gance! il y a des èpoques dans la vie de l'humanitè où la nècessitè d'une secousse formidable, d'un cataclysme qui vienne remuer la sociètè jusque dans le fond de ses entrailles, s'impose sous tous les rapports à la fois! Sur ce, on n'attend la fin du monde auxquels certains illuminès nous la promettent le 21 dècembre 2012...
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 991 abonnés 3 965 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 octobre 2012
    Je n'avais jamais vu d'Abel Gance auparavant, et j'avoue avoir été attiré par une image du film où on voyait le Christ crucifié. Dès qu'on touche à la religion, je suis attiré, forcément.
    Et le film s'ouvre là dessus, j'ai trouvé le début du film grandiose pour ça. Parce que justement c'était puissant, beau, grand, fort, émouvant. Et ceci bien qu'on révèle le pot aux roses de cette mise en scène de la mort du Christ. J'ai trouvé ça réellement envoutant et brillant. Difficile de faire une meilleure entrée en matière pour un film traitant de la fin du monde.

    Et puis le problème, c'est le reste. En fait si le film possède quelques dialogues pas mal du tout "le monde contemporain a pris ses précautions contre le sublime", une idée de base vraiment bonne. C'est à dire que pour créer la paix et éviter la guerre il faut une menace plus grande qui va pousser à la solidarité.
    Une comète sera cette menace, et on voit ceux qui ont des intérêts dans la guerre tout faire pour qu'elle ait quand même lieu.

    Seulement j'ai trouvé le film longuet, passablement chiant (et je n'aime pas dire ça), mais la dernière demi-heure, je n'étais vraiment pas dedans. J'ai trouvé que les scènes s'enchaînaient mais sans véritable progression, que c'était un peu toujours la même chose, que ça manquait de passion, contrairement à la scène d'ouverture sur la passion du Christ, justement.
    Après on retrouve lors de la scène finale une certaine émotion brute, une certaine passion lorsque l'on voit tous ces gens prier, attendre la fin du monde.

    Du coup je suis déçu, surtout que le thème me plaisait et que le début m'avait envoûté. Dommage que ça ne tienne pas sur la durée. Dire qu'au départ le film devait durer 3h. Peut-être que cette version perdue aurait redonnée au film ses lettres de noblesses en le diversifiant en le rendant plus intriguant, etc. Nul ne le sait. C'est ça avec les films perdus.

    Déception, mais ça ne m'empêchera pas de voir Napoléon, une fois.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 292 abonnés 4 326 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 janvier 2017
    Bon, je tiens quand même à préciser que ma note sur ce film porte sur la version ratiboisée dont il a été victime. C’est toujours assez gênant de devoir noter des films massacrés, mais malheureusement il faut juger sur pièce, et ici, ce n’est pas du tout au niveau.
    En fait on sent le film ultra-ambitieux, comme souvent chez Gance. Raconter le monde alors qu’une comète est censée le détruire. Raconter les 114 jours avant l’apocalypse. Un projet hautement ambitieux, et clairement, c’est le genre de sujet qu’il faut traiter en des heures de film, pas en 90-100 minutes. Le métrage est le reflet des énormes coupes faites, si bien qu’il n’est qu’une succession de séquences qui paraissent totalement décousues. La deuxième partie qui insiste sur le monde avant la catastrophe frôle l’inventaire à la Prévert (bourse, orgie festive, discours religieux...), et la première est bourrelée, comme la fin d’ailleurs, de références pseudo-mystiques. Une première partie par ailleurs terriblement lourde, avec des scènes qui pour le coup sont tout à fait inutiles. Je crois que tout ce qui était réellement intéressant dans la version originelle n’a pas été gardé, mais qu’ont été gardé des scènes inutiles. Pour ma part l’ambition est là mais le traitement est plus qu’hasardeux, pour ne pas dire ridicule. Le film est très bancal, et très ennuyeux.
    Ce qui toutefois me rassure quand même que cette version courte reflète globalement la faiblesse du film original c’est l’interprétation. Pas mal d’acteurs connus de l’époque, très sous-exploités en fait (le film virant rapidement à la représentation du monde, et se détachant donc assez de ses personnages principaux), mais surtout, un Abel Gance qui s’offre un rôle dans la première partie, et qui est affreux ! D’ailleurs la première partie est niveau interprétation assez consternante à part quelques exceptions (Francen reste décent). Mais Gance est atroce ! Il nous livre une sorte de personnage mystique, fou, qui débite de façon artificielle des dialogues surrécrits. Pour donner une image de comparaison, ça ressemble au monologue dans Hiroshima, mon amour. Par beaucoup d’aspects d’ailleurs les deux films auraient des proximités. Ça ruine totalement le début. C’est peut-être lié au fait que c’est le premier film parlant de Gance, et qu’il n’a pas l’habitude, mais enfin…
    Quant à la forme rien de spécial à souligner. Quelques séquences correctes, mais surtout un mélange foutraque et désordonnés d’images censées montrer le monde en situation de tension, voire d’apocalypse. J’ai un peu l’impression que Gance a voulu offrir une vision quasi-documentaire, ce qui se révèle dans le choix de faire disparaitre assez nettement les acteurs dans la deuxième partie du film. Du coup il filme les foules, et les lieux. On sent que le réalisateur a une patte, c’est sûr, et il y a des morceaux bien faits, mais sans aucune cohérence esthétique réelle. Là c’est sans doute lié au fait qu’on a une version nettement rapetissée, et que des morceaux très éloignés dans la version originale sont ici mis côte-à-côte. Il en résulte un gros gloubi-boulga visuelle, ou en quelques minutes on peut enchainer une séquence orgiaque, une scène de SF avec la Terre vue du ciel et la comète, puis un discours mystique ou religieux devant la foule. Le bazar de fond se retrouve dans la forme, tout simplement. Quant à la bande son, il n’y a pas véritablement de personnalité, et rien qui colle réellement aux images.
    En conclusion, La Fin du monde, détesté à sa sortie, me parait justifier son lourd échec. Je ne dis pas qu’il n’y a pas d’ambition, c’est même sûrement un des films du genre les plus ambitieux de son époque, mais ce n’était pas tenable en si peu de minutes. Sous la forme d’une mini-série aujourd’hui, pourquoi pas, mais là non, c’était impossible de réussir le pari. 1
    Acidus
    Acidus

    688 abonnés 3 690 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 décembre 2014
    Pas mal mais "La fin du Monde" souffre de deux défauts majeurs. Tout d'abord, on ressent le passage du muet au parlant dans les prestations des acteurs qui, il faut le dire, jouent carrément mal. Les textes sont trop récités et les personnages gardent des gestes théâtrales issus du cinéma expressionniste mais qui n'ont plus lieu d'être ici. Ensuite vient le problème du montage. A l'origine, "La fin du monde" devait durer 3h mais le distributeur décida, à l'époque, de réduire sa durée de moitié. Cela se ressent et le film perd de sa cohérence. Malgré un manque de maitrise flagrant dans sa réalisation, Abel Gance nous offre néanmoins quelques bonnes scènes spoiler: (comme celles de l'orgie et du début de la fin du monde)
    . "La fin du mondeé est une oeuvre ambitieuse mais raté. Abel Gance qualifiera même plus tard son film de "désastre". Un désastre qui marquera le reste de sa carrière...
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    572 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 octobre 2012
    Un vrai désastre qui s'accentuera avec l'avancée du temps. Il ne faut surtout pas juger Gance sur ce film dont les bonnes intentions sont tournées en ridicule par l'interprétation emphatique des acteurs, Gance compris. En plus les ambitions politiques sont démesurées et le souffle épique ne passe que rarement. C'est vraiment étonnant de voir un tel ratage chez un auteur qui a tant apporté au cinéma. Ce film ne devrait plus être présenté en salles mais uniquement dans les cinémathèques car tel qu'il est aujourd'hui il n'engendre que l'ennui et même l'incompréhension tellement il est parfois confus. Les nouveautés techniques du ''Parlant'' ont du éblouir notre grand metteur en scène un peu comme les effets spéciaux actuels fascinent nos jeunes réalisateurs .
    Plume231
    Plume231

    3 773 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 octobre 2012
    Abel Gance montrait que le passage au parlant n'avait rien enlevé de son talent de technicien visuel comme le prouve par exemple la séquence d'ouverture, la représentation de la Passion du Christ dans l'église, et le scénario se distingue par quelques accents prophétiques de près de 15 ans ; autre mérite, le film aurait inspiré Hergé pour le début de l'album de Tintin "L’Étoile mystérieuse". Mais par contre l'histoire (en rien certainement arrangé par le fait que "La Fin du monde" a été très fortement mutilé à sa sortie !!!) apparaît souvent très confuse et le jeu de certains comédiens, en particulier ceux d'Abel Gance acteur et de Colette Darfeuil, est aussi catastrophique que le dénouement qui est annoncé du film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 5 mars 2013
    En dehors du très mauvais jeu des acteurs (mais pour l'époque ce n'est pas si choquant, c'est dans la lignée de l'expressionnisme) et des défauts techniques (son mal réglé par moment, images ou scènes coupées), La Fin du Monde est un bon film qui a bien vieilli. Les dialogues surpassent tout ce que les réalisateurs de film catastrophe d'aujourd'hui peuvent faire, la portée politique est forte, les scènes mystiques (la toute première notamment) très intenses et les effets visuels (les feux d'artifices, puis les dernières minutes) plutôt réussis. Sans être un chef d'oeuvre, c'est un film spectaculaire et impressionnant pour l'époque. Personnellement, ça m'a donné envie de voir d'autres films d'Abel Gance.
    ygor parizel
    ygor parizel

    230 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 décembre 2012
    Très décevant comme film. Tout d'abord techniquement parlant c'est raté, le montage laborieux, le son défaillant et plein d'autre chose clochent. Ensuite les acteurs en font des caisses pour paraître tragique. L'idée de départ était encourageante mais le Gance passe à côté de son sujet (il montre pendant 20 minutes spoiler: le sabotage de la Tour Eiffel
    ), scénario ennuyant et rempli de scènes inutiles.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    653 abonnés 2 909 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 janvier 2024
    Commençons par préciser que la version disponible, et donc visionnée, de La Fin du monde ne constitue qu’un aperçu de l’œuvre totale, qui devait durer trois heures. Cette critique portera donc sur cette seule version, qui cristallise les élans et les angoisses de son cinéaste démiurgique au passage de deux âges, le muet d’une part, âge d’or de Gance, et le sonore et parlant d’autre part, marqué par son déclin. Le film pense d’ailleurs le son comme un élément essentiel à ce dialogue entre l’ancien et le moderne, entre la France et le reste du monde, entre l’amant frappé à la tête et son amour désolé : Jean Novalic a enregistré sa voix sur des disques 78 tours qu’il adresse, à l’aide d’étiquettes, à des auditeurs précis, depuis les dirigeants du monde entier jusqu’à sa chère et tendre. Cette articulation du gigantesque et du minuscule constitue la structure d’un long métrage qui, telle une translatio studii et imperii, exhume le plus grand des martyrs, en la personne de Jésus Christ, pour le ressusciter et le réactualiser, les frères Novalic étant eux aussi décriés puis persécutés en raison de leurs travaux et de leur ambition.
    Dès lors, Abel Gance s’autoproclame homme providentiel, le Christ ressuscité, et présente les Français comme un peuple élu apte à éclairer les autres, à les rallier à sa cause : le projet d’une démocratie universelle naît du sacrifice de quelques-uns qui acceptent la marginalité inhérente à leur condition d’êtres exceptionnels – un même plan sur une croix chrétienne apparaît en ouverture et en clausule – tout en s’emparant d’un espace politique marqué, lui, par l’exposition publique et planétaire, en l’occurrence la Tour Eiffel, qui donne lieu à une séquence d’action mémorable, et un conseil de toutes les nations. Abel Gance ressent le développement des nationalismes et pressent la montée du fascisme, leur répond par l’éloge de la solidarité et la communion dans des valeurs morales transcendant les confessions : un très beau plan révèle cela, celui où des hommes de foi débarquent dans une soirée mondaine en pleine décadence pour raccorder les riches déréglés à leur faiblesse congénitale.
    Si La Fin du monde peine à démarrer, desservi par des tunnels de dialogues parfois approximativement joués – arrivée du parlant oblige –, il demeure une expérience visuelle qui rappelle, si besoin, la maîtrise doublée de la créativité de Gance d’un point de vue formel, bénéficiant d’une dernière partie saisissante. Peut-être aurait-il fallu le concours d’un écrivain pour que la parole dépasse le domaine strictement sonore et raisonne avec le propos du film – la rencontre entre Blaise Cendrars et Fernand Léger avait produit, une décennie auparavant, La Fin du monde filmée par l’ange Notre-Dame, sur une thématique similaire. L’ombre d’une superproduction, certes, mais surtout l’un des premiers films parlants de notre histoire ainsi que la matrice du cinéma catastrophe.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    25 abonnés 2 087 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 février 2024
    Sensiblement réduit pour revenir à une durée raisonnable, le film d'Abel Gance souffre à l'évidence de son redécoupage et remontage tant la mise en scène parait manquer de cohésion et d'unité.
    On découvre dans "La fin du monde", premier film parlant de Gance, le cinéaste en personne, en jeune homme romantique affligé par le comportement des humains, ainsi que, dans le rôle de son scientifique de frère, le sévère Victor Francen. Celui-ci, repérant une comète filant droit vers la Terre, programme rien moins que la fin du monde. Et pour les deux frères Novalic, ce châtiment à la Sodome et Gomorrhe est un mal pour un bien grâce auquel une humanité nouvelle naîtra sur les décombres de l'ancienne, une humanité fraternelle et sans frontières, donc sans guerres.
    Je l'ai dit, la mise en scène est un peu confuse, à quoi s'ajoutent nombre d'imperfections techniques et le jeu daté des interprètes: Abel Gance et son humanisme illuminé, Francen, l'inimitable, en Cassandre emphatique. Mais le film est traversé, surtout à la fin, lorsque le péril de la comète est imminent, par des fulgurances, des visions qui sont indéniablement celles d'un auteur, d'un cinéaste inspiré. L'émoi des capitalistes et boursicoteurs, les mouvements des foules paniquées spoiler: et cette orgie païenne des dernières heures
    forment des scènes spectaculaires, parfois corrosives. Et, en dépit de la légèreté des effets spéciaux et d'une propension à la grandiloquence, l"apogée de ce récit de science-fiction est un singulier moment de cinéma-catastrophe.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 25 octobre 2012
    Sans etre un chef d'oeuvre (les acteurs sont mauvais et l'histoire chiante )il y'a des scènes mystiques de bonne facture (le début avec une référence a Jésus et la fin quand des pretres arrivent comme pour annoncer la fin du compte a rebours qui annonce la fin du monde ).Meme les autres croyances ont une place.La comète est réussie pour un film des années 30.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 avril 2016
    Quelle curiosité ce film !! Premier film parlant français, réalisé par Abel Gance. D'une durée initiale de 180 minutes, ce film a été tronqué, pour des raisons commerciales, de plus de sa moitié, ce qui rend plus difficile sa compréhension.
    L'accueil fut très mauvais, dans le public et chez les critiques.
    Abel Gance, qui avait vu son film raccourci et mutilé (de trois heures il fut réduit à 105 minutes), le désavoua. Mais cet échec priva Gance, qui dut se tourner vers un cinéma plus conventionnel, de sa liberté de création. Le film fut de nouveau amputé et trahi dans sa version américaine, affublée du titre faussement suggestif "Paris after dark".
    Biviers
    Biviers

    3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 octobre 2010
    Introuvable, sauf la version charcutée (54mn sur les 180 de la première version). Très recommandé pour les amateurs de Tintin, puisque le début de l'Etoile mystèrieuse (1941) ressemble étrangement au début de ce film (1931) qu'Hergé avait sûrement vu. Abel Gance joue aussi dedans, mais la version US l'a également maltraité.
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