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Fabios Om
51 abonnés
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1,0
Publiée le 11 mai 2022
Un film de Pedro Almodovar avec en vedette Antonio Banderas et qui en plus est saluer par la critique et récompense son acteur principal par un prix à cannes forcément on ce dit que sa doit être quelque chose de génial et sa vaux la coup d'oeil ? Mais au final l'on déchante très vite : Car en effet le film retrace en quelque sorte la jeunesse du réalisateur espagnol Pedro Almodovar mais ce n'est pas intéressant on s'en moque de la plus part des chose qui se passe dans le film et que le film serait plutôt destiner au droguer pardonner moi ce mot crue mais c'est la vérité et c'est aussi ce que sa reflette et renvoie comme image ! Les scène de Flashback sont elles en revanche beaucoup plus intéressante , apporte des chose à l'histoire, et sont très bien faite mieux que les scène présente qui se servent à rien pratiquement.
résumer : Une série de retrouvailles après plusieurs décennies, certaines en chair et en os, d’autres par le souvenir, dans la vie d’un réalisateur en souffrance. Premières amours, les suivantes, la mère, la mort, des acteurs avec qui il a travaillé, les années 60, les années 80 et le présent. L’impossibilité de séparer création et vie privée. Et le vide, l’insondable vide face à l’incapacité de continuer à tourner.
Un film d'Almodovar en forme probablement d'autoportrait romancé", comme souvent d'ailleurs chez ce réalisateur, mais ici sans les exubérances et folies des autres film. Une sorte de réflexion philosophiques sur la création, l'art, la maladie, le regard des autres, l'enfance, la filiation, l'amitié.... bien filmé, bien interprété, bien monté, bien joué, mais bien ennuyeux souvent
Bon, ce film est assez particulier. Dire que c'est un mauvais film serait de la mauvaise foi. Seulement, dire que ce film est très bon serait une faute. Tout d'abord, il convient de replacer l'oeuvre dans son contexte : ce film est une oeuvre autobiographique, qui raconte la vie d'un cinéaste, Pedro Almodóvar. Le film prend la forme d'un récit entrecoupé de flashbacks racontant son enfance. Seulement, le film nous montre deux temps : le premier où l'on voit le cinéaste (incarné par Antonio Banderas) devenu vieux et déprimé avec le temps. La seconde, c'est l'enfance du cinéaste. Ces deux univers ont une distinction renforcée par la mise en scène axée sur les détails (l'une avec des éléments rouges, l'autre avec des éléments tirant vers le blanc). Le problème, c'est que le film n'observe rien d'autre auparavant, et c'est bien dommage. Il se fixe sur deux choses, et finalement ne raconte pas beaucoup de choses. Par contre, le twist final était plutôt bien amené car l'on ne s'y attendait pas spoiler: Où la partie de l'enfance était en fait un tournage.
Je ne suis pas un adepte du cinéma d'Almodovar et je n'ai su qu'après visionnage du film qu'il était autobiographique. Je n'y ai pas vu un chef d'œuvre (loin de là) mais un drame tout juste au dessus de la moyenne car très inégal. J'ai tout d'abord trouvé les acteurs très bons (notamment Banderas). Pour ce qui est de l'histoire, elle alterne régulièrement entre le présent et le passé (sans doute les scènes les plus intéressantes) mais sans dégager beaucoup d'émotion. Du bon et du moins bon donc mais rien qui ne mérite d'être gravé dans les mémoires.
Pedro Almodovar abandonne les portraits de femmes pour un film beaucoup plus introspectif, semblant même autobiographique par moments. En effet, on suit ici Salvador (Antonio Banderas), un réalisateur dépressif se rappelant son enfance, la difficulté d’écrire des scénarios, un amant qui a été très important pour lui. Il somatise beaucoup son mal être qui se retrouve dans des douleurs en tout genre, tout le monde se soucie pour lui, il plonge dans l’héroïne à fumer. Enfin bref rien ne va vraiment bien pour Salvador. Pedro Almodovar met en scène sa propre existence, mais à quel degrés? On ne sait pas vraiment…. En tout cas, ce film rayonne par la présence d’un très bon Antonio Banderas mais aussi par la muse de Almodovar, la très belle Pénélope Cruz. Un film intéressant pour comprendre la pensée du réalisateur et ses peurs, ses démons intérieurs.
BOX OFFICE 800 126 "Douleur et gloire" Dernier Almodovar mais...mon premier pour moi...merci carte ciné illimité sinon pas ma priorité. Mais ne voulant pas mourir "bête" je me suis dis qu'il fallait tenter le coup.
L'histoire d'un homme perdu dans ses démons et ses douleurs physique et mental...en gros hein!loool
Donc déjà jolie casting avec Cruz et Banderas, ensuite le film est plutôt pas mal,avec les blessures de cet homme...qui tente plus ou moins de s'en sortir. Les flashback sont bien pour comprendre son histoire après le rythme est assez "léger" mais au vu du personnage fallait s'y attendre. L'emocion est présent et passé un moment sympa...déjà cela car après ma séance de sport je pensais pas tenir éveiller! D'ailleurs un mec a pas tenu et a roupillé bien comme il faut!🤣🤣🤣 bon vu la moyenne d'âge des présents dans la salle...looool NOTE:7.5/10
Merci Mr Almodovar !!! Ce n’est pas que je trouvais le temps long mais presque. Après un début d’année plein de bonnes surprises, c’est vrai que niveau cinéma ça a été un peu plus compliqué pour moi ce printemps 2019… « Douleur et gloire », c’est une vraie déclaration d’amour, au cinéma, en l’être aimé, entre une mère et son enfant, en la littérature… et ça fait du bien !!! Comme toujours Pedro sait s’entourer à merveille et prouve une fois de plus qu’il est un TRES grand directeur d’acteur (au passage Banderas n’a pas volé sa palme) Alors, oui, le rythme est lent, mais le film transpire la poésie et la nostalgie et je me suis retrouvé transporté. Tu te demandes souvent ce qui fait partie de la fiction ou de l’autobiographie. Parce qu’il est évident qu’Almodovar a mis beaucoup de lui dans ce film, au point de ressembler parfois à un film testamentaire… Et comme souvent, Pedro sait poser sa caméra où il faut, quand il faut, faisant ressembler certains plans à des tableaux Si je devais résumer le film en un mot : HUMAIN
Comme souvent, Pedro Almodóvar nous présente un film avec un qualité visuelle hors norme. Une belle histoire d'un homme qui se réconcilie avec son passé, magnifiquement interprété par Antonio Banderas.
Un très grand film d’Almodóvar. Le grand maître espagnol n’a pas vieilli et nous mitonne un vrai petit chef-d'œuvre à l’égal de Volver et de tant d’autres. Assurément très autobiographique, voilà le film des réminiscences, des désirs passés, des remords et des regrets. Mais un film beau, esthétique, coloré, qui enchante l’œil. Et puis il faut admirer la sincérité, la générosité, la tendresse qui émanent tout au long grâce au jeu tout en subtilité d’Antonio Banderas. Et l’on retrouve, comme celles d’un vieil ami, toutes les obsessions du réalisateur (hypocondrie, homosexualité, rapport à la mère). Un film qui touche et enchante.
Nostalgie de la jeunesse, de la mère, amours enfuis, maladies, mort sexe désir...Almodovar se met en scène à travers Antonio Banderas (son alter ego épuisé, parfait) toujours éclairé par une fantaisie de couleurs. Fellinien.
D’une manière générale à part l’affreux « les amants passagers » j’aime bien le cinema d’Almodovar. Avec douleur et gloire il fait un film visiblement très autobiographique et je suis resté totalement indifférent. S’il est un cinéaste intéressant je ne suis pas sûr qu’il soit un personnage intéressant. Comme c’est un compteur qui maîtrise son art et qu’il dirige une troupe d’acteurs talentueux je ne peux pas dire que je me suis ennuyé mais cela ne m’a pas du tout intéressé et il ne m’en restera pas grand chose, c’est une vraie déception.
Un réalisateur en manque d'inspiration se confronte à son passé : une première oeuvre, un déménagement, un premier amour, le premier désir ... et bien sûr, sa mère. C'est une autobiographie en creux. C'est comme si rien d'important n'avait vraiment eu lieu entre l'enfance et sa situation. Comme si sa gloire n'avait été qu'une fuite en avant, une course folle, envers laquelle le réalisateur semble éprouver plus de défiance que de nostalgie. Comme si cette course l'avait mené à cet appartement madrilène surdimensionné et froid, où seules ses oeuvres lui tiennent compagnie. Quelle course folle depuis la grotte dans laquelle il vivait enfant ! Ce film est d'une tendresse absolue. Un hymne à l'amour à voir absolument.
On hésite à faire l'analogie avec la médecine légale ou la psychanalyse, tant Almodovar se sert de ce film pour disséquer sa propre carrière et, en un sens, ses propres tourments personnels. Évoquant l'ensemble de ses marottes scénaristiques et les restituant à travers la splendide interprétation d'Antonio Banderas, la mise en abîme est presque impeccable d'un bout à l'autre, même si le récit s'essouffle un peu avant le final, à la fois sobre et grandiose. Dans un portrait à la fois tendre et sans complaisance, Almodovar décrypte les affres de la création et du rapport de l'homme à son œuvre lorsque celle-ci semble lui échapper un peu. Un film personnel et touchant.