Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce film passionnant, l’un des meilleurs Almodóvar (comme l’appelle Antonio Banderas) depuis longtemps suit la lente réconciliation du héros avec un passé tumultueux après ses retrouvailles avec un comédien avec lequel il s’était brouillé depuis plus de vingt ans.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
L’éclatante réussite de Douleur et Gloire confirme, après Julieta, le regain de puissance émotionnelle du cinéma de Pedro Almodóvar.
Culturopoing.com
par Maryline Alligier
La première force du film d'Almodovar est d'être dans le double mouvement, intérieur et antérieur. Parce que "Douleur et Gloire" ramène peut-être le cinéma à sa forme originelle : une reconstruction du souvenir. Peu importe que le souvenir soit intime ou non. Almodovar pose cette question essentielle : et si le cinéma seul peut « sauver quelque-chose du temps où l'on ne sera plus ».
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Françoise Delbecq
Dans un décor de couleurs vives, chères à son univers, on rend hommage au désir, lui seul fait la loi. Et Pedro Almodovar si mélancolique soit-il en est le roi.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Autofiction à l'instar de "8 ½" de Fellini, son film le dévoile et le dissimule pour en faire une œuvre romanesque achevée, d’une beauté visuelle époustouflante.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
Le cinéaste espagnol revient en compétition avec l'un de ses plus beaux films, Douleur et gloire. Il y parle de lui et de lui. Mais avec grâce et intelligence.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Nicolas Schaller
Au sens littéral : un chef-d’œuvre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par La Rédaction
Un chef d'ouvre.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
Douleur et gloire est une étape essentielle dans la filmographie de Pedro Almodóvar. À la fois prolongement et synthèse des obsessions du cinéaste, ce film touche par son authenticité, sa générosité et son infinie tendresse.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Pedro Almodóvar livre un bouleversant autoportrait semi-fictif et offre au comédien Antonio Banderas son meilleur rôle.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Thomas Sotinel
Avec son dernier long-métrage, en compétition à Cannes, le cinéaste espagnol livre son film le plus achevé depuis « Volver », et le plus étourdissant depuis « Parle avec elle ».
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Catherine Balle
Porté par un Banderas magistral, le film est à l’image de ses décors aux couleurs explosives et aux géométries psychédéliques : exubérant, luxuriant et flamboyant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Gérard Lefort
Dans un geste cinématographique d'une allègre mélancolie, le cinéaste espagnol met en scène ce qui a formé son imaginaire en évitant l'écueil de la complaisance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Ariane Allard
[...] généreux, précis, inspiré.
Transfuge
par Louise Dumas
Avec "Douleur et gloire", Pedro Almodovar réalise un bouleversant autoportrait. Et signe son "Huit et demi".
Télérama
par Louis Guichard
Un cinéaste vieillissant se plonge dans les méandres de son passé… Autobiographie ou fiction ? L’Espagnol brouille les pistes autant qu’il se dévoile. Avec brio.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Danièle Heymann
Un bouleversant voyage intime, un voyage conjuratoire et résilient, illuminé par une indéfectible confiance dans le pouvoir du cinéma.
Critikat.com
par Thomas Lequeu
Chacun des éléments constitutifs de Douleur et gloire participe d'une synthèse de la filmographie d'Almodóvar, faisant du film une œuvre qui contiendrait toutes les autres.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Après des années de questionnements et d'hésitations, Pedro Almodovar livre une réflexion sublime sur la beauté et le désir vieillissant, aidé par un Antonio Banderas fabuleux, il signe un de ses films les plus personnels et accomplis.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Céline Rouden
Almodóvar trouve en Antonio Banderas un interprète à la mesure de la délicatesse de son scénario. Le cinéaste s’y met à nu comme jamais, solde avec douceur les comptes d’un parcours dans lequel la vie et le cinéma n’ont toujours fait qu’un, s’irriguant mutuellement.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On rit, on pleure : on est bien chez Almodóvar.
Le Point
par Victoria Gairin et Christophe Ono-Dit-Biot
Un superbe film qui parle de l'essentiel.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Pedro Almodovar pourrait enfin obtenir la Palme d'or tant méritée avec ce vrai-faux autoportrait magnifiquement écrit.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Guillaume Bonnet
Douleur et Gloire remonte ainsi à l’origine des choses, l’enfance de l’artiste, l’enfance de l’art. Il le fait avec grâce et retenue, une émotion douce en rupture avec le « almodovarisme » habituel.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Benjamin Oppert
Un film authentique et sincère dans lequel Almodovar se met à nu de façon pudique. Un aveu d’humilité, un tour de force émotionnelle où se croisent grandeur et décadence.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
Ce film passionnant, l’un des meilleurs Almodóvar (comme l’appelle Antonio Banderas) depuis longtemps suit la lente réconciliation du héros avec un passé tumultueux après ses retrouvailles avec un comédien avec lequel il s’était brouillé depuis plus de vingt ans.
Cahiers du Cinéma
L’éclatante réussite de Douleur et Gloire confirme, après Julieta, le regain de puissance émotionnelle du cinéma de Pedro Almodóvar.
Culturopoing.com
La première force du film d'Almodovar est d'être dans le double mouvement, intérieur et antérieur. Parce que "Douleur et Gloire" ramène peut-être le cinéma à sa forme originelle : une reconstruction du souvenir. Peu importe que le souvenir soit intime ou non. Almodovar pose cette question essentielle : et si le cinéma seul peut « sauver quelque-chose du temps où l'on ne sera plus ».
Elle
Dans un décor de couleurs vives, chères à son univers, on rend hommage au désir, lui seul fait la loi. Et Pedro Almodovar si mélancolique soit-il en est le roi.
Franceinfo Culture
Autofiction à l'instar de "8 ½" de Fellini, son film le dévoile et le dissimule pour en faire une œuvre romanesque achevée, d’une beauté visuelle époustouflante.
L'Express
Le cinéaste espagnol revient en compétition avec l'un de ses plus beaux films, Douleur et gloire. Il y parle de lui et de lui. Mais avec grâce et intelligence.
L'Obs
Au sens littéral : un chef-d’œuvre.
LCI
Un chef d'ouvre.
La Septième Obsession
Douleur et gloire est une étape essentielle dans la filmographie de Pedro Almodóvar. À la fois prolongement et synthèse des obsessions du cinéaste, ce film touche par son authenticité, sa générosité et son infinie tendresse.
La Voix du Nord
Pedro Almodóvar livre un bouleversant autoportrait semi-fictif et offre au comédien Antonio Banderas son meilleur rôle.
Le Monde
Avec son dernier long-métrage, en compétition à Cannes, le cinéaste espagnol livre son film le plus achevé depuis « Volver », et le plus étourdissant depuis « Parle avec elle ».
Le Parisien
Porté par un Banderas magistral, le film est à l’image de ses décors aux couleurs explosives et aux géométries psychédéliques : exubérant, luxuriant et flamboyant.
Les Inrockuptibles
Dans un geste cinématographique d'une allègre mélancolie, le cinéaste espagnol met en scène ce qui a formé son imaginaire en évitant l'écueil de la complaisance.
Positif
[...] généreux, précis, inspiré.
Transfuge
Avec "Douleur et gloire", Pedro Almodovar réalise un bouleversant autoportrait. Et signe son "Huit et demi".
Télérama
Un cinéaste vieillissant se plonge dans les méandres de son passé… Autobiographie ou fiction ? L’Espagnol brouille les pistes autant qu’il se dévoile. Avec brio.
Bande à part
Un bouleversant voyage intime, un voyage conjuratoire et résilient, illuminé par une indéfectible confiance dans le pouvoir du cinéma.
Critikat.com
Chacun des éléments constitutifs de Douleur et gloire participe d'une synthèse de la filmographie d'Almodóvar, faisant du film une œuvre qui contiendrait toutes les autres.
Ecran Large
Après des années de questionnements et d'hésitations, Pedro Almodovar livre une réflexion sublime sur la beauté et le désir vieillissant, aidé par un Antonio Banderas fabuleux, il signe un de ses films les plus personnels et accomplis.
La Croix
Almodóvar trouve en Antonio Banderas un interprète à la mesure de la délicatesse de son scénario. Le cinéaste s’y met à nu comme jamais, solde avec douceur les comptes d’un parcours dans lequel la vie et le cinéma n’ont toujours fait qu’un, s’irriguant mutuellement.
Le Journal du Dimanche
On rit, on pleure : on est bien chez Almodóvar.
Le Point
Un superbe film qui parle de l'essentiel.
Paris Match
Pedro Almodovar pourrait enfin obtenir la Palme d'or tant méritée avec ce vrai-faux autoportrait magnifiquement écrit.
Première
Douleur et Gloire remonte ainsi à l’origine des choses, l’enfance de l’artiste, l’enfance de l’art. Il le fait avec grâce et retenue, une émotion douce en rupture avec le « almodovarisme » habituel.
aVoir-aLire.com
Un film authentique et sincère dans lequel Almodovar se met à nu de façon pudique. Un aveu d’humilité, un tour de force émotionnelle où se croisent grandeur et décadence.