Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Libération
par Luc Chessel
[...] la fiction "Teret" choisit de rendre palpable non la seule mémoire des lieux chargés, mais le pesant suspense du présent de 1999 côté serbe [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Nicolas Geneix
Au trajet qu'il faut suivre sans s'arrêter ni regarder correspond un ambulant huis clos d'où s'amorcent quelques bifurcations narratives sans issue certaine malgré les élans d'une jeunesse souhaitant fuir ou se regrouper.
Transfuge
par Damien Aubel
Aussi étouffant que réussi.
Critikat.com
par Olivia Cooper-Hadjian
Auteur de plusieurs films documentaires, Ognjen Glavonić réalise avec Teret un premier long métrage de fiction qui témoigne déjà d’une certaine maturité esthétique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Paysages gris, routes boueuses, silhouettes mangées par un destin sinistre, tout se conjugue pour transformer ce voyage en odyssée glauque. Cette version serbo-croate du "Salaire de la peur" est fascinante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Si la métaphore est parfois maladroite, l’intérêt du film est néanmoins de porter pour la première fois un point de vue serbe sur le conflit et de montrer à quel point il est encore difficile d’en parler.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Pour son premier long-métrage de fiction, le Serbe Ognjen Glavonic prétend évoquer le massacre de Suva Reka, où de nombreux Kosovars furent tués par l'armée serbe. Problème: il ne montre ni ne dit rien de ces événements. Pour le spectateur mal informé, Teret ne raconte que l'histoire d'un chauffeur poids lourd qui traverse un pays en guerre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jean-François Rauger
Teret se distingue par sa manière de dépeindre une atmosphère étrange, celle d’une guerre dont on ne perçoit les manifestations qu’à distance et que l’on tente de ne pas voir.
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Sous une apparente sobriété, ce premier long de Ognjen Glavonic instille avec brio une réflexion sur la mémoire – individuelle, historique – qui résiste à l’introspection.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Jacques Morice
Sur la mémoire collective enfouie, qui finit par refaire surface, ce premier film témoigne d’un courage obstiné.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Thierry Chèze
Cette mise en scène parvient à faire oublier qu’il se passe finalement peu de choses dans ce récit, dont le déséquilibre entre forme passionnante et fond quelque peu ennuyeux et répétitif, constitue le défaut majeur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Parce que le minimalisme dramaturgique et l’épure plastique d’Ognjen Glavonic sont au service du filmage d’idées : le colis se transformant en un fourre-tout théorique, son chauffeur en une allégorie trop évidente des angoisses d’un pays.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
[...] la fiction "Teret" choisit de rendre palpable non la seule mémoire des lieux chargés, mais le pesant suspense du présent de 1999 côté serbe [...].
Positif
Au trajet qu'il faut suivre sans s'arrêter ni regarder correspond un ambulant huis clos d'où s'amorcent quelques bifurcations narratives sans issue certaine malgré les élans d'une jeunesse souhaitant fuir ou se regrouper.
Transfuge
Aussi étouffant que réussi.
Critikat.com
Auteur de plusieurs films documentaires, Ognjen Glavonić réalise avec Teret un premier long métrage de fiction qui témoigne déjà d’une certaine maturité esthétique.
L'Obs
Paysages gris, routes boueuses, silhouettes mangées par un destin sinistre, tout se conjugue pour transformer ce voyage en odyssée glauque. Cette version serbo-croate du "Salaire de la peur" est fascinante.
La Croix
Si la métaphore est parfois maladroite, l’intérêt du film est néanmoins de porter pour la première fois un point de vue serbe sur le conflit et de montrer à quel point il est encore difficile d’en parler.
Le Figaro
Pour son premier long-métrage de fiction, le Serbe Ognjen Glavonic prétend évoquer le massacre de Suva Reka, où de nombreux Kosovars furent tués par l'armée serbe. Problème: il ne montre ni ne dit rien de ces événements. Pour le spectateur mal informé, Teret ne raconte que l'histoire d'un chauffeur poids lourd qui traverse un pays en guerre.
Le Monde
Teret se distingue par sa manière de dépeindre une atmosphère étrange, celle d’une guerre dont on ne perçoit les manifestations qu’à distance et que l’on tente de ne pas voir.
Les Fiches du Cinéma
Sous une apparente sobriété, ce premier long de Ognjen Glavonic instille avec brio une réflexion sur la mémoire – individuelle, historique – qui résiste à l’introspection.
Télérama
Sur la mémoire collective enfouie, qui finit par refaire surface, ce premier film témoigne d’un courage obstiné.
Première
Cette mise en scène parvient à faire oublier qu’il se passe finalement peu de choses dans ce récit, dont le déséquilibre entre forme passionnante et fond quelque peu ennuyeux et répétitif, constitue le défaut majeur.
Les Inrockuptibles
Parce que le minimalisme dramaturgique et l’épure plastique d’Ognjen Glavonic sont au service du filmage d’idées : le colis se transformant en un fourre-tout théorique, son chauffeur en une allégorie trop évidente des angoisses d’un pays.