Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
L'Express
par Antoine Le Fur
Tantôt ensoleillé, tantôt amer, le film bénéficie du talent et de la jeunesse pleine d'entrain de son duo d'acteurs, les prometteurs Morgan Saylor et McCaul Lombardi.
Le Parisien
par La Rédaction
Un joli film sur la jeunesse et l’émancipation, dans un Los Angeles aux couleurs saturées de soleil.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par La Rédaction
Les réalisateurs Hanna Ladoul et Marco La Via offrent un regard tendre et précis sur un jeune couple confronté au rêve américain.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Sans cynisme ni angélisme, ce conte montre la paupérisation, la loi des séries, les rêves et les chutes dans la mégapole du tout est possible, du pire au meilleur. Avec une bienveillance dans la captation des visages entre béton et océan.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Non dénué de finesse quand il suggère le vertige tapi au creux de quelques journées éprouvantes, le film évite toutefois un territoire plus troublant qui mettrait ses personnages à l’épreuve.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Court, intelligent et efficace.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le film colle donc au réel, mais n’innove guère en traitant d’un sujet rebattu : la galère de jeunes gens fauchés dans la jungle urbaine. Dommage, car les comédiens, notamment McCaul Lombardi, déjà remarqué dans de bons films indépendants, sont remarquables et ajoutent une touche d’authenticité à cette fraîche bluette.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Tirant le meilleur parti d'un budget étriqué, Hanna Ladoul et Marco La Via trouvent un ton, une énergie amusée, et transforment une petite idée (sans doute autobiographique) en une sympathique virée californienne. Il y a de la vie, là-dedans.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si cette journée finit par sembler trop étirée jusqu’à susciter l’ennui, ce film porté par deux comédiens attachants, Morgan Saylor et McCaul Lombardi, vogue avec une fraîcheur indéniable loin des clichés sur l’American way of life et d’un Los Angeles de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
De jolies moments viennent ponctuer un récit ordinaire, mais émouvant, où se débattent de sympathiques héros, incarnés avec conviction par un duo de comédiens complices. Encourageant.
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Cet héritier ostensible de l’esthétique du cinéma indépendant américain délaisse sa dimension critique au profit d’un propos un peu trop édulcoré pour captiver.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Au-delà de sa justesse descriptive, le film tire sa force de sa capacité à faire du cinéma à partir de presque rien, de l’anecdotique et du quotidien, des jeux de regards, des pas feutrés et des chuchotements.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
Ce qui rend le film attachant - sa loyauté envers des personnages qu’il regarde en amis - est donc aussi sa limite : une vision finalement trop idéaliste, qui confine parfois à la mièvrerie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Karelle Fitoussi
[...] ce film a le charme et la fraîcheur des débuts, mais peine à être plus qu’un court-métrage étiré sur 1h20.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Jérémie Couston
La modestie du projet (et du budget) inspire un récit simple et linéaire, comme dans Oslo 31 août, de Joachim Trier, ou Oh Boy, de Jan-Ole Gerster, cités en exemple par les réalisateurs : une errance urbaine de vingt-quatre heures, au gré des rencontres et des embûches, qui s’achève au petit matin.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un premier long métrage attachant sur les mirages et espoirs du rêve américain, porté par deux jeunes interprètes inspirés.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Clarisse Fabre
C'est un peu ce qui gêne dans la première partie du film : les galères s'enchaînent de manière assez mécanique et linéaire, comme dans un film "indépendant" américain qui voudrait dénoncer l'ultralibéralisme et la loi du plus fort.
Première
par Christophe Narbonne
Basé sur l’exil volontaire des deux réalisateurs (français) à Los Angeles, Nous, les coyotes laisse entendre sa musique indé avec un peu trop de persistance (plans volés, flous artistiques, attitude cool), mais devient réellement attachant lorsqu’il s’intéresse à la vérité du couple et de son engagement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
par La Rédaction
L'errance d'un jeune couple qui espère trouver du travail et le bonheur à Los Angeles. Au contact de la réalité, ils se cassent les dents. Inspirés par leur propre expérience, les deux réalisateurs livrent un film qui intéressera surtout leurs proches.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
L'Express
Tantôt ensoleillé, tantôt amer, le film bénéficie du talent et de la jeunesse pleine d'entrain de son duo d'acteurs, les prometteurs Morgan Saylor et McCaul Lombardi.
Le Parisien
Un joli film sur la jeunesse et l’émancipation, dans un Los Angeles aux couleurs saturées de soleil.
Ouest France
Les réalisateurs Hanna Ladoul et Marco La Via offrent un regard tendre et précis sur un jeune couple confronté au rêve américain.
Bande à part
Sans cynisme ni angélisme, ce conte montre la paupérisation, la loi des séries, les rêves et les chutes dans la mégapole du tout est possible, du pire au meilleur. Avec une bienveillance dans la captation des visages entre béton et océan.
Cahiers du Cinéma
Non dénué de finesse quand il suggère le vertige tapi au creux de quelques journées éprouvantes, le film évite toutefois un territoire plus troublant qui mettrait ses personnages à l’épreuve.
CinemaTeaser
Court, intelligent et efficace.
L'Humanité
Le film colle donc au réel, mais n’innove guère en traitant d’un sujet rebattu : la galère de jeunes gens fauchés dans la jungle urbaine. Dommage, car les comédiens, notamment McCaul Lombardi, déjà remarqué dans de bons films indépendants, sont remarquables et ajoutent une touche d’authenticité à cette fraîche bluette.
L'Obs
Tirant le meilleur parti d'un budget étriqué, Hanna Ladoul et Marco La Via trouvent un ton, une énergie amusée, et transforment une petite idée (sans doute autobiographique) en une sympathique virée californienne. Il y a de la vie, là-dedans.
La Croix
Si cette journée finit par sembler trop étirée jusqu’à susciter l’ennui, ce film porté par deux comédiens attachants, Morgan Saylor et McCaul Lombardi, vogue avec une fraîcheur indéniable loin des clichés sur l’American way of life et d’un Los Angeles de cinéma.
Le Journal du Dimanche
De jolies moments viennent ponctuer un récit ordinaire, mais émouvant, où se débattent de sympathiques héros, incarnés avec conviction par un duo de comédiens complices. Encourageant.
Les Fiches du Cinéma
Cet héritier ostensible de l’esthétique du cinéma indépendant américain délaisse sa dimension critique au profit d’un propos un peu trop édulcoré pour captiver.
Les Inrockuptibles
Au-delà de sa justesse descriptive, le film tire sa force de sa capacité à faire du cinéma à partir de presque rien, de l’anecdotique et du quotidien, des jeux de regards, des pas feutrés et des chuchotements.
Libération
Ce qui rend le film attachant - sa loyauté envers des personnages qu’il regarde en amis - est donc aussi sa limite : une vision finalement trop idéaliste, qui confine parfois à la mièvrerie.
Paris Match
[...] ce film a le charme et la fraîcheur des débuts, mais peine à être plus qu’un court-métrage étiré sur 1h20.
Télérama
La modestie du projet (et du budget) inspire un récit simple et linéaire, comme dans Oslo 31 août, de Joachim Trier, ou Oh Boy, de Jan-Ole Gerster, cités en exemple par les réalisateurs : une errance urbaine de vingt-quatre heures, au gré des rencontres et des embûches, qui s’achève au petit matin.
aVoir-aLire.com
Un premier long métrage attachant sur les mirages et espoirs du rêve américain, porté par deux jeunes interprètes inspirés.
Le Monde
C'est un peu ce qui gêne dans la première partie du film : les galères s'enchaînent de manière assez mécanique et linéaire, comme dans un film "indépendant" américain qui voudrait dénoncer l'ultralibéralisme et la loi du plus fort.
Première
Basé sur l’exil volontaire des deux réalisateurs (français) à Los Angeles, Nous, les coyotes laisse entendre sa musique indé avec un peu trop de persistance (plans volés, flous artistiques, attitude cool), mais devient réellement attachant lorsqu’il s’intéresse à la vérité du couple et de son engagement.
Le Figaro
L'errance d'un jeune couple qui espère trouver du travail et le bonheur à Los Angeles. Au contact de la réalité, ils se cassent les dents. Inspirés par leur propre expérience, les deux réalisateurs livrent un film qui intéressera surtout leurs proches.