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Votre avis sur Romance inachevée ?
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Un assez bon film biographique, quoique ennuyeux par moments.
Le cinéphile lambda ne retient de la collaboration du cinéaste Anthony Mann et de l'acteur James Stewart que les cinq westerns flamboyants tournés entre 1950 et 1955.
Et cela est fort regrettable, car il passe à côté d'un film singulier, merveilleux de modestie et de gaieté : The Glenn Miller Story, traduit par Romance inachevée.
Curieusement, le titre français insiste sur le lien qui s'établit entre Miller et son épouse, alors même que le film est essentiellement centré sur le personnage éponyme, qui délaisse sa femme au profit de sa carrière musicale.
James Stewart met de côté son personnage d'angoissé semi-névrosé qu'il avait adopté chez Hitchcock et dans les westerns de Mann, pour retrouver le personnage capraien plein d'entrain et de bonne humeur. Il y est tout simplement ahurissant !
Pour conclure, n'oublions pas le caractère musical de ce film, qui propose d'excellents morceaux de jazz avec entre autres le mythique Louis Armstrong. Avec son talent de metteur en scène (passons outre les quelques erreurs de narration), Anthony Mann dresse un portrait éblouissant d'un maestro du jazz.
Et cela est fort regrettable, car il passe à côté d'un film singulier, merveilleux de modestie et de gaieté : The Glenn Miller Story, traduit par Romance inachevée.
Curieusement, le titre français insiste sur le lien qui s'établit entre Miller et son épouse, alors même que le film est essentiellement centré sur le personnage éponyme, qui délaisse sa femme au profit de sa carrière musicale.
James Stewart met de côté son personnage d'angoissé semi-névrosé qu'il avait adopté chez Hitchcock et dans les westerns de Mann, pour retrouver le personnage capraien plein d'entrain et de bonne humeur. Il y est tout simplement ahurissant !
Pour conclure, n'oublions pas le caractère musical de ce film, qui propose d'excellents morceaux de jazz avec entre autres le mythique Louis Armstrong. Avec son talent de metteur en scène (passons outre les quelques erreurs de narration), Anthony Mann dresse un portrait éblouissant d'un maestro du jazz.
Superbe film sur... l'histoire d'amour entre Glenn Miller et Machin chose. Du coup sa carrière musicale ne sert que d'arrière plan. Et les bisous pleuvent, les sourires ultra-brite éblouissent, tout le monde il est beau et il est content. A vomir. Les parties musicales sont sympas, bien qu'elles aient la fâcheuse tendance à servir de bouche-trous, la vie de Glenn Miller était-elle si pantouflarde et ennuyeuse que cela ?
Un biopic dans le monde musical du jazz sur le trompettiste compositeur Glenn Miller humble et touchant savoureusement réalisé par Anthony Mann !!
On connait la collaboration des cinq Westerns qu'a fait le cinéaste avec James Stewart, les deux ont travaillé une sixième fois ensemble (peut ètre plus?) pour une oeuvre différente mais méconnu avec "Romance inachevée". Ce qui m'a plu dans ce biopic , c'est qu'il y a toujours un message positif à comparé de ceux de nos jours comme par exemple de montrer une part d'ombre ou une faiblesse alors qu'ici, on se croirait à une comédie romantique joyeuse et enchanteur et ça fait du bien, les deux personnages principaux incarné pat l'excellent James Stewart et la belle June Allysson sont charmants. Le parcours du trompettiste qui monte les échelons avec un orchestre est très bien montré à l'écran. On voit quelques figures du jazz faire les guest-stars dans ce long métrage comme le célèbre Louis Armstrong. C'est bien mis en scène, Anthony Mann avait du talent pour s'aventurer dans plusieurs genres dans sa carrière et nous livre ici un très bon film que je recommande.
On connait la collaboration des cinq Westerns qu'a fait le cinéaste avec James Stewart, les deux ont travaillé une sixième fois ensemble (peut ètre plus?) pour une oeuvre différente mais méconnu avec "Romance inachevée". Ce qui m'a plu dans ce biopic , c'est qu'il y a toujours un message positif à comparé de ceux de nos jours comme par exemple de montrer une part d'ombre ou une faiblesse alors qu'ici, on se croirait à une comédie romantique joyeuse et enchanteur et ça fait du bien, les deux personnages principaux incarné pat l'excellent James Stewart et la belle June Allysson sont charmants. Le parcours du trompettiste qui monte les échelons avec un orchestre est très bien montré à l'écran. On voit quelques figures du jazz faire les guest-stars dans ce long métrage comme le célèbre Louis Armstrong. C'est bien mis en scène, Anthony Mann avait du talent pour s'aventurer dans plusieurs genres dans sa carrière et nous livre ici un très bon film que je recommande.
Parmi les biographies musicales « The Glenn Miler Story » se distingue par un scénario qui ne repose pas que sur des numéros musicaux et par la qualité de la réalisation. La construction du récit est remarquable, jusqu’au final émotionnellement très prenant. La direction d’acteur de Mann est une fois de plus étonnante de justesse par une précision de tous les instants avec, cerise sur le gâteau, une complémentarité aussi lumineuse que fusionnelle entre James Stewart et June Allyson. James Stewart, un des plus grands acteurs de l’histoire du cinéma, est parfait dans ce rôle très éloigné des cow-boys tourmentés du réalisateur ou des névrosés d’Alfred Hitchcock. Formidable de nuance et de sensibilité, June Allyson dans un rôle féminin ambitieusement écrit (cela change des biopics habituels où la ou le partenaire sont au mieux des faire-valoir, au pire des bouche-trous) est la co-star du film. « Romance inachevée » (le titre français) bénéficie également d’un visuel remarquable de William H. Daniels qui magnifie les mouvements de caméra pointus voulus par Mann, qui passent de mouvements d’ensemble à la lecture de l’émotion sur les visages dans les gros plans. Malheureusement je n’adhère pas aux orchestrations et arrangements sirupeux, « bien pour danser », de Glenn Miler. Ils sont même un contre sens dans l’histoire du jazz, enlevant tout côté incandescent pour servir une agréable soupe bien tiède, sans trop de saveur ni aspérité. Preuves en est lorsque le réalisateur fait monter la température à ébullition dans un boeuf sur « Bassin Street Blues » qui rassemble, excusez du peu, Louis Armstrong Gene Krupa et Cozy Cole. A signaler aussi la dernière apparition de Frances Langford qui est également, dans un autre style, un grand moment musical. Ma note reflète uniquement la qualité du film auquel seul un montage un peu relâché peut être reproché.
Un film récréatif pour Anthony Mann, plus habitué au western, polar et films de guerre qu’au biopic. Au moins ce « Glenn Miller Story » est tourné avec beaucoup de plaisir et ça se sent dans la mise en scène, plus ludique qu’a l’habitude. Autour de James Stewart on retrouve de nombreux jazzmen (notamment Louis Armstrong) dans leur propre rôle.
Un biopic à l'américaine, version sauce hollywoodienne des années 50 comme on n'en fait plus. Naïve, parfois confondante de simplicité, elle charme pourtant. La grâce à cette multitude de grand jazzmen américain qui viennent ici rendre un dernier hommage à l'ami Glenn Miller. Voir le grand Louis Armstrong en personne souffler dans sa trompette est un vrai délice. Mention spéciale à James Stewart qui se glisse avec un plaisir non dissimulé dans la peau du grand Glenn Miller. Un film amusant.
J'adore la musique de ce musicien de génie mais j'avoue connaître très mal sa vie à l'exception de sa fin tragique. Mais il n'est pas difficile de comprendre que sa vie a sans conteste été idéalisé comme c'était de coutume pour une grande partie des biopics de cette époque. Reste que comme une grande partie des biopics de cette époque, la charme agit pleinement sur le spectateur. Et c'est donc avec plaisir qu'on voit l'ascension difficile de cet artiste au style unique. D'autant plus qu'en bon artisan qu'il était, Anthony Mann a su réaliser le tout avec une rigueur et une vigueur rarement prises en défaut. Il y a même quelques séquences bien inspirées, en particulier celle avec le formidable caméo de Louis Amstrong. Le tout entrecoupé avec les inoubliables morceaux du compositeur (dommage qu'il manque juste mon préféré "Perfidia") : le sublime "Moonlight Serenade", l'énergique "American Patrol" et bien sûr le pétillant "In the Mood" entre autres. James Stewart arrive l'exploit d'imposer sa stature très charismatique tout en réussissant à ne pas écraser de sa personnalité celle du musicien, et livre une interprétation parfaite. June Allyson à ses côtés arrive à transcender sa fadeur habituelle en faisant montre le temps de ce film d'un véritable talent d'actrice. En tous les cas, on a ici droit à un bel hommage à cet immense artiste et à sa quête de la perfection qui a abouti à de très nombreuses reprises.
Revu récemment sur Paramount Channel. Une incarnation conservatrice du fameux rêve américain. Un peu trop gentillet et fleur bleu à mon gout. Une vie de Jazzman un peu trop sage et polie, pour que j'y crois totalement. Sinon ça passe bien. Mais ça reste le plus naïf et pittoresque des films hagiographiques que j'ai jamais vu. Et un archétype classieux de l'age d'or hollywoodien. Du bon vieux guilleret old school à l'état brut. Ce n'est pas un immense chef-d’œuvre. Mais ça reste un petit film très plaisant et bien fait. Un vrai classique de cœur. Et avec Amstrong et Kruppa en guest star...
P.S. : Si vous n'aimez pas le vieux blues-jazz lounge, abstenez-vous.
P.S. : Si vous n'aimez pas le vieux blues-jazz lounge, abstenez-vous.
Le film est moins une biographie de Glenn Miller que la description d'une romance entre James Stewart et June Alyson, deux acteurs qui ont souvent été associés. Aussi la première partie du film est elle quelque peu longuette. Bien que ce film sente la commande à plein nez (qu'est ce que Mann, maître du film noir et du western, est venu faire là ?), les scènes proprement musicales, notamment celles ayant lieu en Europe pour soutenir les engagés dans la deuxième guerre mondiale, sont assez réussies. La fin est émouvante. A voir.
Un film intéressant qui narre la vie de Glenn Miller. Si on aime son oeuvre, ce qui est mon cas, on se laisse entraîner par cette biographie plutôt bien construite, sur fond de morceaux composés par Miller. James Stewart est bien dans son personnage. Il n'y a pas de grande surprise, la mise en scène est conventionnelle, mais le résultat est honnête. Ah, pourquoi n'avoir pas reporté ce vol par un temps si mauvais ?
Je ne connais pas réellement l'artiste, je veux dire sa vie privée mais j'admire ses chansons. Je ne crois pas avoir vu de films d'Anthony Mann donc ceci fut mon premier et pas de déception, j'ai trouvé ce film très bon. Mann fait preuve ici d'une grande modernité pour ce film et nous pond un bon biopic d'un très grand artiste. James Steward est encore une fois très bon et nous prouve que Glenn Miller était un très grand artiste, attachant et amoureux de la musique.
Certaines scènes ne font pas partie de la vie réelle de Miller mais ces scènes sont fabuleuses surtout celle avec la présence d'Armstrong que je trouve très bonne.
Pour ma part ce film peut se diviser en 2 catégories : la musique et l'amour, la musique pour ce qui est de la passion de l'artiste avec une comme bande sonore les grands titres de Miller dont " Moonlight Seranade" "In the mood"... et l'amour pour l'histoire romantique qu'il a entretenu avec sa femme et l'amour pour son public, l'envie de donner au public de la beauté et de la douceur grâce à sa musique .
Pour ce qui est de l'ambiance j'ai adoré également, les morceaux de jazz joués dans les clubs en pleine nuit et les rues de New York, Chicago respirant la musique, respirant le jazz. Un très bon film de Mann qui nous signe ici un très bon Biopic d'un grand artiste.
Certaines scènes ne font pas partie de la vie réelle de Miller mais ces scènes sont fabuleuses surtout celle avec la présence d'Armstrong que je trouve très bonne.
Pour ma part ce film peut se diviser en 2 catégories : la musique et l'amour, la musique pour ce qui est de la passion de l'artiste avec une comme bande sonore les grands titres de Miller dont " Moonlight Seranade" "In the mood"... et l'amour pour l'histoire romantique qu'il a entretenu avec sa femme et l'amour pour son public, l'envie de donner au public de la beauté et de la douceur grâce à sa musique .
Pour ce qui est de l'ambiance j'ai adoré également, les morceaux de jazz joués dans les clubs en pleine nuit et les rues de New York, Chicago respirant la musique, respirant le jazz. Un très bon film de Mann qui nous signe ici un très bon Biopic d'un grand artiste.
Ce film se situe très haut sur les petits plaisirs de l'existence...
James Stewart, June Allyson et la musique envoûtante de Glenn Miller font merveille et nous, on se délecte. A voir absolument !!!
James Stewart, June Allyson et la musique envoûtante de Glenn Miller font merveille et nous, on se délecte. A voir absolument !!!
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