Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
L'Humanité
par Dominique Widemann
Szabolcs n’est pas plus tyrannique que négligeant. Son exercice de la paternité est empreint d’intérêt et d’affection. Il ne rechigne pas à ses aspects pratiques.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Un fragment de vie authentique, tout comme la belle interprétation de la protagoniste.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Philippe Niel
Dans cette agitation, les questions plus existentielles du couple sont étouffées, ou plutôt remplacées par des gestes rendus familiers, furtifs, grâce à une caméra qui a le talent d’être presque autant happée par le quotidien que l’ensemble de la famille.
Télérama
par Frédéric Strauss
Au fil d’une journée, ce premier film d’une jeune réalisatrice raconte avec une superbe adresse comment la vie matérielle prend le pouvoir sur une femme, comment la vérité essentielle est remise en question au moment où le plombier n’attend pas…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Fort heureusement, la mise en scène, qui épouse le mouvement sans répit d’Anna, se glisse dans les failles du récit, traque dans les silences résignés et les regards éperdus toute la solitude de cette femme que plus personne ne regarde vraiment. Sauf la cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Voici
par A.V.
Un beau portrait de superwoman lessivée et en équilibre.
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Un film très calme, sans intrigue particulière, où le silence et l’apparente passivité de l’héroïne sont présentés comme une puissante source de résistance.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Si l'intention est louable et l'actrice convaincante, l'ensemble manque un peu de personnalité et finit par s'essoufler, faute de véritables enjeux, la relation avec le mari infidèle étant seulement esquissée.
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Premier long métrage de la réalisatrice hongroise Zsofia Szilagyi, Anna, un jour adopte une mise en scène hyperréaliste pour nous rapporter minute par minute la journée type d’une femme débordée dont le quotidien trop plein la conduit au sentiment de vide et de solitude. Le film s’enlise.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
"Anna, un jour", à travers la journée type d’un personnage emblème, recueille un lot de pièces à conviction sociologiques mais oublie de préserver l’intime d’une trajectoire, son ambiguïté, son trouble.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thomas Baurez
L'interprète principale fait preuve d'un sens de l'équilibre étonnant.
L'Humanité
Szabolcs n’est pas plus tyrannique que négligeant. Son exercice de la paternité est empreint d’intérêt et d’affection. Il ne rechigne pas à ses aspects pratiques.
Les Fiches du Cinéma
Un fragment de vie authentique, tout comme la belle interprétation de la protagoniste.
Positif
Dans cette agitation, les questions plus existentielles du couple sont étouffées, ou plutôt remplacées par des gestes rendus familiers, furtifs, grâce à une caméra qui a le talent d’être presque autant happée par le quotidien que l’ensemble de la famille.
Télérama
Au fil d’une journée, ce premier film d’une jeune réalisatrice raconte avec une superbe adresse comment la vie matérielle prend le pouvoir sur une femme, comment la vérité essentielle est remise en question au moment où le plombier n’attend pas…
L'Obs
Fort heureusement, la mise en scène, qui épouse le mouvement sans répit d’Anna, se glisse dans les failles du récit, traque dans les silences résignés et les regards éperdus toute la solitude de cette femme que plus personne ne regarde vraiment. Sauf la cinéaste.
Voici
Un beau portrait de superwoman lessivée et en équilibre.
aVoir-aLire.com
Un film très calme, sans intrigue particulière, où le silence et l’apparente passivité de l’héroïne sont présentés comme une puissante source de résistance.
Le Journal du Dimanche
Si l'intention est louable et l'actrice convaincante, l'ensemble manque un peu de personnalité et finit par s'essoufler, faute de véritables enjeux, la relation avec le mari infidèle étant seulement esquissée.
Le Monde
Premier long métrage de la réalisatrice hongroise Zsofia Szilagyi, Anna, un jour adopte une mise en scène hyperréaliste pour nous rapporter minute par minute la journée type d’une femme débordée dont le quotidien trop plein la conduit au sentiment de vide et de solitude. Le film s’enlise.
Les Inrockuptibles
"Anna, un jour", à travers la journée type d’un personnage emblème, recueille un lot de pièces à conviction sociologiques mais oublie de préserver l’intime d’une trajectoire, son ambiguïté, son trouble.
Première
L'interprète principale fait preuve d'un sens de l'équilibre étonnant.