Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Taillé dans le maelström du monde contemporain, "Diamantino" est un pur film pop, c'est-à-dire une oeuvre dont la sophistication est mise au service de la préhension du réel pour tous.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Antoine Du Jeu
"Diamantino" accomplit l'idéal de la pop : nous ramener à un paradis perdu où tout irait bien dans le meilleur des mondes possibles.
20 Minutes
par Caroline Vié
Vous aimez le foot ? Diamantino est (peut-être) fait pour vous. Vous détestez le foot ? Diamantino vous le fera (sans doute) aimer.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
On peut voir Diamantino comme une série B d’auteur folle, une inquiétante satire politique et une parodie fauchée, extrêmement drôle, de film de science-fiction.
Culturopoing.com
par Xanaé Bove
Un cocktail détonnant et vitaminé qui rend ivre de joie.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Ecran Fantastique
par Ava Cahen
"Diamantino" appartient à cette nouvelle vague de films qui osent marier humour, science-fiction et fantaisie et revisiter les mythes fondateurs (Frankenstein, l’hybridité, la monstruosité, la peur de l’étranger) avec audace et talent. Amateurs de curiosités, ce film est pour vous.
L'Express
par Christophe Carrière
Leur conte - car c'en est un, c'est sûr - brasse à la fois les Panama Papers, la montée de l'extrême droite, la tragédie des migrants, le tout sans jamais perdre le spectateur. Mieux, en l'amusant et en l'étonnant.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Attention, objet filmique complètement barré ! On ne sait pas ce que fument le Portugais Gabriel Abrantes et l'Américain Daniel Schmidt, mais c'est de la bonne.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Le résultat est surréaliste, tendance pop et queer. Le grand public peut rester hermétique à la sophistication kitsch, mais il est difficile de ne pas s’attacher à ce héros tragicomique au regard ébaubi et à la bonté quasi christique (formidable Carloto Cotta).
Les Fiches du Cinéma
par Corentin Lê
En prenant pour ancrage de leur satire transgenre le simulacre d’une star de football sur la pente descendante, Gabriel Abrantes et Daniel Schmidt sont parvenus à cristaliser toutes les absurdités, vomitives comme réjouissantes, du zeitgeist environnant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Jérémy Piette
Chaotique et jouissif, le film emporte tout sur son passage.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Nicolas Bauche
Dans un décorum bling-bling, le réalisateur Gabriel Abrantes joue des codes contemporains qui propulsent au rang d’immortels tous ceux qui participent à la société du spectacle et en tire une interprétation drôle et irrévérencieuse de la Genèse.
Télérama
par Jacques Morice
Diamantino est un film délibérément idiot, sans limites, et qui déborde de compassion. Grâce à ce trait fertile, le duo de cinéastes dépasse la simple satire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
On nage dans le pop, pop, pop, le mélimélo et le fou, fou, fou. Warhol aurait adoré, Ronaldo sans doute un peu moins...
Le Monde
par Mathieu Macheret
Diamantino vaut peut-être moins pour ce qu’il raconte – une histoire d’amour somme toute convenue, un éloge de la candeur contre la méchanceté du monde – que pour son bouillonnant régime d’images, qui cerne quelque chose de l’environnement visuel dans lequel baigne notre modernité.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
A trop jouer avec des images kitsch, l’humour aussi en devient quelque peu daté. Quand on veut parler des sujets les plus graves de l’actualité, ce n’est certainement pas la meilleure approche.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Adrien Dénouette
Diamantino se contente ainsi d’accrocher l’icône prolo sur les cimaises d’une biennale chic, avec une fausse candeur d’enfant de chœur qui peine à dissimuler son insupportable sourire en coin.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par La Rédaction
Dans cette soi-disant satire du joueur de football Cristiano Ronaldo, l'acteur Carloto Cotta qui ne craint pas le ridicule. Cette fiction grotesque et ennuyeuse a pourtant remporté le Grand Prix de la Semaine de la critique à Cannes. Cette fois ce n'est pas un critère de qualité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
par La Rédaction
Un faux poème bricolé et vrai nanar.
Première
par Michaël Patin
Une mixture grumeleuse qui ne rend justice à aucun des genres qu’elle visite (science-fiction, comédie absurde, romance) et prend tout le monde de haut, de ses personnages ultra caricaturaux au spectateur lui-même, sommé de bien vouloir confondre poésie et gesticulation, faux nanar conscient et vrai navet navrant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
Taillé dans le maelström du monde contemporain, "Diamantino" est un pur film pop, c'est-à-dire une oeuvre dont la sophistication est mise au service de la préhension du réel pour tous.
Transfuge
"Diamantino" accomplit l'idéal de la pop : nous ramener à un paradis perdu où tout irait bien dans le meilleur des mondes possibles.
20 Minutes
Vous aimez le foot ? Diamantino est (peut-être) fait pour vous. Vous détestez le foot ? Diamantino vous le fera (sans doute) aimer.
Cahiers du Cinéma
On peut voir Diamantino comme une série B d’auteur folle, une inquiétante satire politique et une parodie fauchée, extrêmement drôle, de film de science-fiction.
Culturopoing.com
Un cocktail détonnant et vitaminé qui rend ivre de joie.
L'Ecran Fantastique
"Diamantino" appartient à cette nouvelle vague de films qui osent marier humour, science-fiction et fantaisie et revisiter les mythes fondateurs (Frankenstein, l’hybridité, la monstruosité, la peur de l’étranger) avec audace et talent. Amateurs de curiosités, ce film est pour vous.
L'Express
Leur conte - car c'en est un, c'est sûr - brasse à la fois les Panama Papers, la montée de l'extrême droite, la tragédie des migrants, le tout sans jamais perdre le spectateur. Mieux, en l'amusant et en l'étonnant.
L'Obs
Attention, objet filmique complètement barré ! On ne sait pas ce que fument le Portugais Gabriel Abrantes et l'Américain Daniel Schmidt, mais c'est de la bonne.
Le Journal du Dimanche
Le résultat est surréaliste, tendance pop et queer. Le grand public peut rester hermétique à la sophistication kitsch, mais il est difficile de ne pas s’attacher à ce héros tragicomique au regard ébaubi et à la bonté quasi christique (formidable Carloto Cotta).
Les Fiches du Cinéma
En prenant pour ancrage de leur satire transgenre le simulacre d’une star de football sur la pente descendante, Gabriel Abrantes et Daniel Schmidt sont parvenus à cristaliser toutes les absurdités, vomitives comme réjouissantes, du zeitgeist environnant.
Libération
Chaotique et jouissif, le film emporte tout sur son passage.
Positif
Dans un décorum bling-bling, le réalisateur Gabriel Abrantes joue des codes contemporains qui propulsent au rang d’immortels tous ceux qui participent à la société du spectacle et en tire une interprétation drôle et irrévérencieuse de la Genèse.
Télérama
Diamantino est un film délibérément idiot, sans limites, et qui déborde de compassion. Grâce à ce trait fertile, le duo de cinéastes dépasse la simple satire.
Le Dauphiné Libéré
On nage dans le pop, pop, pop, le mélimélo et le fou, fou, fou. Warhol aurait adoré, Ronaldo sans doute un peu moins...
Le Monde
Diamantino vaut peut-être moins pour ce qu’il raconte – une histoire d’amour somme toute convenue, un éloge de la candeur contre la méchanceté du monde – que pour son bouillonnant régime d’images, qui cerne quelque chose de l’environnement visuel dans lequel baigne notre modernité.
aVoir-aLire.com
A trop jouer avec des images kitsch, l’humour aussi en devient quelque peu daté. Quand on veut parler des sujets les plus graves de l’actualité, ce n’est certainement pas la meilleure approche.
Critikat.com
Diamantino se contente ainsi d’accrocher l’icône prolo sur les cimaises d’une biennale chic, avec une fausse candeur d’enfant de chœur qui peine à dissimuler son insupportable sourire en coin.
Le Figaro
Dans cette soi-disant satire du joueur de football Cristiano Ronaldo, l'acteur Carloto Cotta qui ne craint pas le ridicule. Cette fiction grotesque et ennuyeuse a pourtant remporté le Grand Prix de la Semaine de la critique à Cannes. Cette fois ce n'est pas un critère de qualité.
Ouest France
Un faux poème bricolé et vrai nanar.
Première
Une mixture grumeleuse qui ne rend justice à aucun des genres qu’elle visite (science-fiction, comédie absurde, romance) et prend tout le monde de haut, de ses personnages ultra caricaturaux au spectateur lui-même, sommé de bien vouloir confondre poésie et gesticulation, faux nanar conscient et vrai navet navrant.