Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une œuvre de cinéma capitale qui permet de réécrire le cauchemar de la guerre en ex-Yougoslavie à l’aune du parcours tragique et fantastique d’un jeune journaliste suisse. Saisissant et essentiel.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Dans la famille « cinéma d’animation pour adultes », Anja Kofmel frappe un grand coup avec Chris the Swiss. Elle mêle documentaire en prise de vues réelles et animation pour ce film présenté à la Semaine de la Critique de Cannes et au Festival d’Annecy.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"Chris the Swiss" fascine du début à la fin, tant par sa construction tout en crescendo, sa forme mêlant images réelles et animation, que par la rencontre entre l’intime et l’Histoire. Bouleversant et instructif.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Pierre Barbancey
La réalisatrice parvient à son but. Nulle empathie dans son propos. La volonté d’explorer et de comprendre.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Une manière admirable, pour la réalisatrice, de confronter les fantasmes poétiques de son enfance à la douloureuse réalité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Pourtant le film, tout en étant très intime, déploie une réflexion politique universelle sur les raisons qui peuvent pousser de jeunes hommes et femmes à quitter les leurs pour s’engager dans un conflit lointain. Un thème qui résonne fortement avec l’actualité récente.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Une enquête fouillée et haletante mêlant images d'archives et animation.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un film très personnel, douloureux et passionnant.
Le Parisien
par La Rédaction
Un film émouvant et passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Bernard Génin
Des séquences d’animation (dans un noir et blanc charbonneux, très belles et impressionnantes) viennent pallier un manque de document ou illustrer de façon abstraite les abîmes où plonge l’enquêtrice.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Anja Kofmel entre avec délicatesse dans ce sujet, noir, douloureux, alternant sa recherche avec une animation qui permet des échappées visuelles, des songes à l’intérieur des ténèbres, comme l’ombre portée du passé à l’intérieur de ce beau documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Cécile Mury
Reporter, aventurier, voire agent secret, personnage équivoque engagé dans une milice internationale pro-croate d’extrême droite, ou bien héros de l’info infiltré ? Qui était vraiment Chris ? De troubles vérités se révèlent, qu’Anja Kofmel ose frotter à son deuil et à son imaginaire, comblant les vides et déployant ses émotions grâce à de splendides cauchemars animés en noir et blanc.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Olivier Pélisson
Une tentative réussie de documentaire et d’examen familial, dotée d’une forme atypique grâce au parcours de son auteure Anja Kofmel.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Le Monde
par Thomas Sotinel
Cette symbiose entre l’information et la rumination des craintes et des fantasmes que Anja Kofmel fait naître trouve ici une expression cinématographique à la fois exacte et onirique.
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Les témoignages sont intéressants quoique parfois un peu ambigus, voire complaisants. Cependant les séquences animées sont plastiquement très réussies.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Plus qu’un travail d’archéologie d’un deuil familial, cet ingénieux échafaudage finit par exhumer un spectre qui dépasse les frontières de l’intime pour dénoncer le penchant humain pour une sanguinolente folie dont cette sale guerre est une des dernières manifestations.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Perrine Quennesson
Un peu à la façon d’Ari Folman dans Valse avec Bachir, la réalisatrice aborde un conflit aux enjeux complexes par le biais d’une histoire personnelle. Son moteur ? Comprendre ce qui est arrivé à son parent, qui semble ne pas avoir respecté son rôle d’observateur, finissant par choisir un camp dans un conflit aussi hybride que la mise en scène de ce long métrage en forme de travail de deuil.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Pari du film, la greffe entre toutes ses strates et éléments hétérogènes reste laborieuse, et s’en remet surtout aux rebondissements d’un récit à énigmes et à l’immédiateté d’évocations cauchemardesques.
aVoir-aLire.com
Une œuvre de cinéma capitale qui permet de réécrire le cauchemar de la guerre en ex-Yougoslavie à l’aune du parcours tragique et fantastique d’un jeune journaliste suisse. Saisissant et essentiel.
20 Minutes
Dans la famille « cinéma d’animation pour adultes », Anja Kofmel frappe un grand coup avec Chris the Swiss. Elle mêle documentaire en prise de vues réelles et animation pour ce film présenté à la Semaine de la Critique de Cannes et au Festival d’Annecy.
Franceinfo Culture
"Chris the Swiss" fascine du début à la fin, tant par sa construction tout en crescendo, sa forme mêlant images réelles et animation, que par la rencontre entre l’intime et l’Histoire. Bouleversant et instructif.
L'Humanité
La réalisatrice parvient à son but. Nulle empathie dans son propos. La volonté d’explorer et de comprendre.
L'Obs
Une manière admirable, pour la réalisatrice, de confronter les fantasmes poétiques de son enfance à la douloureuse réalité.
La Croix
Pourtant le film, tout en étant très intime, déploie une réflexion politique universelle sur les raisons qui peuvent pousser de jeunes hommes et femmes à quitter les leurs pour s’engager dans un conflit lointain. Un thème qui résonne fortement avec l’actualité récente.
Le Figaro
Une enquête fouillée et haletante mêlant images d'archives et animation.
Le Journal du Dimanche
Un film très personnel, douloureux et passionnant.
Le Parisien
Un film émouvant et passionnant.
Positif
Des séquences d’animation (dans un noir et blanc charbonneux, très belles et impressionnantes) viennent pallier un manque de document ou illustrer de façon abstraite les abîmes où plonge l’enquêtrice.
Sud Ouest
Anja Kofmel entre avec délicatesse dans ce sujet, noir, douloureux, alternant sa recherche avec une animation qui permet des échappées visuelles, des songes à l’intérieur des ténèbres, comme l’ombre portée du passé à l’intérieur de ce beau documentaire.
Télérama
Reporter, aventurier, voire agent secret, personnage équivoque engagé dans une milice internationale pro-croate d’extrême droite, ou bien héros de l’info infiltré ? Qui était vraiment Chris ? De troubles vérités se révèlent, qu’Anja Kofmel ose frotter à son deuil et à son imaginaire, comblant les vides et déployant ses émotions grâce à de splendides cauchemars animés en noir et blanc.
Bande à part
Une tentative réussie de documentaire et d’examen familial, dotée d’une forme atypique grâce au parcours de son auteure Anja Kofmel.
Le Monde
Cette symbiose entre l’information et la rumination des craintes et des fantasmes que Anja Kofmel fait naître trouve ici une expression cinématographique à la fois exacte et onirique.
Les Fiches du Cinéma
Les témoignages sont intéressants quoique parfois un peu ambigus, voire complaisants. Cependant les séquences animées sont plastiquement très réussies.
Les Inrockuptibles
Plus qu’un travail d’archéologie d’un deuil familial, cet ingénieux échafaudage finit par exhumer un spectre qui dépasse les frontières de l’intime pour dénoncer le penchant humain pour une sanguinolente folie dont cette sale guerre est une des dernières manifestations.
Première
Un peu à la façon d’Ari Folman dans Valse avec Bachir, la réalisatrice aborde un conflit aux enjeux complexes par le biais d’une histoire personnelle. Son moteur ? Comprendre ce qui est arrivé à son parent, qui semble ne pas avoir respecté son rôle d’observateur, finissant par choisir un camp dans un conflit aussi hybride que la mise en scène de ce long métrage en forme de travail de deuil.
Cahiers du Cinéma
Pari du film, la greffe entre toutes ses strates et éléments hétérogènes reste laborieuse, et s’en remet surtout aux rebondissements d’un récit à énigmes et à l’immédiateté d’évocations cauchemardesques.