Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Elle
par Emilie Rivenq
Un film aussi fin qu'intelligent, à ne surtout pas rater.
Femme Actuelle
par La Rédaction
A voir à tout prix.
Positif
par Ariane Allard
[...] un récit impressionnant d’intelligence, de tension et de vérité humaine.
20 Minutes
par Caroline Vié
Impossible de s’aimer comme on veut en Inde, où les castes sont encore puissantes. Monsieur, chronique tendre récompensée à la Semaine de la Critique du Festival de Cannes et au Festival de Saint-Jean-de-Luz le démontre par l’exemple.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Chris Huby
Un film à voir, indéniablement, pour comprendre ce que vivent encore les femmes en Inde, de manière la plus discrète qui soit. L’œuvre propose en outre un vrai oeil de cinéma, en plus de ses prix bien mérités (Grand Prix et Prix du Public) au Festival International du Film de Saint-Jean-De-Luz.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Pierre Barbancey
Une ode à l’espoir humain.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Avec douceur et subtilité, Monsieur bouscule les conventions pour montrer l’héritage des castes, pourtant abolies, et inviter à reconstruire des relations dans le respect mutuel.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
L’appartement devient le théâtre d’une douce sérénade qui ne dit pas son nom mais qui finira par faire vaciller les personnages, et par emporter le spectateur.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Loin de toute idéalisation naïve comme de toute noirceur misérabiliste, le film fait entendre une petite musique riche d’harmoniques divers, tout à la fois romance sentimentale, peinture sociale, étude de caractères, et surtout drame intime, lourd de toutes les contraintes mais aussi de tous les espoirs. Un petit bijou.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Avec son premier film, Monsieur, Rohena Gera signe une très élégante histoire d'amour, sachant aussi faire parler le silence.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On est ému par la force de caractère de ces femmes invisibles qui s'autorisent à défier les injustices sociales.
Le Parisien
par La Rédaction
Un très beau film sur l’émancipation, romantique et plein d’espoir.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par La Rédaction
Sur fond de société clivée, un film engagé, nappé d'un romantisme onctueux.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Un premier film tout en délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Une histoire sentimentale à la mise en scène discrète et soyeuse, qui évite tout discours manichéen pour pour se concentrer sur la puissance du désir.
Télérama
par Guillemette Odicino
L’amour impossible entre un jeune maître indien et sa domestique, servi par une mise en scène soignée, qui n’élude rien de la dure réalité des castes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un premier long métrage de fiction qui aborde avec subtilité les barrières de classe et la difficulté à assumer ses sentiments dans un environnement étriqué.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un beau film sensible et touchant où l’actrice Tillotama Shome éclate par sa beauté, sa grâce et sa sobriété de jeu.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Rohena Gera filme avec une grande délicatesse ces deux êtres suspendus à un amour interdit, dont les émotions affleurent sans être prononcées.
Paris Match
par Yannick Vely
L'amour plus fort que la lutte des classes version indienne ? La réalisatrice Rohena Gera signe en tout cas un premier film délicat et sensible.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Damien Leblanc
Influencée par In the Mood for Love, la mise en scène joue sur l’effleurement des regards et met en valeur, comme chez Wong Kar-wai, les ombres et les espaces vides. Elle offre un écrin soyeux à cette fable sentimentale qui prend le parti d’adoucir la violence réelle de l’Inde pour lui préférer l’utopie politique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Audrey Planchet
Si l’enjeu est louable, on peut toutefois regretter que la réalisatrice use de ficelles scénaristiques systématiques et apparentes pour tisser son premier film.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
C'est pudique, admirablement interprété par Tillotama Shome, mais cousu de fil blanc.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Elle
Un film aussi fin qu'intelligent, à ne surtout pas rater.
Femme Actuelle
A voir à tout prix.
Positif
[...] un récit impressionnant d’intelligence, de tension et de vérité humaine.
20 Minutes
Impossible de s’aimer comme on veut en Inde, où les castes sont encore puissantes. Monsieur, chronique tendre récompensée à la Semaine de la Critique du Festival de Cannes et au Festival de Saint-Jean-de-Luz le démontre par l’exemple.
Ecran Large
Un film à voir, indéniablement, pour comprendre ce que vivent encore les femmes en Inde, de manière la plus discrète qui soit. L’œuvre propose en outre un vrai oeil de cinéma, en plus de ses prix bien mérités (Grand Prix et Prix du Public) au Festival International du Film de Saint-Jean-De-Luz.
L'Humanité
Une ode à l’espoir humain.
La Croix
Avec douceur et subtilité, Monsieur bouscule les conventions pour montrer l’héritage des castes, pourtant abolies, et inviter à reconstruire des relations dans le respect mutuel.
La Voix du Nord
L’appartement devient le théâtre d’une douce sérénade qui ne dit pas son nom mais qui finira par faire vaciller les personnages, et par emporter le spectateur.
Le Dauphiné Libéré
Loin de toute idéalisation naïve comme de toute noirceur misérabiliste, le film fait entendre une petite musique riche d’harmoniques divers, tout à la fois romance sentimentale, peinture sociale, étude de caractères, et surtout drame intime, lourd de toutes les contraintes mais aussi de tous les espoirs. Un petit bijou.
Le Figaro
Avec son premier film, Monsieur, Rohena Gera signe une très élégante histoire d'amour, sachant aussi faire parler le silence.
Le Journal du Dimanche
On est ému par la force de caractère de ces femmes invisibles qui s'autorisent à défier les injustices sociales.
Le Parisien
Un très beau film sur l’émancipation, romantique et plein d’espoir.
Les Fiches du Cinéma
Sur fond de société clivée, un film engagé, nappé d'un romantisme onctueux.
Les Inrockuptibles
Un premier film tout en délicatesse.
Ouest France
Une histoire sentimentale à la mise en scène discrète et soyeuse, qui évite tout discours manichéen pour pour se concentrer sur la puissance du désir.
Télérama
L’amour impossible entre un jeune maître indien et sa domestique, servi par une mise en scène soignée, qui n’élude rien de la dure réalité des castes.
aVoir-aLire.com
Un premier long métrage de fiction qui aborde avec subtilité les barrières de classe et la difficulté à assumer ses sentiments dans un environnement étriqué.
Franceinfo Culture
Un beau film sensible et touchant où l’actrice Tillotama Shome éclate par sa beauté, sa grâce et sa sobriété de jeu.
Le Monde
Rohena Gera filme avec une grande délicatesse ces deux êtres suspendus à un amour interdit, dont les émotions affleurent sans être prononcées.
Paris Match
L'amour plus fort que la lutte des classes version indienne ? La réalisatrice Rohena Gera signe en tout cas un premier film délicat et sensible.
Première
Influencée par In the Mood for Love, la mise en scène joue sur l’effleurement des regards et met en valeur, comme chez Wong Kar-wai, les ombres et les espaces vides. Elle offre un écrin soyeux à cette fable sentimentale qui prend le parti d’adoucir la violence réelle de l’Inde pour lui préférer l’utopie politique.
Critikat.com
Si l’enjeu est louable, on peut toutefois regretter que la réalisatrice use de ficelles scénaristiques systématiques et apparentes pour tisser son premier film.
L'Obs
C'est pudique, admirablement interprété par Tillotama Shome, mais cousu de fil blanc.