Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Marianne
par Olivier De Bruyn
Épuré et bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Marc Cerisuelo
[...] il faut dire les choses nettement : ce film est le chef-d’œuvre d’un petit maître ; ce sont parfois les plus grands artistes.
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Tout en suivant la trajectoire amoureuse d’un jeune homme volage, Philippe Garrel raconte, dans "Le Sel des larmes", le bouleversant adieu d’un fils à son père.
Bande à part
par Hava Sarfati
La réalisation d’un film possède toujours une adresse. Dans "Le Sel des Larmes", il est question d’amour et de transmission. Il va de soi qu’il s’agit aussi d’une déclaration faite à Maurice Garrel. Ode au comédien, et à tous les artistes, qui exercent leur art avec l’humilité et le savoir-faire des artisans d’autrefois.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Tout laisse à penser que depuis qu’il est revenu à une économie plus réduite qui a fini par faire méthode (peu de personnages, tournages courts pour films courts), c’est-à-dire depuis La Jalousie, Philippe Garrel élague, retranche ou va tout simplement droit à l’essentiel – et de ce fait intemporel – de ce qui lie intimement les amants.
Elle
par Françoise Delbecq
Ce film pudique où les regards en disent plus long que les discours, se révèle aussi d'une absolue douceur.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Garrel n’a pas son pareil pourfilmer l’essor du sentiment, ses montées frémissantes et ses descentes ombragées.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Une fable émouvante et modeste, ode au cinéma artisanal de papa et écrin magnifique pour trois jeunes actrices de demain.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thomas Baurez
Philippe Garrel signe un film d’une puissance foudroyante sur un homme en quête de cœurs.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Josué Morel
Un film un peu frustrant, aussi déséquilibré que magnifique localement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jonathan Trullard
Garrel poursuit son exploration des vicissitudes des sentiments dans un film dépouillé, au noir et blanc charbonneux. Discret, celui-ci s'inscrit dans la continuité de son cinéma, sans décevoir, mais sans éblouir.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Plus que sur les premières conquêtes de Luc, Le Sel des larmes s’articule autour de sa relation avec son vieux père, interprété par André Wilms. Le comédien lui confère toute sa patience obstinée et son élégance rugueuse.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Nathalie Simon
Le réalisateur de 72 ans peint le portrait d’un jeune homme. De son propre aveu Garrel imite François Truffaut, mais comme un débutant, en faisant des manières. Il se répète, tourne en rond. C’est joli à voir, mais on ne pleure pas.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Ce Garrel mineur patine et s’abîme dans des variations plus ou moins inspirées autour du double corps de la femme, de la velléité masculine et de l’articulation du talent dans la médiocrité du monde.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Murielle Joudet
Ça pourrait être Hollywood, cette évidence de la rencontre ramassée sur quelques secondes – la scène est tellement intense qu'elle brûle le regard. Mais non, ce n'est pas Hollywood, c'est la Garrelie : ce monde rempli de cafés, de rues et de chambres où les corps se tournent autour, comme des planètes, mus par la seule force du désir.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Jacques Morice
Un goût d’intemporel imprègne cette épure artisanale en clair-obscur, mélancolique et fluide dans sa simplicité, servie par de jeunes comédiens frais et fiévreux, tous formidables. On relève quelques maladresses et une tonalité d’ensemble peut-être moins vive, moins vibrante qu’à l’accoutumée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Le film de Garrel est fidèle à l’univers et au style poético-réaliste que le cinéaste déploie depuis un demi-siècle. Si l’effet de surprise est moindre, cet opus n’en reste pas moins attachant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Entre les dialogues qui sonnent comme dans un roman-photo, un acteur principal au charme fade et une partition faussement modeste de Jean-Louis Aubert, la finesse du cinéaste des « Baisers de secours » se caricature. Reste la belle relation, faite de complicité et de transmission, entre un père (André Wilms) et son fils. C’est loin d’être suffisant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Le charme cède sa place à l’indifférence, voire à l’étonnement quand des plans trahissent des relents misogynes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Marianne
Épuré et bouleversant.
Positif
[...] il faut dire les choses nettement : ce film est le chef-d’œuvre d’un petit maître ; ce sont parfois les plus grands artistes.
Transfuge
Tout en suivant la trajectoire amoureuse d’un jeune homme volage, Philippe Garrel raconte, dans "Le Sel des larmes", le bouleversant adieu d’un fils à son père.
Bande à part
La réalisation d’un film possède toujours une adresse. Dans "Le Sel des Larmes", il est question d’amour et de transmission. Il va de soi qu’il s’agit aussi d’une déclaration faite à Maurice Garrel. Ode au comédien, et à tous les artistes, qui exercent leur art avec l’humilité et le savoir-faire des artisans d’autrefois.
Cahiers du Cinéma
Tout laisse à penser que depuis qu’il est revenu à une économie plus réduite qui a fini par faire méthode (peu de personnages, tournages courts pour films courts), c’est-à-dire depuis La Jalousie, Philippe Garrel élague, retranche ou va tout simplement droit à l’essentiel – et de ce fait intemporel – de ce qui lie intimement les amants.
Elle
Ce film pudique où les regards en disent plus long que les discours, se révèle aussi d'une absolue douceur.
Le Monde
Garrel n’a pas son pareil pourfilmer l’essor du sentiment, ses montées frémissantes et ses descentes ombragées.
Paris Match
Une fable émouvante et modeste, ode au cinéma artisanal de papa et écrin magnifique pour trois jeunes actrices de demain.
Première
Philippe Garrel signe un film d’une puissance foudroyante sur un homme en quête de cœurs.
Critikat.com
Un film un peu frustrant, aussi déséquilibré que magnifique localement.
Franceinfo Culture
Garrel poursuit son exploration des vicissitudes des sentiments dans un film dépouillé, au noir et blanc charbonneux. Discret, celui-ci s'inscrit dans la continuité de son cinéma, sans décevoir, mais sans éblouir.
La Croix
Plus que sur les premières conquêtes de Luc, Le Sel des larmes s’articule autour de sa relation avec son vieux père, interprété par André Wilms. Le comédien lui confère toute sa patience obstinée et son élégance rugueuse.
Le Figaro
Le réalisateur de 72 ans peint le portrait d’un jeune homme. De son propre aveu Garrel imite François Truffaut, mais comme un débutant, en faisant des manières. Il se répète, tourne en rond. C’est joli à voir, mais on ne pleure pas.
Les Fiches du Cinéma
Ce Garrel mineur patine et s’abîme dans des variations plus ou moins inspirées autour du double corps de la femme, de la velléité masculine et de l’articulation du talent dans la médiocrité du monde.
Les Inrockuptibles
Ça pourrait être Hollywood, cette évidence de la rencontre ramassée sur quelques secondes – la scène est tellement intense qu'elle brûle le regard. Mais non, ce n'est pas Hollywood, c'est la Garrelie : ce monde rempli de cafés, de rues et de chambres où les corps se tournent autour, comme des planètes, mus par la seule force du désir.
Télérama
Un goût d’intemporel imprègne cette épure artisanale en clair-obscur, mélancolique et fluide dans sa simplicité, servie par de jeunes comédiens frais et fiévreux, tous formidables. On relève quelques maladresses et une tonalité d’ensemble peut-être moins vive, moins vibrante qu’à l’accoutumée.
aVoir-aLire.com
Le film de Garrel est fidèle à l’univers et au style poético-réaliste que le cinéaste déploie depuis un demi-siècle. Si l’effet de surprise est moindre, cet opus n’en reste pas moins attachant.
L'Obs
Entre les dialogues qui sonnent comme dans un roman-photo, un acteur principal au charme fade et une partition faussement modeste de Jean-Louis Aubert, la finesse du cinéaste des « Baisers de secours » se caricature. Reste la belle relation, faite de complicité et de transmission, entre un père (André Wilms) et son fils. C’est loin d’être suffisant.
Le Journal du Dimanche
Le charme cède sa place à l’indifférence, voire à l’étonnement quand des plans trahissent des relents misogynes.