Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot et Alexandre Lebrac
Véritable déclaration d’amour à la culture italienne, celle des anonymes, des humbles et des marginaux, ce merveilleux monstre incite à une perception poétique vomissant la norme, où les super pouvoirs définissent l’infinie supériorité de l’art sur le monde. En cela, le geste est aussi politique : exacerbant l’impureté esthétique, l’hybridité, Gabriele Mainetti s’intègre tout naturellement à sa galerie de freaks.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ouest France
par Thierry Chèze
Une fresque de plus de deux heures sans temps mort où poésie, action et aventures ne font merveilleusement qu’un.
Première
par La rédaction
Par quel alignement de planètes un metteur en scène italien de 45 ans a bien pu accoucher d’un spectacle pareil, ressuscitant une idée de cinéma que les Européens ne savent plus fabriquer et qu’Hollywood ne veut plus imaginer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Pendant que Guillermo del Toro s'éloigne temporairement du cinéma fantastique, Gabriele Mainetti se charge de perpétuer son héritage avec un film de super-héros populaire, humaniste et finalement très poétique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Cédric Coppola
Gabriele Mainetti frappe fort avec Freaks Out, film aux multiples références qui va autant piocher dans le cinéma d'Alex de la Iglesia pour le côté extravagant des personnages au look BD que dans celui de Guillermo Del Toro lorsqu'il s'agit de traiter la bestialité humaine, qui n'est pas toujours là où elle semble se dissimuler.
L'Obs
par François Forestier
Un film totalement hors mode, qui réussit à se moquer de la vogue des super-héros Marvel et à trouver un ton qui allie bouffonnerie et fantastique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Neuhoff
On en redemande. Ces 145 minutes ont l'air d'en durer trente. Les Américains ont du souci à avoir. Le spectacle n'est plus de leur côté.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une proposition ultra-référencée mais émancipée, qui ne ressemble à rien de ce qu’on voit actuellement sur les écrans. Et c’est tant mieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Michel Valentin
On donnerait cher pour voir un film Marvel réalisé par ce réalisateur courageux, fils spirituel du grand Guillermo Del Toro.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Gilles Esposito
Après l'étonnant "On l'appelle Jeeg Robot", Gabriele Mainetti continue d'explorer les soubassements de la geste super-héroïque, en projetant cette fois des phénomènes de foire dans une mini-saga mouvementée qui mixe mille influences pour combiner la magie et la trivialité râpeuse.
Rolling Stone
par La rédaction
Épique, poétique, cru et surréaliste à la fois, Freaks Out part (barre ?) dans tous le sens et ça lui va monstrueusement bien !
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Un récit foisonnant qui trouve son équilibre malgré quelques figures superfétatoires.
Télérama
par Frédéric Strauss
Entre film de guerre à la Inglorious Basterds et rêverie poétique, le réalisateur refuse de choisir. C’est un tort mais, même avec des hauts, des bas et des excès, le résultat reste très sympathique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un film kitsch, pas antipathique, mais visant à tout moment et dans tous les registres l’intensité maximale. Cette esthétique du choc permanent, à la longue usante, finit par nuire au mince réconfort moral que procure ce tonitruant spectacle.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Le film de G. Mainetti est un grand spectacle fragile et gonflé jusqu’à l’excès - ce qui en fait, malgré tout, la singularité, et peut charmer.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Mahaut Thébaut
Freaks Out avance à coup de références dans une esthétique numérique estampillée années 2000 – image lisse et effets spéciaux peu inspirés – qui fait plus ressembler cette épopée à la saga des Percy Jackson qu’à un véritable film sur la barbarie nazie.
Culturopoing.com
Véritable déclaration d’amour à la culture italienne, celle des anonymes, des humbles et des marginaux, ce merveilleux monstre incite à une perception poétique vomissant la norme, où les super pouvoirs définissent l’infinie supériorité de l’art sur le monde. En cela, le geste est aussi politique : exacerbant l’impureté esthétique, l’hybridité, Gabriele Mainetti s’intègre tout naturellement à sa galerie de freaks.
Ouest France
Une fresque de plus de deux heures sans temps mort où poésie, action et aventures ne font merveilleusement qu’un.
Première
Par quel alignement de planètes un metteur en scène italien de 45 ans a bien pu accoucher d’un spectacle pareil, ressuscitant une idée de cinéma que les Européens ne savent plus fabriquer et qu’Hollywood ne veut plus imaginer.
Ecran Large
Pendant que Guillermo del Toro s'éloigne temporairement du cinéma fantastique, Gabriele Mainetti se charge de perpétuer son héritage avec un film de super-héros populaire, humaniste et finalement très poétique.
L'Ecran Fantastique
Gabriele Mainetti frappe fort avec Freaks Out, film aux multiples références qui va autant piocher dans le cinéma d'Alex de la Iglesia pour le côté extravagant des personnages au look BD que dans celui de Guillermo Del Toro lorsqu'il s'agit de traiter la bestialité humaine, qui n'est pas toujours là où elle semble se dissimuler.
L'Obs
Un film totalement hors mode, qui réussit à se moquer de la vogue des super-héros Marvel et à trouver un ton qui allie bouffonnerie et fantastique.
Le Figaro
On en redemande. Ces 145 minutes ont l'air d'en durer trente. Les Américains ont du souci à avoir. Le spectacle n'est plus de leur côté.
Le Journal du Dimanche
Une proposition ultra-référencée mais émancipée, qui ne ressemble à rien de ce qu’on voit actuellement sur les écrans. Et c’est tant mieux.
Le Parisien
On donnerait cher pour voir un film Marvel réalisé par ce réalisateur courageux, fils spirituel du grand Guillermo Del Toro.
Mad Movies
Après l'étonnant "On l'appelle Jeeg Robot", Gabriele Mainetti continue d'explorer les soubassements de la geste super-héroïque, en projetant cette fois des phénomènes de foire dans une mini-saga mouvementée qui mixe mille influences pour combiner la magie et la trivialité râpeuse.
Rolling Stone
Épique, poétique, cru et surréaliste à la fois, Freaks Out part (barre ?) dans tous le sens et ça lui va monstrueusement bien !
CinemaTeaser
Un récit foisonnant qui trouve son équilibre malgré quelques figures superfétatoires.
Télérama
Entre film de guerre à la Inglorious Basterds et rêverie poétique, le réalisateur refuse de choisir. C’est un tort mais, même avec des hauts, des bas et des excès, le résultat reste très sympathique.
Le Monde
Un film kitsch, pas antipathique, mais visant à tout moment et dans tous les registres l’intensité maximale. Cette esthétique du choc permanent, à la longue usante, finit par nuire au mince réconfort moral que procure ce tonitruant spectacle.
Les Fiches du Cinéma
Le film de G. Mainetti est un grand spectacle fragile et gonflé jusqu’à l’excès - ce qui en fait, malgré tout, la singularité, et peut charmer.
Cahiers du Cinéma
Freaks Out avance à coup de références dans une esthétique numérique estampillée années 2000 – image lisse et effets spéciaux peu inspirés – qui fait plus ressembler cette épopée à la saga des Percy Jackson qu’à un véritable film sur la barbarie nazie.