Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
L'Humanité
par Louis Guichard
(...) Guédiguian se déchaîne, au sens littéral du terme. Il entend développer, tenir, nourrir une colère froide, jusqu'au bout, sans concession ni discours.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Aden
par Philippe Piazzo
C'est une tragédie. Qui nous frappe de plein fouet, car on le sent bien : elle n'est pas factice. Cela se passe, et cette tragédie est ordinaire.
Cahiers du Cinéma
par Olivier Joyard
Renonçant à la joie, La Ville est tranquille est d'abord un traité sur l'énergie. Sontons passer son grand souffle court.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Cinopsis.com
par Sylvie Jacquy
(...) ce film est l'un des rares qui a su s'approcher de la réalité sociale avec autant de justesse et de réalisme en dépassant l'affectif.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Drôle de truc (...), qui tire sa force de la multiplicité des points de vue dont il procède, qui parfois fait sourire, qui souvent prend aux tripes (...)
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
La vigueur et la sincérité des acteurs et le regard que porte sur eux le cinéaste empêchent La ville est tranquille de n´être qu´une démonstration politique, de toute façon passionnante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par n.c.
Robert Guédiguian (...) se reprend totalement avec ce sujet qui n'était pourtant pas du tout cuit. Le drame social dont il manie ici les ficelles tient non seulement la route jusqu'au bout, mais gagne au fur et à mesure en intensité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Annie Coppermann
L'ensemble coupe les jambes, et l'on sort groggy. Mais on n'oublie plus ce Marseille-là, qui ne crie pas trop fort, mais qui tue, sous le soleil...
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
En embrassant tout Marseille, le geste de Guédiguian prend de l'ampleur. Dommage que La Ville est tranquillle soit lesté de quelques pesanteurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gérard Lefort
(...) une fois qu'il a mis en liquidation le petit commerce des affects qui était le sien (...), Guédiguian campe sur place pour ouvrir un souk où vont se déchaîner des passions contradictoires et des sentiments en crise (...)
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Françoise Audé
(...) le cinéaste dépasse l'affectif et se renouvelle. Dans le cinéma franais récent, La Ville est tranquille a une envergure inédite.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Olivier De Bruyn
Revenus de tout, ses personnages de toujours, incarnés par ses comédiens de toujours, nous touchent plus d'une fois tant leurs petites histoires entrecroisées sentent la compromission, la faiblesse, le bipède humain dans sa réalité nue.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par François Gorin
Guédiguian peint le désespoir avec justesse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Jean-Sébastien Chauvin
La ville est tranquille est un grand film politique, au sens où il interroge la société dans son ensemble, comme ont pu le faire Tchekov ou Brecht par le biais du théâtre.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
MCinéma.com
par Olivier Salvano
(...) parfois flamboyant, parfois poussif. Flamboyant car l'interprétation des acteurs est remarquable (...). Mais il est surtout poussif car tous les éléments sont ici réunis pour que le film frôle (involontairement ?) le misérabilisme (...)
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
par Franck Beauvais
La ville est tranquille se veut un titre ironique -on l'aura compris-, le film qui l'illustre n'a pourtant ni recul ni humour et n'est porté que par la grossièreté de son discours et l'approximation idéologique qui le sous-tend.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Figaro Magazine
par Laurence Haloche
Et Robert Guédiguian de s'obstiner à nous en donner des trémolos indigestes à coeur joie. Il dénonce, souligne, surligne ses intentions, il affiche ses colères à la manière d'un catalogue.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Repérages
par C.C
(...) une pôvre maman qui se saigne aux quatre veines (...), des militants FN tirant les immigrés comme des lapins. Amen… Seul Gérard Meylan en cow-boy solitaire et taciturne, apporte un poil de nuance.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
L'Humanité
(...) Guédiguian se déchaîne, au sens littéral du terme. Il entend développer, tenir, nourrir une colère froide, jusqu'au bout, sans concession ni discours.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Aden
C'est une tragédie. Qui nous frappe de plein fouet, car on le sent bien : elle n'est pas factice. Cela se passe, et cette tragédie est ordinaire.
Cahiers du Cinéma
Renonçant à la joie, La Ville est tranquille est d'abord un traité sur l'énergie. Sontons passer son grand souffle court.
Cinopsis.com
(...) ce film est l'un des rares qui a su s'approcher de la réalité sociale avec autant de justesse et de réalisme en dépassant l'affectif.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Drôle de truc (...), qui tire sa force de la multiplicité des points de vue dont il procède, qui parfois fait sourire, qui souvent prend aux tripes (...)
Le Monde
La vigueur et la sincérité des acteurs et le regard que porte sur eux le cinéaste empêchent La ville est tranquille de n´être qu´une démonstration politique, de toute façon passionnante.
Le Parisien
Robert Guédiguian (...) se reprend totalement avec ce sujet qui n'était pourtant pas du tout cuit. Le drame social dont il manie ici les ficelles tient non seulement la route jusqu'au bout, mais gagne au fur et à mesure en intensité.
Les Echos
L'ensemble coupe les jambes, et l'on sort groggy. Mais on n'oublie plus ce Marseille-là, qui ne crie pas trop fort, mais qui tue, sous le soleil...
Les Inrockuptibles
En embrassant tout Marseille, le geste de Guédiguian prend de l'ampleur. Dommage que La Ville est tranquillle soit lesté de quelques pesanteurs.
Libération
(...) une fois qu'il a mis en liquidation le petit commerce des affects qui était le sien (...), Guédiguian campe sur place pour ouvrir un souk où vont se déchaîner des passions contradictoires et des sentiments en crise (...)
Positif
(...) le cinéaste dépasse l'affectif et se renouvelle. Dans le cinéma franais récent, La Ville est tranquille a une envergure inédite.
Première
Revenus de tout, ses personnages de toujours, incarnés par ses comédiens de toujours, nous touchent plus d'une fois tant leurs petites histoires entrecroisées sentent la compromission, la faiblesse, le bipède humain dans sa réalité nue.
Télérama
Guédiguian peint le désespoir avec justesse.
Urbuz
La ville est tranquille est un grand film politique, au sens où il interroge la société dans son ensemble, comme ont pu le faire Tchekov ou Brecht par le biais du théâtre.
MCinéma.com
(...) parfois flamboyant, parfois poussif. Flamboyant car l'interprétation des acteurs est remarquable (...). Mais il est surtout poussif car tous les éléments sont ici réunis pour que le film frôle (involontairement ?) le misérabilisme (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
La ville est tranquille se veut un titre ironique -on l'aura compris-, le film qui l'illustre n'a pourtant ni recul ni humour et n'est porté que par la grossièreté de son discours et l'approximation idéologique qui le sous-tend.
Le Figaro Magazine
Et Robert Guédiguian de s'obstiner à nous en donner des trémolos indigestes à coeur joie. Il dénonce, souligne, surligne ses intentions, il affiche ses colères à la manière d'un catalogue.
Repérages
(...) une pôvre maman qui se saigne aux quatre veines (...), des militants FN tirant les immigrés comme des lapins. Amen… Seul Gérard Meylan en cow-boy solitaire et taciturne, apporte un poil de nuance.