Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
L'Humanité
par Dominique Widemann
Un film-poème d’une grande beauté dresse ses tableaux vivants contre une société en cruel délitement avec un duo d’acteurs à la hauteur du propos.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Bande à part
par Isabelle Danel
Ils partent à la ville et découvrent la vilenie du monde. Cette fable sur la pureté distille des plans d’une beauté renversante.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Le film prend consistance dans l’éclat du jour, (…), résolvant l’équation entre primitivisme et impressionnisme par un romantisme aussi noir qu’il est écrasé de lumière – une échappée poétique qui en dit plus long que toutes les analyses politiques.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Pessimiste, le film n’en demeure pas moins baigné d’une lumière solaire qu’illumine la très belle Dinara Baktybayeva, comme pour nuancer une noirceur profonde.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Un film qui instille une paix née de la beauté des images. Retenez le nom d'Adilkhan Yerzhanov. On reparlera de lui.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Le jeune cinéaste kazakh Adilkhan Yerzhanov, 36 ans, signe une fable tendre et absurde d’une grande beauté formelle sur la pureté de l’amour face à la corruption du monde.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Noir mais très beau.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
On sort bouleversé d’un récit romanesque, poétique, tragique mais non dénué de fantaisie, où les deux héros répondent par leur candeur et leur complicité à une société brutale et corrompue.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Adilkhan Yerzhanov suit la route tragique d’un tandem burlesque et délicat.
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Un film de grande beauté. Comme chez Mizoguchi, la beauté formelle sert à montrer la beauté et la cruauté de ce qui est filmé. La composition des plans et le jeu des acteurs magnifient la confrontation entre un mafieux et une jeune femme chargée de sauver les siens.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Le réalisateur kazakh Adilkhan Yerzhanov signe un film magnifique sur le plan pictural, une tragédie kazakh qui met en lumière la corruption qui gangrène notre monde.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Eithne O'Neill
En sus d'une luminosité visuelle, une leçon joyeuse et universelle.
Transfuge
par Nathalie Dassa
Une histoire d’amour sur fond de crime où Yerzhanov juxtapose gravité et ironie, tout en offrant une dimension poétique et des images superbes.
Télérama
par Guillemette Odicino
Violence brute et burlesque, proche du cinéma du Japonais Kitano, et plans d’une grande beauté graphique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Derrière les dehors dépouillés et austères du Kazakhstan, le film d’Adilkhan Yerzhanov est un hommage universel et intemporel à la création artistique et à la culture française.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Corentin Lê
Un film chiadé qui parvient à éviter l’écueil de la pose.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Septième Obsession
par Jérôme d’Estais
Des personnages de contes, pour lesquels le film se montre empli de foi et d’empathie. Les héros d’une fable naïve et colorée, comme ces peintures du Douanier Rousseau qui ponctuent le film, sous-titres d’une histoire originelle commencée et terminée au jardin d’Éden, celui des personnages mais aussi du cinéma, les inserts rappelant les cartons du muet ou l’usage godardien de la peinture, à une certaine période.
Ouest France
par La Rédaction
Une odyssée originale.
Première
par Michaël Patin
Impossible de rester indifférent à ce film d’un autre monde. La tendresse l’emporte.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
Un film-poème d’une grande beauté dresse ses tableaux vivants contre une société en cruel délitement avec un duo d’acteurs à la hauteur du propos.
Bande à part
Ils partent à la ville et découvrent la vilenie du monde. Cette fable sur la pureté distille des plans d’une beauté renversante.
Cahiers du Cinéma
Le film prend consistance dans l’éclat du jour, (…), résolvant l’équation entre primitivisme et impressionnisme par un romantisme aussi noir qu’il est écrasé de lumière – une échappée poétique qui en dit plus long que toutes les analyses politiques.
Franceinfo Culture
Pessimiste, le film n’en demeure pas moins baigné d’une lumière solaire qu’illumine la très belle Dinara Baktybayeva, comme pour nuancer une noirceur profonde.
L'Obs
Un film qui instille une paix née de la beauté des images. Retenez le nom d'Adilkhan Yerzhanov. On reparlera de lui.
La Croix
Le jeune cinéaste kazakh Adilkhan Yerzhanov, 36 ans, signe une fable tendre et absurde d’une grande beauté formelle sur la pureté de l’amour face à la corruption du monde.
Le Figaro
Noir mais très beau.
Le Journal du Dimanche
On sort bouleversé d’un récit romanesque, poétique, tragique mais non dénué de fantaisie, où les deux héros répondent par leur candeur et leur complicité à une société brutale et corrompue.
Le Monde
Adilkhan Yerzhanov suit la route tragique d’un tandem burlesque et délicat.
Les Fiches du Cinéma
Un film de grande beauté. Comme chez Mizoguchi, la beauté formelle sert à montrer la beauté et la cruauté de ce qui est filmé. La composition des plans et le jeu des acteurs magnifient la confrontation entre un mafieux et une jeune femme chargée de sauver les siens.
Paris Match
Le réalisateur kazakh Adilkhan Yerzhanov signe un film magnifique sur le plan pictural, une tragédie kazakh qui met en lumière la corruption qui gangrène notre monde.
Positif
En sus d'une luminosité visuelle, une leçon joyeuse et universelle.
Transfuge
Une histoire d’amour sur fond de crime où Yerzhanov juxtapose gravité et ironie, tout en offrant une dimension poétique et des images superbes.
Télérama
Violence brute et burlesque, proche du cinéma du Japonais Kitano, et plans d’une grande beauté graphique.
aVoir-aLire.com
Derrière les dehors dépouillés et austères du Kazakhstan, le film d’Adilkhan Yerzhanov est un hommage universel et intemporel à la création artistique et à la culture française.
Critikat.com
Un film chiadé qui parvient à éviter l’écueil de la pose.
La Septième Obsession
Des personnages de contes, pour lesquels le film se montre empli de foi et d’empathie. Les héros d’une fable naïve et colorée, comme ces peintures du Douanier Rousseau qui ponctuent le film, sous-titres d’une histoire originelle commencée et terminée au jardin d’Éden, celui des personnages mais aussi du cinéma, les inserts rappelant les cartons du muet ou l’usage godardien de la peinture, à une certaine période.
Ouest France
Une odyssée originale.
Première
Impossible de rester indifférent à ce film d’un autre monde. La tendresse l’emporte.