Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
L'Express
par Antoine Le Fur
Mais au-delà du film militant et à message, "Rafiki" affiche une formidable énergie pop que portent les deux comédiennes Samantha Mugatsia et Sheila Munyiva. C'est une belle histoire d'amour émouvante, engagée et féministe [...].
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Dans une Afrique urbaine, loin des stéréotypes occidentaux, Wanuri Kahiu, 38 ans, filme avec talent et tact l'éternelle histoire des amours interdites.
Le Figaro
par La rédaction
L'histoire d'amour de ces deux jeunes filles indépendantes, belle et pleine d'espoir, fera sans doute bouger les lignes. La réalisatrice a opté pour une mise en scène aux couleurs électriques et aux rythmes pop.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Sous ses airs de bonbon acidulé, "Rafiki" porte en lui l’espoir d’un jeune cinéma africain décomplexé et engagé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
[...] un premier film pop plein d'optimisme sur un amour lesbien, défiant la censure et les clichés sur l'Afrique.
Positif
par Olivier De Bruyn
Même si la mise en scène de "Rafiki" manque parfois d'invention, la force du sujet, le courage de la réalisatrice et l'originalité de ce film qui refuse la sensiblerie justifient les éloges.
Télérama
par Cécile Mury
Chaque plan déborde de couleurs acidulées, chaque mouvement est un hommage aux élans de la jeunesse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Olivier Bombarda
L’amour entre deux filles pour un film kenyan, doux et amer, interdit de salle dans son pays : il y a autant d’aspects inédits que de joies à découvrir "Rafiki" de Wanuri Kahiu.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Thomas Roland
Sous le thème de l’amour secret, traité avec beaucoup de pudeur, se dessine une œuvre sur les rapports de classe, la difficulté de sortir du rôle assigné par la société et l’inégalité des chances.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Ce film très coloré, maladroit par moments, qui oscille entre l’énergie de sa mise en scène et le sirupeux de la romance, s’impose par sa vivacité, sa sincérité, ses personnages bien ancrés dans la réalité de Nairobi.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un plaidoyer contre l’intolérance qui demeure farouchement optimiste et bienveillant.
Le Monde
par Thomas Sotinel
La réalisatrice ne parvient pas tout à fait à infléchir la tonalité de son film, les actrices – toutes deux débutantes – à donner corps à la souffrance de leurs personnages. C’est dans un épilogue empreint de tristesse et d’un espoir très mesuré que [...] "Rafiki" prend alors une profondeur qui émeut.
Le Parisien
par Catherine Balle et Pierre Vavasseur
Un drame fort et émouvant, baigné de couleurs flashy.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Louis Roux
Ode à l’amour d’une douceur ineffable, le film de la Kenyane Wanuri Kahiu, objet pop et sensible interdit de diffusion dans son pays, répond fort à propos à l’aggravation du climat anti- LGBTI en Afrique de l’Est, mais pèche par son récit sans aspérités.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
Le film peut sembler maladroit dans la mise en place presque enfantine du jeu de séduction entre Kena et Ziki, mais il se fait nettement plus précis et cruel quand il décrit la reprise en main du couple par tous ceux qui ne supportent pas qu’elles soient ensembles.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Josué Morel
Une bouche entrouverte, un œil qui brille un peu trop, un sourire qui se dessine : le trouble du désir doit davantage aux deux interprètes qu’aux différentes stratégies mises en place par la réalisatrice, entre montage désynchronisé et saillies musicales.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Retenons donc le charme bariolé des scènes de séduction entre les deux filles et l'audace de la jeune réalisatrice, qui fustige l'homophobie patriarcale de la société kenyane.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Premier film kényan sélectionné à Cannes (Un Certain Regard), Rafiki est aussi un prototype de ce « world cinema » où la singularité locale des sujets est anéantie par les poncifs internationaux de la forme.
Première
par Michael Patin
Il fallait que ce film existe. Mais pas dans la forme que Wanuri Kahiu lui a donnée. Parce que ses personnages semblent avoir été habillés pour un défilé de mode afropolitaine. Parce que la photo-saccarose, le montage-sitcom, les gimmicks Sundance. Parce qu’elle aligne les clichés du roman à l’eau de rose et les raccourcis sociologiques [...]. Parce que de bonnes intentions n’ont jamais fait un bon film.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
Mais au-delà du film militant et à message, "Rafiki" affiche une formidable énergie pop que portent les deux comédiennes Samantha Mugatsia et Sheila Munyiva. C'est une belle histoire d'amour émouvante, engagée et féministe [...].
Ouest France
Dans une Afrique urbaine, loin des stéréotypes occidentaux, Wanuri Kahiu, 38 ans, filme avec talent et tact l'éternelle histoire des amours interdites.
Le Figaro
L'histoire d'amour de ces deux jeunes filles indépendantes, belle et pleine d'espoir, fera sans doute bouger les lignes. La réalisatrice a opté pour une mise en scène aux couleurs électriques et aux rythmes pop.
Les Inrockuptibles
Sous ses airs de bonbon acidulé, "Rafiki" porte en lui l’espoir d’un jeune cinéma africain décomplexé et engagé.
Marie Claire
[...] un premier film pop plein d'optimisme sur un amour lesbien, défiant la censure et les clichés sur l'Afrique.
Positif
Même si la mise en scène de "Rafiki" manque parfois d'invention, la force du sujet, le courage de la réalisatrice et l'originalité de ce film qui refuse la sensiblerie justifient les éloges.
Télérama
Chaque plan déborde de couleurs acidulées, chaque mouvement est un hommage aux élans de la jeunesse.
Bande à part
L’amour entre deux filles pour un film kenyan, doux et amer, interdit de salle dans son pays : il y a autant d’aspects inédits que de joies à découvrir "Rafiki" de Wanuri Kahiu.
Culturopoing.com
Sous le thème de l’amour secret, traité avec beaucoup de pudeur, se dessine une œuvre sur les rapports de classe, la difficulté de sortir du rôle assigné par la société et l’inégalité des chances.
La Croix
Ce film très coloré, maladroit par moments, qui oscille entre l’énergie de sa mise en scène et le sirupeux de la romance, s’impose par sa vivacité, sa sincérité, ses personnages bien ancrés dans la réalité de Nairobi.
Le Journal du Dimanche
Un plaidoyer contre l’intolérance qui demeure farouchement optimiste et bienveillant.
Le Monde
La réalisatrice ne parvient pas tout à fait à infléchir la tonalité de son film, les actrices – toutes deux débutantes – à donner corps à la souffrance de leurs personnages. C’est dans un épilogue empreint de tristesse et d’un espoir très mesuré que [...] "Rafiki" prend alors une profondeur qui émeut.
Le Parisien
Un drame fort et émouvant, baigné de couleurs flashy.
Les Fiches du Cinéma
Ode à l’amour d’une douceur ineffable, le film de la Kenyane Wanuri Kahiu, objet pop et sensible interdit de diffusion dans son pays, répond fort à propos à l’aggravation du climat anti- LGBTI en Afrique de l’Est, mais pèche par son récit sans aspérités.
Libération
Le film peut sembler maladroit dans la mise en place presque enfantine du jeu de séduction entre Kena et Ziki, mais il se fait nettement plus précis et cruel quand il décrit la reprise en main du couple par tous ceux qui ne supportent pas qu’elles soient ensembles.
Critikat.com
Une bouche entrouverte, un œil qui brille un peu trop, un sourire qui se dessine : le trouble du désir doit davantage aux deux interprètes qu’aux différentes stratégies mises en place par la réalisatrice, entre montage désynchronisé et saillies musicales.
L'Obs
Retenons donc le charme bariolé des scènes de séduction entre les deux filles et l'audace de la jeune réalisatrice, qui fustige l'homophobie patriarcale de la société kenyane.
Cahiers du Cinéma
Premier film kényan sélectionné à Cannes (Un Certain Regard), Rafiki est aussi un prototype de ce « world cinema » où la singularité locale des sujets est anéantie par les poncifs internationaux de la forme.
Première
Il fallait que ce film existe. Mais pas dans la forme que Wanuri Kahiu lui a donnée. Parce que ses personnages semblent avoir été habillés pour un défilé de mode afropolitaine. Parce que la photo-saccarose, le montage-sitcom, les gimmicks Sundance. Parce qu’elle aligne les clichés du roman à l’eau de rose et les raccourcis sociologiques [...]. Parce que de bonnes intentions n’ont jamais fait un bon film.