Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
L'Humanité
par Dominique Widemann
Un premier long métrage formidable venu d’Afrique du Sud. La fiction explore par l’histoire de deux adolescents celle d’une communauté blanche patriarcale.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Une authentique révélation et, pour nous, un vrai coup de cœur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
La relation trouble entre un fils de fermiers et un orphelin qui se cherchent une identité et un avenir dans une communauté afrikaner pétrie de religion. Un premier film incandescent.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Bernard Génin
On sent un danger qui plane (les massacres de fermiers sont courants dans cette communauté repliée sur elle-même) et une ambiance à la fois onirique et cathartique, maintenue de bout en bout.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Etienne Kallos, le réalisateur dont "Les moissonneurs" est le premier long-métrage, filme cette histoire comme une épopée biblique. Avec une palette de peintre, un sens du sacré et le goût du mystère.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
A travers la rivalité électrique entre un adolescent et son frère adopté, la radiographie brûlante d’une communauté isolée de fermiers afrikaners.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Blois
Un premier film visuellement très soigné.
L'Express
par Christophe Carrière
Le rythme de son film s'en ressent, qui hésite dans les directions à prendre. Mais c'est aussi là tout l'intérêt de ce premier long-métrage au-dessus de la moyenne.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si l’image abuse de contre-jours, elle contribue à créer une atmosphère singulière en nimbant d’une lumière dorée les travaux des champs et les troupeaux de vaches dans des paysages sauvages, les groupes de prière et les repas partagés dans la maisonnée où tout semble immuable.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Un premier film intéressant mais un peu trop démonstratif.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
L’identité, sous ses diverses formes, et l’héritage sont au centre de ce film à la fois âpre, esthétiquement réussi et un peu étrange, auquel les comédiens apportent toute leur vérité.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Une famille bigote, un environnement hostile, un ado adopté qui s’immisce dans la vie du fils de la famille : "Les Moissonneurs" adopte le même point de vue doloriste et mollement emphatique de la tragédie en sourdine. Parfois beau, mais surtout inodore.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Poésie visuelle, ambiance lourde, sentiments troubles, quête de domination, Etienne Kallos survole parfois son intrigue, mais son cinéma intelligent dessine en creux la chronique de la fin d’une caste sud-africaine, celle des Blancs afrikaners.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Sous influence « malickienne », la lumière de Michal Englert participe à ce trouble par sa manière d’éclairer ces peaux diaphanes comme les champs de maïs, épicentre de cet affrontement. Et malgré une entame longuette, le film frappe par sa maîtrise rarement prise en défaut.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
par Didier Péron
Un pensum dévitalisé sur des gens qui n’inspirent aucune sympathie ni intêret faute d’avoir su faire partager leur terreur obsidionale d’être dépossédés de tout ce qu’ils ont spolié.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Quentin Papapietro
Baignant dans une lumière orangée, parcouru de nappes de sons entendues mille fois, ce pur produit de la (ré)écriture festivalière et de la coproduction internationale semble multiplier les pistes narratives sans jamais en privilégier une seule, pour accoucher d’un scénario doloriste et convenu.
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Les images d’Etienne Kallos ne laissent guère passer l’émotion.
L'Humanité
Un premier long métrage formidable venu d’Afrique du Sud. La fiction explore par l’histoire de deux adolescents celle d’une communauté blanche patriarcale.
L'Obs
Une authentique révélation et, pour nous, un vrai coup de cœur.
Les Inrockuptibles
La relation trouble entre un fils de fermiers et un orphelin qui se cherchent une identité et un avenir dans une communauté afrikaner pétrie de religion. Un premier film incandescent.
Positif
On sent un danger qui plane (les massacres de fermiers sont courants dans cette communauté repliée sur elle-même) et une ambiance à la fois onirique et cathartique, maintenue de bout en bout.
Sud Ouest
Etienne Kallos, le réalisateur dont "Les moissonneurs" est le premier long-métrage, filme cette histoire comme une épopée biblique. Avec une palette de peintre, un sens du sacré et le goût du mystère.
Télérama
A travers la rivalité électrique entre un adolescent et son frère adopté, la radiographie brûlante d’une communauté isolée de fermiers afrikaners.
Voici
Un premier film visuellement très soigné.
L'Express
Le rythme de son film s'en ressent, qui hésite dans les directions à prendre. Mais c'est aussi là tout l'intérêt de ce premier long-métrage au-dessus de la moyenne.
La Croix
Si l’image abuse de contre-jours, elle contribue à créer une atmosphère singulière en nimbant d’une lumière dorée les travaux des champs et les troupeaux de vaches dans des paysages sauvages, les groupes de prière et les repas partagés dans la maisonnée où tout semble immuable.
Le Figaro
Un premier film intéressant mais un peu trop démonstratif.
Le Journal du Dimanche
L’identité, sous ses diverses formes, et l’héritage sont au centre de ce film à la fois âpre, esthétiquement réussi et un peu étrange, auquel les comédiens apportent toute leur vérité.
Les Fiches du Cinéma
Une famille bigote, un environnement hostile, un ado adopté qui s’immisce dans la vie du fils de la famille : "Les Moissonneurs" adopte le même point de vue doloriste et mollement emphatique de la tragédie en sourdine. Parfois beau, mais surtout inodore.
Paris Match
Poésie visuelle, ambiance lourde, sentiments troubles, quête de domination, Etienne Kallos survole parfois son intrigue, mais son cinéma intelligent dessine en creux la chronique de la fin d’une caste sud-africaine, celle des Blancs afrikaners.
Première
Sous influence « malickienne », la lumière de Michal Englert participe à ce trouble par sa manière d’éclairer ces peaux diaphanes comme les champs de maïs, épicentre de cet affrontement. Et malgré une entame longuette, le film frappe par sa maîtrise rarement prise en défaut.
Libération
Un pensum dévitalisé sur des gens qui n’inspirent aucune sympathie ni intêret faute d’avoir su faire partager leur terreur obsidionale d’être dépossédés de tout ce qu’ils ont spolié.
Cahiers du Cinéma
Baignant dans une lumière orangée, parcouru de nappes de sons entendues mille fois, ce pur produit de la (ré)écriture festivalière et de la coproduction internationale semble multiplier les pistes narratives sans jamais en privilégier une seule, pour accoucher d’un scénario doloriste et convenu.
Le Monde
Les images d’Etienne Kallos ne laissent guère passer l’émotion.