Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
BIBA
par Lili Yubari
Ce film japonais à la fois proustien et rohmerien raconte avec une délicatesse infinie comment on vit avec le fantôme d'un premeir amour dont on ne s'est jamais remis en essayant de lui trouver des remplaçants, alors que l'amour, le vrai, le durable, est là, bien réel, à portée de main.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un film d'une richesse et d'une sensibilité rares.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Avec son infinie attention accordée à chaque geste, chaque regard et chaque parole, "Asako I&II" cerne au plus près les variations amoureuses de son personnage. Hyperréaliste et sentimental, le film étanche sa soif d’idéal en sublimant le trivial.
Libération
par Olivier Lamm
"Asako" est un très grand, très juste film sur ce que c’est que d’être aimé, et d’aimer en retour - une déconstruction de tous les instants.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Élise Domenach
Hamaguchi puise dans l’irréel les ressorts de la croyance en la réalité ; c’est précisément parce que cette rencontre est merveilleuse qu’Asako y croit, et nous avec, par-delà la bluette.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un grand film sur l’obsession amoureuse.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Frédéric Mercier
Hamaguchi s'intéresse aux infimes oscillations de l'âme d'Asako qui comprend que tout amour est un succédané plus ou moins fidèle de sa première passion, de son premier émoi, lequel influe sur notre existence toute entière.
Voici
par Lola Sciamma
Un conte japonais fantastique aux accents rohmériens, incroyablement romantique et poétique sur l'obsession immature du premier amour.
20 Minutes
par Caroline Vié
On pense à Eric Rohmer et à John Cassavetes devant cette histoire sensible.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
L’étrange pouvoir de séduction d’Asako I & II provient aussi de sa manière posée, presque sereine de traiter de la passion
Critikat.com
par Josué Morel
La dynamique de la ligne se voit dès lors rejouée dans une perspective inverse : ce qui segmente l’espace que l’on partage à deux ne renvoie plus à l’horizon de la finitude mais à celui du passé, qui double en creux la nouvelle rencontre du souvenir du premier émoi amoureux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un film intime et délié sur l'amour et la passion.
L'Express
par Eric Libiot
[...] cette peinture des sentiments, comme une aquarelle peinte au couteau, est séduisante.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un fascinant casse-tête sentimental. On en redemande.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Bouleversante et sobre, délicate sans jamais être éthérée, cette histoire d'amour en deux actes sur la cristallisation du désir, l'objet de la fascination amoureuse et le droit à une seconde chance est une merveille de subtilité d'écriture et de mise en scène. Confirmation que cet auteur est une des valeurs sûres du cinéma japonais.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Admirateur de Cassavetes et Rohmer, le cinéaste jusque-là inconnu en France, explore avec délicatesse les sentiments amoureux dans un film où le réalisme flirte avec le fantastique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Loin des emportements lyriques et des feux romantiques, l’amour tel qu’il est ici présenté trouve sa force dans le silence.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Ryüsuke Hamaguchi signe un portrait de femme prise dans les réminiscences d'un premier amour. Un sommet de délicatesse et de pureté.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Une partition toute en finesse et d’une rare justesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marie Claire
par Emily Barnett
Méditation sur le désir masculin, le couple et la fidélité, ce film délicat s'inscrit dans la tradition des critiques sociales discrètes à l'oeuvre dans le cinéma d'Ozu.
Paris Match
par Yannick Vely
[...] Asako est une jeune femme déterminée et c'est cette émancipation sociale que met en scène Ryūsuke Hamaguchi, avec un rare sens du cadre et une maîtrise des ellipses qui étaient déjà à l'oeuvre dans "Senses".
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Louis Guichard
Un film japonais prenant et sans cesse surprenant qui évoque Vertigo, de Hitchcock.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par La Rédaction
Une œuvre de maturité, belle et essentielle, qui confirme l’immense talent de Ryūsuke Hamaguchi.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Septième Obsession
par Pamela Pianezza
Aussi brillant qu’inventif.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le réalisateur japonais, qui a signé dans le passé des documentaires sur la catastrophe de Fukushima en 2011, rend encore hommage aux victimes dans ce drame romantique qui manque un peu d’émotion.
Les Fiches du Cinéma
par La rédaction
Poursuivant son étude des mœurs après "Senses", Hamaguchi emporte une jeune femme et ses deux amants à la ressemblance troublante dans les vertiges de l’amour. Bien que riche de subtils reliefs, son œuvre offre une réflexion à l’ampleur quelque peu vaine.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thomas Baurez
La mise en scène aussi gracile que précise donne à ce drame amoureux des allures de rêve éveillé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Produit par la chaîne de télévision HBO, "Asako" ne brille pas non plus par sa mise en images, aux plans moyens dominants, comme pour s'ajuster au format télévisuel. Ajouté à son manque d’ambiguïté, alors que le sujet s’y prêtait, "Asako" reste à la surface des choses.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
BIBA
Ce film japonais à la fois proustien et rohmerien raconte avec une délicatesse infinie comment on vit avec le fantôme d'un premeir amour dont on ne s'est jamais remis en essayant de lui trouver des remplaçants, alors que l'amour, le vrai, le durable, est là, bien réel, à portée de main.
Le Monde
Un film d'une richesse et d'une sensibilité rares.
Les Inrockuptibles
Avec son infinie attention accordée à chaque geste, chaque regard et chaque parole, "Asako I&II" cerne au plus près les variations amoureuses de son personnage. Hyperréaliste et sentimental, le film étanche sa soif d’idéal en sublimant le trivial.
Libération
"Asako" est un très grand, très juste film sur ce que c’est que d’être aimé, et d’aimer en retour - une déconstruction de tous les instants.
Positif
Hamaguchi puise dans l’irréel les ressorts de la croyance en la réalité ; c’est précisément parce que cette rencontre est merveilleuse qu’Asako y croit, et nous avec, par-delà la bluette.
Sud Ouest
Un grand film sur l’obsession amoureuse.
Transfuge
Hamaguchi s'intéresse aux infimes oscillations de l'âme d'Asako qui comprend que tout amour est un succédané plus ou moins fidèle de sa première passion, de son premier émoi, lequel influe sur notre existence toute entière.
Voici
Un conte japonais fantastique aux accents rohmériens, incroyablement romantique et poétique sur l'obsession immature du premier amour.
20 Minutes
On pense à Eric Rohmer et à John Cassavetes devant cette histoire sensible.
Cahiers du Cinéma
L’étrange pouvoir de séduction d’Asako I & II provient aussi de sa manière posée, presque sereine de traiter de la passion
Critikat.com
La dynamique de la ligne se voit dès lors rejouée dans une perspective inverse : ce qui segmente l’espace que l’on partage à deux ne renvoie plus à l’horizon de la finitude mais à celui du passé, qui double en creux la nouvelle rencontre du souvenir du premier émoi amoureux.
Femme Actuelle
Un film intime et délié sur l'amour et la passion.
L'Express
[...] cette peinture des sentiments, comme une aquarelle peinte au couteau, est séduisante.
L'Humanité
Un fascinant casse-tête sentimental. On en redemande.
L'Obs
Bouleversante et sobre, délicate sans jamais être éthérée, cette histoire d'amour en deux actes sur la cristallisation du désir, l'objet de la fascination amoureuse et le droit à une seconde chance est une merveille de subtilité d'écriture et de mise en scène. Confirmation que cet auteur est une des valeurs sûres du cinéma japonais.
La Croix
Admirateur de Cassavetes et Rohmer, le cinéaste jusque-là inconnu en France, explore avec délicatesse les sentiments amoureux dans un film où le réalisme flirte avec le fantastique.
Le Dauphiné Libéré
Loin des emportements lyriques et des feux romantiques, l’amour tel qu’il est ici présenté trouve sa force dans le silence.
Le Figaro
Ryüsuke Hamaguchi signe un portrait de femme prise dans les réminiscences d'un premier amour. Un sommet de délicatesse et de pureté.
Le Parisien
Une partition toute en finesse et d’une rare justesse.
Marie Claire
Méditation sur le désir masculin, le couple et la fidélité, ce film délicat s'inscrit dans la tradition des critiques sociales discrètes à l'oeuvre dans le cinéma d'Ozu.
Paris Match
[...] Asako est une jeune femme déterminée et c'est cette émancipation sociale que met en scène Ryūsuke Hamaguchi, avec un rare sens du cadre et une maîtrise des ellipses qui étaient déjà à l'oeuvre dans "Senses".
Télérama
Un film japonais prenant et sans cesse surprenant qui évoque Vertigo, de Hitchcock.
aVoir-aLire.com
Une œuvre de maturité, belle et essentielle, qui confirme l’immense talent de Ryūsuke Hamaguchi.
La Septième Obsession
Aussi brillant qu’inventif.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur japonais, qui a signé dans le passé des documentaires sur la catastrophe de Fukushima en 2011, rend encore hommage aux victimes dans ce drame romantique qui manque un peu d’émotion.
Les Fiches du Cinéma
Poursuivant son étude des mœurs après "Senses", Hamaguchi emporte une jeune femme et ses deux amants à la ressemblance troublante dans les vertiges de l’amour. Bien que riche de subtils reliefs, son œuvre offre une réflexion à l’ampleur quelque peu vaine.
Première
La mise en scène aussi gracile que précise donne à ce drame amoureux des allures de rêve éveillé.
Franceinfo Culture
Produit par la chaîne de télévision HBO, "Asako" ne brille pas non plus par sa mise en images, aux plans moyens dominants, comme pour s'ajuster au format télévisuel. Ajouté à son manque d’ambiguïté, alors que le sujet s’y prêtait, "Asako" reste à la surface des choses.