Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Le Point
par Olivier Ubertalli
Un hommage aux polars américains des années 1970. Captivant.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par Christophe Narbonne
A l'aide d'une mise en scène très "atmosphérique", Benjamín Naishtat diffuse un malaise persistant de la première à la dernière image.
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Un polar sardonique et implacable.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Malgré quelques errements scénaristiques, cet étrange thriller distille un climat de paranoïa parfaitement au diapason de son message politique.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le constat est terrible : on en ressort avec un durable sentiment de malaise.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Benjamin Naishtat orchestre brillamment un face-à-face entre un avocat ripou et un détective déterminé.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
L’Argentin Benjamín Naishtat relate les années de la junte dans un thriller burlesque ponctué de scènes superbes, qui suit un avocat tortueux impliqué dans un crime.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Nicolas Geneix
Pourquoi, maintenant, cette si méticuleuse reconstitution produisant un thriller seventies lent et inquiet des menaces passées et avérées ? Pour ceux qu'on a rendus absents, et pour donner un film manquant, contre les dénis du jour et l'impunité des lendemains.
Première
par Christophe Narbonne
Après Historia del miedo, Naishtat confirme un formidable tempérament de conteur et de moraliste qui laisse le soin aux spectateurs d’apprécier les dérèglements subtils opérés dans ses récits mystérieux.
La critique complète est disponible sur le site Première
CinemaTeaser
par Rose Piccini
Sans surprise, d'accord, mais assez bien troussé.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Cette mise en scène hyperactive tire le récit vers une vivacité qu’interdit la structure du scénario. Il incombe à Dario Grandinetti de faire cohabiter les termes de ce paradoxe : il met l’intelligence, la sensibilité, même, de son personnage au service d’une infinie médiocrité morale.
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Un polar perturbant, qui s’envisage comme un portrait symbolique de la société argentine dans les années 1970.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Il faut une certaine générosité de portraitiste pour compenser la misanthropie de ce genre de film où tout le monde est désagréable, et Naishtat, heureusement, n’en manque pas.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Anne Dessuant
Cette patine parfaite fait tout le charme de Rojo mais en établit aussi les limites. En enfermant son film dans une bulle graphique, Benjamin Naishtat nous tient à distance et fige ses personnages dans des stéréotypes qui empêchent toute empathie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par François Forestier
A force de stylisation, toute émotion est tuée, et le film se déroule sans que le spectateur soit jamais impliqué.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
S’il ne parvient pas à installer un suspense convaincant, Rojo réussit en revanche à distiller une ambiance étrange et inquiétante. Dommage que le réalisateur n’ait pas emprunté à ses prestigieuses références la maîtrise narrative d’un scénario captivant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La séquence d’introduction, exceptionnelle, augurait un pur polar mystérieux. Dommage que la tension s’écroule subitement, cette ébauche de thriller crépusculaire se transformant en chronique sociale et politique en ajoutant des intrigues parallèles qui diluent l’enjeu dramatique. Reste l’acteur Dario Grandinetti, formidable.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Bien qu’il signe une peinture corrosive d’une société en pleine dépravation, Benjamín Naishtat ne parvient pas à tirer parti du contexte historique explosif, qu’il a fait le choix de reproduire visuellement pour y développer un thriller.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Point
Un hommage aux polars américains des années 1970. Captivant.
Ouest France
A l'aide d'une mise en scène très "atmosphérique", Benjamín Naishtat diffuse un malaise persistant de la première à la dernière image.
La Septième Obsession
Un polar sardonique et implacable.
La Voix du Nord
Malgré quelques errements scénaristiques, cet étrange thriller distille un climat de paranoïa parfaitement au diapason de son message politique.
Le Dauphiné Libéré
Le constat est terrible : on en ressort avec un durable sentiment de malaise.
Le Figaro
Benjamin Naishtat orchestre brillamment un face-à-face entre un avocat ripou et un détective déterminé.
Libération
L’Argentin Benjamín Naishtat relate les années de la junte dans un thriller burlesque ponctué de scènes superbes, qui suit un avocat tortueux impliqué dans un crime.
Positif
Pourquoi, maintenant, cette si méticuleuse reconstitution produisant un thriller seventies lent et inquiet des menaces passées et avérées ? Pour ceux qu'on a rendus absents, et pour donner un film manquant, contre les dénis du jour et l'impunité des lendemains.
Première
Après Historia del miedo, Naishtat confirme un formidable tempérament de conteur et de moraliste qui laisse le soin aux spectateurs d’apprécier les dérèglements subtils opérés dans ses récits mystérieux.
CinemaTeaser
Sans surprise, d'accord, mais assez bien troussé.
Le Monde
Cette mise en scène hyperactive tire le récit vers une vivacité qu’interdit la structure du scénario. Il incombe à Dario Grandinetti de faire cohabiter les termes de ce paradoxe : il met l’intelligence, la sensibilité, même, de son personnage au service d’une infinie médiocrité morale.
Les Fiches du Cinéma
Un polar perturbant, qui s’envisage comme un portrait symbolique de la société argentine dans les années 1970.
Les Inrockuptibles
Il faut une certaine générosité de portraitiste pour compenser la misanthropie de ce genre de film où tout le monde est désagréable, et Naishtat, heureusement, n’en manque pas.
Télérama
Cette patine parfaite fait tout le charme de Rojo mais en établit aussi les limites. En enfermant son film dans une bulle graphique, Benjamin Naishtat nous tient à distance et fige ses personnages dans des stéréotypes qui empêchent toute empathie.
L'Obs
A force de stylisation, toute émotion est tuée, et le film se déroule sans que le spectateur soit jamais impliqué.
La Croix
S’il ne parvient pas à installer un suspense convaincant, Rojo réussit en revanche à distiller une ambiance étrange et inquiétante. Dommage que le réalisateur n’ait pas emprunté à ses prestigieuses références la maîtrise narrative d’un scénario captivant.
Le Journal du Dimanche
La séquence d’introduction, exceptionnelle, augurait un pur polar mystérieux. Dommage que la tension s’écroule subitement, cette ébauche de thriller crépusculaire se transformant en chronique sociale et politique en ajoutant des intrigues parallèles qui diluent l’enjeu dramatique. Reste l’acteur Dario Grandinetti, formidable.
aVoir-aLire.com
Bien qu’il signe une peinture corrosive d’une société en pleine dépravation, Benjamín Naishtat ne parvient pas à tirer parti du contexte historique explosif, qu’il a fait le choix de reproduire visuellement pour y développer un thriller.