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[...] ce qu'il y a de formidable dans "Yomeddine", c'est cette envie de montrer une Egypte inédite, loin des clichés cairotes ou touristiques (la seule pyramide qu'on voit, authentique, est inconnue et abandonnée de tous), de transmettre des valeurs fondamentales (comme, bien sûr, le droit à la différence), avec une farouche volonté de divertir.
Plaidoyer pour la compassion et la générosité, mélodrame, critique sociale et comédie, Yomeddine comporte aussi des moments de grâce, d’entraide, de franche rigolade avec ces déshérités méprisés, des scènes oniriques où Beshay demeure hanté par sa famille qu’il n’a pas vue depuis quarante ans.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
S'il n'évite pas tous les pièges du bon sentiment et du consentement à l'ordre établi (cinématographique et politique), son humanisme et ses interprètes principaux emportent l'adhésion.
Un énième feel-good movie sur route qui surprend, sans tomber, a priori, dans le piège du misérabilisme moralisateur. Mais en approfondissant l’approche de l’auteur, il n’est pas impossible de trouver sa naïveté quelque peu troublante...
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Quelques jolies scènes (les retrouvailles avec le père), d'autres embarrassantes (le clin d'œil à "Elephant Man") et une morale fataliste sur le sort des éclopés sont comme lissées par une mise en scène insipide et une musique envahissante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Parfois, une belle idée de mise en scène surgit, comme lorsque l’enfant bricole, avec des déchets, un étrange chapeau à voilette, permettant à son compagnon de faire moins peur aux autres et de devenir, enfin, celui qui observe. Le reste du temps, le cinéaste se repose, non sans raison, sur la compassion et l’empathie suscitées par son personnage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
"(...) ce rire, poussif et artificiel, fige littéralement les figures dans un folklore, celui de "l’humanité" et des marginaux qui, peu gâtés par la vie, nous donnent une leçon d’abnégation et de courage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Si l’on se met à penser à "Elephant Man" (1980) et à "Une histoire vraie" (1999) de Lynch, au "Kid" de Chaplin ou au "Freaks" de Browning, c’est plus pour tromper l’ennui devant un film vide que pour en arrimer le débordement à des berges connues.
L'Express
[...] ce qu'il y a de formidable dans "Yomeddine", c'est cette envie de montrer une Egypte inédite, loin des clichés cairotes ou touristiques (la seule pyramide qu'on voit, authentique, est inconnue et abandonnée de tous), de transmettre des valeurs fondamentales (comme, bien sûr, le droit à la différence), avec une farouche volonté de divertir.
CNews
Premier film du réalisateur Abu Bakr Shawky, ce drame teinté de poésie suit le voyage d'un lépreux et d'un orphelin, à la recherche de leurs racines.
La Croix
Plaidoyer pour la compassion et la générosité, mélodrame, critique sociale et comédie, Yomeddine comporte aussi des moments de grâce, d’entraide, de franche rigolade avec ces déshérités méprisés, des scènes oniriques où Beshay demeure hanté par sa famille qu’il n’a pas vue depuis quarante ans.
Le Figaro
Une œuvre simple et tenace comme ses personnages.
Le Parisien
Un film touchant, entre road-movie et fable initiatique.
Le Point
Un beau conte qui se dévoile au fil des routes égyptiennes, sans s'apitoyer sur le sort des lépreux et des Égyptiens en général.
Ecran Large
Pour surprenant et divertissant qu'il soit de prime abord, "Yomeddine" se révèle finalement bien inoffensif et satisfait des horreurs qu'il décrit.
Franceinfo Culture
Inégal, "Yomeddine" manque de corps, mais reste un joli film au message positif.
La Voix du Nord
Naïf mais profondément humaniste.
Ouest France
Un road-trip sensible.
Paris Match
"Yomeddine" doit beaucoup au charisme de son acteur principal Rady Gamal dont le regard empli de dignité ne vous lâchera pas.
Positif
S'il n'évite pas tous les pièges du bon sentiment et du consentement à l'ordre établi (cinématographique et politique), son humanisme et ses interprètes principaux emportent l'adhésion.
Première
Un film simple (pas simpliste) et tendre, qui fuit le misérabilisme pour s’attacher à l’humain, rien que l’humain.
aVoir-aLire.com
Un énième feel-good movie sur route qui surprend, sans tomber, a priori, dans le piège du misérabilisme moralisateur. Mais en approfondissant l’approche de l’auteur, il n’est pas impossible de trouver sa naïveté quelque peu troublante...
Cahiers du Cinéma
Une proposition lacrymale incarnée certes, mais sans déviance aucune.
L'Obs
Quelques jolies scènes (les retrouvailles avec le père), d'autres embarrassantes (le clin d'œil à "Elephant Man") et une morale fataliste sur le sort des éclopés sont comme lissées par une mise en scène insipide et une musique envahissante.
Le Journal du Dimanche
Un road movie attachant malgré les clichés et un déluge de bons sentiments.
Le Monde
Cette production aux héros hors norme est alourdie par un discours conformiste.
Les Fiches du Cinéma
Abu Bakr Shawky signe un road movie poétique mais inégal, qui ne parvient pas à soutenir son ambition de critique sociale.
Télérama
Parfois, une belle idée de mise en scène surgit, comme lorsque l’enfant bricole, avec des déchets, un étrange chapeau à voilette, permettant à son compagnon de faire moins peur aux autres et de devenir, enfin, celui qui observe. Le reste du temps, le cinéaste se repose, non sans raison, sur la compassion et l’empathie suscitées par son personnage.
Critikat.com
"(...) ce rire, poussif et artificiel, fige littéralement les figures dans un folklore, celui de "l’humanité" et des marginaux qui, peu gâtés par la vie, nous donnent une leçon d’abnégation et de courage.
Les Inrockuptibles
Si l’on se met à penser à "Elephant Man" (1980) et à "Une histoire vraie" (1999) de Lynch, au "Kid" de Chaplin ou au "Freaks" de Browning, c’est plus pour tromper l’ennui devant un film vide que pour en arrimer le débordement à des berges connues.