Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Transfuge
par Serge Kaganski
Mais ce risque d’un film sur rails fond au contact de l’épaisseur humaine et de la diversité des protagonistes - qu’ils soient beaux ou moins beaux, ils sont tous magnifiés par le regard intense de Gitaï et par la superbe photo du maître chef op Eric Gautier.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Amos Gitaï installe un nouveau cadre propice à la poursuite de ses réfl exions sur le délitement des valeurs de son pays. Une fresque mobile avec musique à bord.
Positif
par Philippe Niel
Bien calée sur des rails, cette comédie de situation répond à une question récurrente du cinéaste : comment filmer.
L'Obs
par François Forestier
C’est inégal, parfois lassant, parfois surprenant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
(...) le voyage est métaphorique mais un peu court pour montrer la complexité d’une ville comme Jérusalem.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Esthétiquement réussi, ce film où se côtoient l’universel et le particulier peut sembler redondant, mais son ordinaire lumineux fascine celui qui se laisse embarquer.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Puissant dans son dispositif (succession d’instantanés de la société israélienne), ce travail, qui n’est pas sans rappeler le "Taxi Téhéran" de Jafar Panahi, pèche un peu par manque de subtilité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Si le résultat est imparfait, tour à tour oubliable, faible et charmant, Gitaï a le mérite de tisser à partir de presque rien […] le portrait pluriel et utopique d'une société qu'on aurait compressée dans une maison ouverte sans frontière […].
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Frédéric Strauss
Le cinéaste israélien signe un film original et déroutant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Antoine Le Fur
D'habitude percutant dans son propos, Amos Gitaï réalise ici un film poussif, se contentant d'esquisser des sujets pourtant passionnants (le communautarisme, le sexisme, le fanatisme...), sans vraiment prendre la peine de les approfondir.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Mais le film, qui se voulait utopie mosaïque, ne prend pas, à l’image de la réalité qu’il entendait défier.
Libération
par Didier Péron
Si bien qu’"Un tramway à Jérusalem" réussit le tour de force de n’être ni divertissant ni profond - et même, curieusement, indifférent aux questions pourtant intéressantes et complexes qu’a posées la mise en œuvre de la première ligne de tram en 2011.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Inégal et un peu naïf.
Première
par Thierry Chèze
Cette succession de saynètes permet de raconter ce coin du monde sous tension permanente par le prisme d'un humour inhabituel dans son œuvre. Mais Un tramway à Jérusalem peine à s'extirper des travers habituels de ce type de fiction : l'inégalité des situations qui s'enchaînent, trop nombreuses à enfoncer des portes ouvertes.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
A travers cette promenade urbaine, Amos Gitaï s’applique à peindre en demi-teinte le tableau de la société israélienne d’aujourd’hui sans parvenir à nous convaincre de l’efficacité de sa démarche.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Un paresseux enchaînement de saynètes insignifiantes, disposées à la queue-leu-leu comme les wagons du tramway où elles se déroulent toutes.
Critikat.com
par Chloé Cavillier
Répétant inlassablement les mêmes motifs, Un tramway à Jérusalem pèche avant tout par la lourdeur de son dispositif.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Transfuge
Mais ce risque d’un film sur rails fond au contact de l’épaisseur humaine et de la diversité des protagonistes - qu’ils soient beaux ou moins beaux, ils sont tous magnifiés par le regard intense de Gitaï et par la superbe photo du maître chef op Eric Gautier.
L'Humanité
Amos Gitaï installe un nouveau cadre propice à la poursuite de ses réfl exions sur le délitement des valeurs de son pays. Une fresque mobile avec musique à bord.
Positif
Bien calée sur des rails, cette comédie de situation répond à une question récurrente du cinéaste : comment filmer.
L'Obs
C’est inégal, parfois lassant, parfois surprenant.
Le Figaro
(...) le voyage est métaphorique mais un peu court pour montrer la complexité d’une ville comme Jérusalem.
Le Journal du Dimanche
Esthétiquement réussi, ce film où se côtoient l’universel et le particulier peut sembler redondant, mais son ordinaire lumineux fascine celui qui se laisse embarquer.
Les Fiches du Cinéma
Puissant dans son dispositif (succession d’instantanés de la société israélienne), ce travail, qui n’est pas sans rappeler le "Taxi Téhéran" de Jafar Panahi, pèche un peu par manque de subtilité.
Les Inrockuptibles
Si le résultat est imparfait, tour à tour oubliable, faible et charmant, Gitaï a le mérite de tisser à partir de presque rien […] le portrait pluriel et utopique d'une société qu'on aurait compressée dans une maison ouverte sans frontière […].
Télérama
Le cinéaste israélien signe un film original et déroutant.
Le Journal du Dimanche
D'habitude percutant dans son propos, Amos Gitaï réalise ici un film poussif, se contentant d'esquisser des sujets pourtant passionnants (le communautarisme, le sexisme, le fanatisme...), sans vraiment prendre la peine de les approfondir.
Le Monde
Mais le film, qui se voulait utopie mosaïque, ne prend pas, à l’image de la réalité qu’il entendait défier.
Libération
Si bien qu’"Un tramway à Jérusalem" réussit le tour de force de n’être ni divertissant ni profond - et même, curieusement, indifférent aux questions pourtant intéressantes et complexes qu’a posées la mise en œuvre de la première ligne de tram en 2011.
Ouest France
Inégal et un peu naïf.
Première
Cette succession de saynètes permet de raconter ce coin du monde sous tension permanente par le prisme d'un humour inhabituel dans son œuvre. Mais Un tramway à Jérusalem peine à s'extirper des travers habituels de ce type de fiction : l'inégalité des situations qui s'enchaînent, trop nombreuses à enfoncer des portes ouvertes.
aVoir-aLire.com
A travers cette promenade urbaine, Amos Gitaï s’applique à peindre en demi-teinte le tableau de la société israélienne d’aujourd’hui sans parvenir à nous convaincre de l’efficacité de sa démarche.
Cahiers du Cinéma
Un paresseux enchaînement de saynètes insignifiantes, disposées à la queue-leu-leu comme les wagons du tramway où elles se déroulent toutes.
Critikat.com
Répétant inlassablement les mêmes motifs, Un tramway à Jérusalem pèche avant tout par la lourdeur de son dispositif.