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    Trois visages
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    84 critiques spectateurs

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    bendelette
    bendelette

    25 abonnés 251 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 mai 2019
    Les paysages sont magnifiques,le côté ethnologique du film intéressant,et si les habitants de ces villages se montrent rudes face au métier de "saltimbanques",leur sens de l'hospitalité est délicieuse.Mais le sujet essentiel du film ne m'a absolument pas intéressée.Aucune empathie pour les personnages principaux.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    268 abonnés 1 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 février 2019
    Dans la lignée de Taxi Téhéran (le précédent film de Panahi), un road-movie minimaliste et symbolique qui tourne autour du métier de "saltimbanque", de ses résonances sociales et morales en Iran, et plus généralement de l'émancipation féminine dans un contexte de domination masculine et conservatrice. La première partie, dotée d'un petit suspense, est plus stimulante que la seconde, un chouïa monocorde et "attendue". Mais l'ensemble, intelligemment posé et composé jusqu'au dernier plan, fait sens.
    brunocinoche
    brunocinoche

    91 abonnés 1 102 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 octobre 2018
    Nouveau film de Jafar Panahi, pourtant interdit de tourner par les autorités iraniennes, nouveau tour de force. Détournant cette difficulté avec simplicité en complicité avec des proches et en caméra cachée au sein de sa voiture, on retrouve par la force des choses la forme de « Taxi Téhéran » dans ce film qui se passe dans un village iranien.
    Sur le plan du scénario (justement récompensé à Cannes), le film réussit de nouveau à nous livrer un état du pays iranien actuel à travers 3 visages d’actrices dont un que l’on apercevra que furtivement. 3 portraits de femmes intergénérationnels pour évoquer le passé, le présent et le futur de l’art en Iran.
    C’est subtil, juste, intelligent et plus que respectable. Evidemment, visuellement, ce n’est pas du grand cinéma mais çà n’est pas la faute du cinéaste qui tourne contre vents et marées, cela aussi est plus que respectable.
    Audace26
    Audace26

    7 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 août 2018
    Une belle histoire qui se perd dans un propos convenu et une mise en scène sans intérêt. C'est un film assez déroutant au final dont on cherche à la fin quel était le véritable propos. Bof
    Edouard64
    Edouard64

    8 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 août 2018
    Le film aussi séduisant dans son principe que ce célèbre réalisateur interdit de cinéma dans son pays, qui reste sous la menace permanente d’une peine de détention jamais mise en œuvre, mais continue à tourner des films dans l’espace confiné de sa voiture (le remarquable Taxi), et comme ici dans les campagnes les plus reculées possibles, à la frontière avec l’Azerbaïdjan.
    Voici Jafar Panahi et une célèbre actrice contraints pour sauver la vie d’une fille de villageois qui s’est promis de faire carrière dans le cinéma de quitter Téhéran et gagner un village situé à des centaines de kilomètres de la ville.
    Tout se passe donc comme prévu : de belles images de la campagne et du village, la juxtaposition de ces deux mondes si singulièrement opposés mais à qui le respect des villageois pour la grande actrice permet de coexister un temps en harmonie.
    Et puis soudain on décroche, et une horrible impression d’ennui prend le dessus . Est-ce de voir Jafar Panahi, qui joue son propre rôle, attendre toute une nuit dans sa voiture ? Ou bien le sentiment d’une inexcusable complaisance du réalisateur pour ces films sans histoire qui furent un temps si à la mode en Europe ? Un film, c’est une histoire. Si elle s’arrête, ne vaut-il pas mieux tout arrêter ?
    Cineseba
    Cineseba

    43 abonnés 623 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 août 2018
    « Euh ... alors que dire de ce film qui ne m’a pas fait d’étincelles dans mes yeux comme j’ai pu ressentir une grande fascination face à son film précédent : « Taxi Téhéran » ? Certes, le film « Trois visages » est long, lent et bavard, voire ennuyeux mais il n’est pas mauvais si son but est de faire évoluer les mentalités de la société iranienne et de leur faire réfléchir pour mieux concilier la modernité, le monde des arts et la culture iranienne. Dans le film « Trois visages »,

    une célèbre actrice iranienne Behnaz Jafari, reçoit sur son smartphone, la vidéo d’une jeune fille qui se pend dans une grotte car leurs parents n’acceptent pas qu’elle soit inscrite dans une conservatoire pour devenir actrice. Rongée par la culpabilité, elle demande alors à son ami, le réalisateur Jafar Panahi, de l’aider à comprendre ce qui s’est passé et si c’est bien réel. Ils vont alors vers le village de la jeune fille, dans les montagnes reculées de l’Iran.

    Le réalisateur Jafar Panahi nous apporte un regard sur la culture et les traditions locales iraniennes très ancrées dans la vie des villageois. Pour moi, il est, tout en enlevant le côté provocateur, comme l’excellent Michael Moore (« Bowling for Columbine). Avec sa femme actrice, Behnazi Jafari, il enquête sur le suicide d’une jeune adolescente avec beaucoup de délicatesse dans le village pour ne pas provoquer l’ire des habitants qui la traitent d’écervelée. On se croirait presque devant un film policier qui s’efface subitement lorsque cette enquête est, à mon goût, trop vite résolue ! Bon, voilà nous immergés en pleine campagne dans la confrontation entre la modernité et le conservatisme ! Eh bien, voilà, le film est lent car les échanges sont plats, ils ne sont même pas marquants pour montrer combien les villageois sont attachés à leur culture, malgré quelques pincées humoristiques dans certaines scènes ! Rien à voir avec « Taxi Téhéran » ! J’avoue en être déçu ... c’est dommage ! »
    Pierre-François C
    Pierre-François C

    4 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 juillet 2018
    lent, poussif, que l'on s'ennuie. Il faudrait qu'il arrête de se filmer dans sa voiture. S'il n'était pas Iranien son film aurait-il simplement été distribué en France ?
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    75 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 juillet 2018
    Comment faire du cinéma quand on ne peut pas en faire ? C’est la grande leçon que nous donne Jafar Panahi depuis des années et qui se poursuit avec la sortie de son nouveau long-métrage primé à Cannes, « 3 visages ». Limité dans son expression par un régime iranien autoritaire, Panahi refuse d’abandonner le cinéma et redouble d’inventivité pour pratiquer son art et évoquer les problèmes sociétaux qui traversent son pays. Si j’ai pensé au début du long-métrage que le dispositif filmique était trop contraignant pour faire un bon film, j’ai rapidement revu mon jugement et je tire mon chapeau au couple Panahi pour le bijou qu’il nous propose ici. Ce film est d’une intelligence rare dans sa mise en place ainsi que dans son montage et l’on n’est finalement pris par ce road-trip amusant doublé d’un témoignage puissant sur la condition de la femme en Iran. Plutôt que de chercher les images chocs, Panahi choisit d’opérer dans la subtilité en préférant le réalisme au sensationnalisme. Doublé d’une riche métaphore sur sa condition de cinéaste, « 3 visages » est un film assez difficile d’accès mais néanmoins courageux et passionnant, un coup de maître qui force le respect.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 juillet 2018
    Un film tout a fait accessible, d'une grande simplicité et inventivité visuel, et en même temps, d'une grande modernité. Ce n'est pas un chef d’œuvre, mais un film honnête, qui dépayse totalement et offre à voir, un cinéma différent mais profondément cinématographique. Une bonne surprise qui donne envie de voir son précédent "Taxi Téhéran".
    mat niro
    mat niro

    354 abonnés 1 826 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 juillet 2018
    Le film commence fort avec le supposé suicide d'une adolescente filmé par ses soins qui va conduire le réalisateur Jafar Panahi et une célèbre actrice iranienne sur les traces de la jeune femme. Jafar Panahi, toujours prisonnier politique en Iran, ne retrouve pas dans ce film la puissance de "Taxi Téhéran", et sa longue route dans les chemins sinueux de l'Iran profond est assez ennuyeuse. Même si "Trois visages" est une ode à la liberté artistique (les saltimbanques en l'occurrence dans ces contrées reculées), il y manque cependant des scènes plus engagées qui caractérisent le réalisateur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 4 juillet 2018
    FETE DU CINEMA.... à la traîne! “Trois visages�

    On se réveille à la fumée des cierges, mais on est charrette! Hier soir, un film que je ne voulais pas rater, “Trois visages�.
    J’avais adoré “Taxi Téhéran�, cette gentillesse, cet humour, qui émanent de Jafar Panahi, ce rythme totalement à côté du nôtre, lent, la chaleur, ou l’éducation iraniennes, va savoir.
    Pas déçue par “Trois visages�. D’un bout à l’autre, on retrouve cette lenteur, cette philosophie de vie (la règle des klaxons sur le chemin de montagne). L’âpreté de vie dans ces montagnes iraniennes, ces cultures souvent archaïques et rétrogrades où les filles ne sont bonnes qu’à être mariées et surtout pas à faire ce qu’elles souhaitent, mais vues avec un mélange de sévérité et d’indulgence, par Panahi, ce rythme incroyable pour nous Occidentaux, cette acceptation paisible des faits pourtant remise en question par l’actrice principale, coincée entre la recherche de Marziyeh et le tournage interrompu de son film, tout cela est fort bien filmé, on ne sait plus tôt si on est dans un film ou dans la réalité, puisque les acteurs jouent leurs propres rôles. Effectivement, on est dans un bout du monde, et on comprend l’angoisse de cette adolescente qui n’a guère de chance d’en sortir. Il faut accepter les règles. Tout est calé, impossible de faire un pas de côté.
    Définitivement fan de Panahi, toujours dans la retenue, dans les pourparlers, dans la demi-teinte.
    Une leçon de vie dans une contrée où on ne parle jamais la bonne langue.
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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 juin 2018
    Entre un conte persan, une comédie de moeurs, du burlesque et un questionnement sur la place de la femme et de l'artiste dans la société iranienne, Panahi, plus efficace que jamais malgré toutes les embuches, livre une fable subtile et sans aucun misérabilisme qui fait appel à notre intelligence et à notre humanité.
    Un régal pour les amateurs du genre.
     Kurosawa
    Kurosawa

    583 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 juin 2018
    Après le beau "Taxi Teheran", Jafar Panahi reprend la voiture mais quitte cette fois la ville pour partir dans la campagne iranienne accompagné de l'actrice Behnaz Jafari. Tous deux, ils tentent de savoir si la vidéo d'un suicide envoyée par une jeune fille en détresse est crédible ou bien s'il s'agit d'un astucieux montage prenant la forme d'un ultime appel à l'aide. "Trois visages" touche par le calme de sa mise en scène assurée et par sa manière d'opposer la colère des villageois à l'apaisement du cinéaste-personnage, qui reste le plus souvent en retrait, observant la culture locale sans jamais la juger. Enquête d'abord captivante, le film devient plus inégal à partir du moment où celle-ci est résolue. Anecdotique et trop bavard, "Trois visages" ne peut plus être considéré que comme un petit film qui rate d'une part sa confrontation entre le conservatisme et la modernité, et d'autre part qui ne parvient pas à rendre consistant son point de vue sur le suicide, à l'inverse d'un Kiarostami – à qui Panahi rend ici hommage – dans "Le goût de la cerise". En somme, un film loin d'être déplaisant mais moins aventureux sur le plan formel que le précédent film du cinéaste.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 069 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 juin 2018
    Franchement je ne m'attendais pas à apprécier, mais il semblerait que Panahi soit un peu sorti de ses éternelles complaintes sur le fait de ne pas pouvoir faire de film, sur les critiques au gouvernement (bon il y en a, mais c'est pas non plus ce qui domine) mais surtout sur le côté métafilmique que je trouvais juste insupportable dans Ceci n'est pas un film et dans Taxi Téhéran.

    Alors oui, il reste lui-même et il ne peut pas s'empêcher de vouloir brouiller la ligne entre fiction et réalité avec quelques dialogues où il dit à sa mère qu'il ne fait pas un film, puis l'actrice demande si ce n'est pas un film car il lui avait parlé d'un scénario sur le suicide... Franchement on comprend bien que c'est un film, les acteurs jouent leur propre rôle, on comprend bien que c'est également ancré dans le réel, pas besoin de le surligner comme ça... Mais à part et peut-être le moment où il arrive quand même à placer qu'il n'a pas le droit de quitter l'Iran, j'ai vraiment apprécié le film.

    Je l'ai apprécié car comme dans Miroir, le premier film que j'ai vu de lui et que j'avais apprécié également, c'est assez simple. Alors oui, bien sûr il y a un sous-texte, mais l'histoire de base est assez belle et simple pour être intéressante, dans Miroir une fille qui se perd dans la ville de Téhéran, ici une jeune femme qui veut devenir actrice. C'est des enjeux compréhensibles et qui font de belles histoires, qui peuvent éventuellement servir un propos, mais l'histoire racontée est belle et donc forcément le spectateur accroche plus qu'à un truc totalement méta où le mec se plaint de ne pas pouvoir faire de films...

    Il est finalement dans la ligne de Kiarostami lorsqu'il va faire Et la vie continue, où les acteurs jouent leur propre rôle et où ils vont dans la campagne chercher un gamin et là c'est un peu pareil, un réalisateur, une actrice qui vont chercher une jeune femme dans la campagne. Et c'est beau... alors Panahi n'est clairement pas un grand metteur en scène, visuellement c'est assez laid, les plans séquences où la caméra pivote juste sur son axe c'est un peu paresseux... la photographie est immonde, notamment parce qu'on sent que c'est numérique, mais il y a quelques beaux moments... La fille au café qui téléphone, la nuit est tombée, on voit les gens dans le café à l'intérieur, le thé qui est servi... ça donne envie. Ou bien lorsque la nuit tombe et que le point se fait sur le paysage et la fille qui part, on entend l'appel à la prière au loin, on voit le vent faire bouger les arbres... C'est sublime. Malheureusement il n'y a que deux ou trois plans comme ça, qui sont bien composés, tout le reste est dans le mouvement, semble capté sur le vif et donc en terme de rythme ça passe, mais c'est pas très beau. Mais ça n'empêche pas, comme je le disais au film d'être beau...

    Aller filmer le bled, comme ils disent, c'est beau. C'est même franchement appréciable. On voit un autre visage de l'Iran que celui de Téhéran, grande ville polluée, mais surtout on voit d'autres gens, qui sont simples, qui ont leurs contradictions, mais qui sont attachants. Panahi leur donne la parole, parfois même non pas en persan mais en turc, sans doute une façon d'assumer ses origines, mais peut-être d'embêter un peu le gouvernement également. Reste qu'il parle d'une réalité, d'une réalité des compagnes... Et franchement c'est fascinant.

    Et le fait que l'histoire soit assez simple, ça permet de prendre le temps de s'attarder sur les personnages, de les comprendre et de les apprécier.

    Bref, c'est une réussite, ça m'a donné envie de redonner sa chance à Panahi, mais aussi de retourner en Iran, voir plus les campagnes...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 juin 2018
    La première scène c'est une vidéo enregistrée avec un portable où une jeune azérie se suicide à cause de l’incompréhension de sa famille, qui l'a forcée à se marier, et en plus, a interdit la fille de s'inscrire à l'école d'arts dramatiques. La destinataire d'une telle confession n'est autre que Behnaz Jafari, star de la télé iranienne, qui, secouée par la situation, décide de s'embarquer avec Panahi pour découvrir si la vidéo est vraie ou fausse.

    Three faces démarre au style du road-trip, blindé de longues conversations dans la voiture jusqu'à l'arrivée dans la région azérie. Une route très étroite communique le pays avec cet hameau turcophone, ce qui met en évidence l'isolement de la vie rurale par rapport au pouvoir centralisé. Une fois les protagonistes descendent de la voiture, la recherche de la fille ne sera qu'une excuse pour s'immerger dans la vie locale.

    Les échos de Kiarostami résonnent dans le premier film de Panahi après le décès de son maître. Les dialogues dans la voiture, traversant des paysages arides, qui montrent l’inquiétude des protagonistes rappellent la tension et le désenchantement qui nous provoquait le périple du chauffeur dans Le goût de la cerise. En plus, le regard comique sur les moeurs du village semble une mise à jour de Le vent nous emportera. Ce n'est pour rien que dans la même région on retrouve encore une fois des situations surréalistes: les soucis pour capter du réseau qu'on connaissait déjà grâce à Kiarostami, bien sur; mais aussi un code sonore de coups de klaxon pour s'assurer le passage au village; un taureau qui bloque la route de retour; une femme qui habite dans sa tombe ouverte et même un vieil homme qui vient d'être papa et qui veut offrir le prépuce du petit à une star cinéma dans l'exile.

    Absorbés par un endroit si particulier, oubliant presque la vidéo de la jeune, d'un coup, le fil narratif principal revient en toute puissance. Il s'agit d'une dénonce de la situation du cinéma iranien actuel. Soit la vidéo vraie ou fausse, la révélation de l’énigme devient secondaire quand les trois visages du titre se rencontrent. Trois générations d'actrices opprimées par le pouvoir: les comédiennes d'avant la révolution du 79, qui ont été punies, isolées et oubliées. Les actrices d'aujourd'hui, qui doivent faire face à des conditions qui attaquent leur créativité et leur expression. Puis, les futures actrices, dans une situation presque impossible pour se faire une carrière, seules, sur une route trop étroite où on risque de devoir faire demi-tour.

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