Mon dieu que c'est mauvais. Le sexe comme palliatif au vide. Virginie Effira aurait du partir en courant ou se mettre réellement à boire ! Plat, vide, faussement intello et presque douloureux à regarder. Seul le personnage de la réalisatrice sauve un tout petit peu l'ensemble ! Bref.. à fuire !
Ça aurait pu être un bon film, mais franchement le montage est un vrai sabotage, idem pour la bande son. Volonté de la production d'en faire un film intellectuel ? Dommage car il y avait matière à en faire autre chose. Les scènes de sexe sont aussi crues que... d'une froideur qui met mal à l'aise...pourquoi autant de complexité dans ce film....
Bien interprété et réalisé, ce film est agréable à suivre malgré une intrigue somme toute assez classique. Les ellipses permettent au film de conserver un rythme prenant.
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1,5
Publiée le 26 août 2020
Sibyl est une grande déception. J'ai été surpris de constater que les gens considèrent ce film comme une comédie. Cela ressemble plus à un récit de la façon dont une femme en convalescence après l'alcoolisme revient à la boisson. Pourquoi : est-ce un sujet amusant ? Il se passe trop de choses et il est difficile de savoir comment les prendre. Il y a un bon sujet de base (si l'on peut dire qu'il en a un) : un psychiatre qui vole la vie d'un patient pour en faire une fiction à succès. Un traitement plus simple et plus conventionnel aurait pu être assez intéressant. Mais Triet empilent sur la complexité et obscurcis ce thème. En plus de cela il y a une technique de montage surréaliste de flashback et de montage de très courts clips (une mauvaise idée nouvelle a la mode) qui est prétentieuse et ajoute de la confusion. D'une certaine manière Victoria était aussi un désordre sauvage et désordonné avec Efira dans un rôle minable mais sexy. Une séquence hilarante absurde vers la fin, le charme et la suavité du grand Melvil Poupaud ainsi que la douceur de Vincent Lacoste en tant que baby-sitter amoureux d'Efira pourrait rendre ce film charmant et amusant. Mais cela n'arrive pas ici. Finalement la responsabilité ou la succession de rôles inappropriés en enfreignant toutes les règles de l'éthique médicale fait échouer Sibyl. C'est aussi embarrassant et maladroitement mis en scène et profondément pas drôle. Alors que je me suis rangé du côté des critiques français sur Victoria contre les anglo-saxons qui l'ont saccagé cette fois je suis d'accord avec les anglo-saxons et j'espère que Triet aura plus de succès avec son matériel dans son prochain long métrage...
Ça ne fonctionne pas. A l’image de son récit qui dévoile petit à petit son personnage principal, son histoire, ses fêlures. Le film va multiplier les genres, les mystères, les flashbacks, fausses pistes et interprétations. Il en ressort un film fouillis, inutilement alambiqué, tentant tant bien que mal de dissimuler ses incohérences et ses rebondissements improbables. Je n’ai pas cru à ce que je regardais et j’ai même totalement décroché à la moitié du film. Reste la prestation de Virginie Efira une nouvelle fois épatante, mais autant la revoir dans un bon film, de mon point de vue ce n’est pas le cas ici.
Pour ceux qui n’ont pas été pleinement convaincus par le long-métrage précédent de Justine Triet (« Victoria »), ils peuvent être cette fois-ci complètement déçus. « Sibyl », sorti en 2019, est typiquement le genre de film qui ne parvient jamais à trouver sa voie entre la comédie et le drame psychologique. Compte tenu d’un scénario confus et d’un montage laborieux, on finit par se perdre parmi les multiples histoires. Seule Virginie Efira, omniprésente à l’écran, prouve qu’elle est une grande actrice avec une mise à nu totale, au sens propre comme au figuré. Bref, un bon loupé.
On dirait à la fois que le film part de quelque chose de trop intime, qu’il ne réussit pas à nous transmettre, et que le dispositif alambiqué qu’il met en place pour broder un récit à partir de cette émotion (mises en abyme, multiplication des régimes de fiction, utilisation très consciente du bagage de chaque acteur, etc.) est à la fois très artificiel et complètement désincarné, comme si la machine à générer du vertige fonctionnait à vide. Le résultat n’est donc clairement pas à la hauteur de l’ambition, la faute à un scénario très scolaire et peu intéressant. Dommage, parce que la réalisation est belle, la photographie aussi, et Triet confirme qu’elle sait créer de belles atmosphères. Les acteurs ne sont pas en cause non plus, sauf à considérer qu’Efira vampirise littéralement le film et que la camera et le scénario s’offrent comme des victimes largement consentantes de son omniprésence.
Pfff. Par où commencer ? Pardon par avance car faire un film est loin d'être simple. Le film est TELLEMENT NUL, Vigrinie ET Adele sont top en revanche, mais c'est long et ennuyeux, Bref, sans intérêt pour ma part !
Drame psychologie intelligent, purificateur, mais parfois aussi trop anodin, qui emprunte par moment au cinéma de Pedro Almodovar. C'est surtout l'occasion de voir une actrice révéler l'étendu de son talent : Virginie Efira absolument renversante.
J'ai attendu la fin du film très tôt. Malgré une Virginie Efira très juste, la réalisatrice Justine Triet m'a très rapidement perdu par un montage saccadé, jonglant entre des flash-backs presque dérangeants, sans son ou en voix off, sans repère. Il m'a manqué un fil directeur clairement. Dommage car le thème n'est pas inintéressant et le casting globalement au niveau.
Un bon départ avec un montage original et une musique très intéressante... puis tout part en vrille, tout le monde pleure, tout le monde couche avec tout le monde...pour finir avec une scène finale ridicule (spoiler: virginie effira ivre).
Dommage. Heureusement Virginie Effira nous montre à nouveau son talent exceptionnel.
caricature de mauvais film francais. Ca se veut intelligent c’est grotesque. La musique, le montage des effets de manches ... c’est lourd. Pourquoi v Efira s’est elle perdue dans cette daube? Tout sauf subtil ...