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Ce qui se déroule devant nos yeux, et qu’il faut bien qualifier d’exceptionnel, seul le cinéma le permet : assister au dévoilement des puissances infinies d’une actrice.
En arrachant petit à petit les pansements de son héroïne, Justine Triet nous offre une œuvre cathartique, un film pour ne plus avoir honte parfois d’avoir mal, là, juste au bord du cœur. Magnifique.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Les mots heurtent, le rire se coince et Virginie Efira se craquelle. En psy paumée, amante nostalgique et mère absente, elle est épatante de douleur rentrée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Sibyl ne mène pas un combat, elle en mène dix, quinze de front comme nous tous. C’est un film-personnage qui déborde de toutes parts jusqu’à l’ensevelir, le noyer dans un chaos d'émotions et d’envies contraires dont l’issue, attendue, est une rupture nécessaire avec le passé.
Le film n’est pas très long – cent minutes – et pourtant Justine Triet trouve le temps de faire bondir son héroïne dans le temps et dans l’espace, assemblant ces fragments en un édifice aussi complexe qu’un labyrinthe et pourtant presque familier – la représentation cinématographique d’un esprit féminin voué à la fiction.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Liées depuis «Victoria», l’actrice et la cinéaste se retrouvent dans le superbe «Sibyl», en compétition. Encore un portrait de femme explosive, à leur image.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Justine Triet envisage Virginie Efira en psychanalyste-écrivaine en pleine tempête mentale dans Sibyl, film ambitieux qui peine à instaurer un climat et des émotions véritables, mais offre un rôle en or à son actrice centrale.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cette surabondance du commentaire et du ressassement vise à emplir le cadre fictionnel d’une matière textuelle et proverbiale nourrissant les petits numéros des acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
Ce qui se déroule devant nos yeux, et qu’il faut bien qualifier d’exceptionnel, seul le cinéma le permet : assister au dévoilement des puissances infinies d’une actrice.
CinemaTeaser
En arrachant petit à petit les pansements de son héroïne, Justine Triet nous offre une œuvre cathartique, un film pour ne plus avoir honte parfois d’avoir mal, là, juste au bord du cœur. Magnifique.
Le Parisien
Avec ce long-métrage, la réalisatrice Justine Triet prouve encore une fois qu’elle est définitivement une très grande cinéaste.
Les Inrockuptibles
Maîtrisant tous les registres, Virginie Efira est extraordinaire.
Ouest France
Une proposition intelligente autour d'une vraie femme d'aujourd'hui.
L'Obs
Les mots heurtent, le rire se coince et Virginie Efira se craquelle. En psy paumée, amante nostalgique et mère absente, elle est épatante de douleur rentrée.
La Croix
Admirablement construite et réalisée, cette tragicomédie révèle toute l’étendue de la palette de la comédienne.
La Septième Obsession
Sibyl ne mène pas un combat, elle en mène dix, quinze de front comme nous tous. C’est un film-personnage qui déborde de toutes parts jusqu’à l’ensevelir, le noyer dans un chaos d'émotions et d’envies contraires dont l’issue, attendue, est une rupture nécessaire avec le passé.
Le Figaro
Il y a du Cassavetes et du Tennessee Williams dans le troisième long-métrage de Justine Triet, qui signe une intrigue sinueuse.
Le Monde
Le film n’est pas très long – cent minutes – et pourtant Justine Triet trouve le temps de faire bondir son héroïne dans le temps et dans l’espace, assemblant ces fragments en un édifice aussi complexe qu’un labyrinthe et pourtant presque familier – la représentation cinématographique d’un esprit féminin voué à la fiction.
Libération
Liées depuis «Victoria», l’actrice et la cinéaste se retrouvent dans le superbe «Sibyl», en compétition. Encore un portrait de femme explosive, à leur image.
Marianne
Un beau conte initiatique.
Première
Une comédie éruptive et jubilatoire qui déborde de partout, portée par une Virginie Efira souveraine.
Télé 2 semaines
Virginie Efira, plus que jamais poussée dans ses retranchements névrotiques, livre une interprétation intense (...).
Télérama
Foisonnant, Sibyl embrasse beaucoup de thèmes, brosse bon nombre de personnages, sans se disperser.
Voici
Une tragi-comédie très séduisante sur l’effet miroir, la manipulation et la quête.
Bande à part
Justine Triet envisage Virginie Efira en psychanalyste-écrivaine en pleine tempête mentale dans Sibyl, film ambitieux qui peine à instaurer un climat et des émotions véritables, mais offre un rôle en or à son actrice centrale.
La Voix du Nord
La comédienne montre toute l’étendue de sa palette artistique dans cette chronique d’un certain microcosme pas suffisamment émouvante.
Positif
D’où le sentiment d’une énergie dépensée en pure perte, malgré les promesses de départ.
Télé Loisirs
La réalisatrice, qui signe ici un film plus grave, fait montre d'une grande maîtrise de la mise en scène.
Transfuge
Trop dense, ce "Sibyl" n'a rien de sybillin tant il souligne tout.
Critikat.com
Cette surabondance du commentaire et du ressassement vise à emplir le cadre fictionnel d’une matière textuelle et proverbiale nourrissant les petits numéros des acteurs.
L'Express
Un concentré de tous les clichés liés au divan du psy, répartis dans un scénario abscons - "abs" est de trop, à vrai dire.