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Ykarpathakis157
4 708 abonnés
18 103 critiques
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1,0
Publiée le 6 août 2021
Quelle mauvaise surprise que ce tous petit film joué par la toujours aussi ennuyeuse et insipide Sandrine Bonnaire et avec d'acteurs non professionnels et ca se voit. Il y a une description sommaire des personnages y compris des seconds rôles qui joue encore plus mal que Bonnaire ce qui est difficile a faire. Et les dialogues sont si stupides tous le monde parlent pour ne rien dire et se veut profond dans cette histoire. Un fils tout juste sorti de prison et impliqué dans un petit commerce de drogue très lugubre et surtout un garçon et un acteur plus que déprimant. Pour moi rien a sauvé dans cette dinde prétentieuse...
Un film sans détour, sans compromis, au plus près de ses personnages et qui ne ment pas sur ce qu'il est ou ce qu'ils sont. On assiste ici à une tranche de vie particulièrement tourmentée : celle d'Ulysse, un jeune homme qui, à peine sorti de prison, doit prendre en charge sa mère dépressive, et dont les dettes s'accumulent. Son plan : vendre des boissons à la kétamine dans des raves. Le récit nous enferme avec ce personnage dans une approche ultra réaliste et immersive, souvent oppressante et sous tension permanente. Le film se permet tout de même quelques moments de légèreté et d'humour qui font mouche, et qui servent de respirations inattendues mais qui fonctionnent.
Sandrine Bonnaire tient son second rôle à la perfection même si la star du film, ce n’est pas elle... Sandor Funtek et Alexis Manenti, eux, sont formidables dans les rôles de petits voyous. Ils sont touchants par leurs faiblesses.
A VOIR D’URGENCE ! Le premier film de Sarah Marx, produit par La Rumeur Filme, (les fameux rappeurs Ekoué Labitey et Hamé Bourokba, qui ont aussi co-écrit le scénario avec Sarah), est magnifique, d'une grande profondeur, on en sort très ému. Les comédiens sont lumineux, Sandrine Bonnaire, Sandor Funtek et Alexis Manentti ainsi que tous les seconds rôles, à commencer par Virginie Acaries et Lauréna Thellier. Quant à ceux qu'ils soient flics, douaniers ou hommes de la sécurité dans la rave, ils sont tellement authentiques qu'on aimerait pas avoir à faire à eux dans la vie réelle. Le film est rythmé, la mise en scène et direction d'acteur de Sarah Marx sont tendu, d'une grande justesse ainsi qu'une tendresse et d'une sensibilité à fleur de peau. Et la caméra de son chef-opérateur, Yoan Cart, elle tellement proche des personnages qu'on en perd aucune émotion. A voir dès cette première semaine. Cristo
Je suis allée voir le film par défaut. Et quelle surprise. Ça faisait longtemps que je n’avais pas été autant embarqué par des acteurs. Il n’y a pas de faute de jeux. J’ai eu l’impression d’avoir passé une heure trente avec Ulysse , dans son urgence, dans son quotidien... sans jamais m’ennuyer. Le rythme est soutenu, il y a quelque chose de la vrai vie... le trait n’est jamais forcé. Et enfin ça parle de sujet fort assez peu abordé dans les films. La prise en charge des gens malades, quand tu te retrouve à être responsable de tes vieux... et une découverte dans ce film , Sandor Funtek!
Une claque. Je suis allé voir ce film sans trop savoir à quoi m'attendre. 1h30 de tension, des dialogues percutants, jamais démonstratifs, avec quelques vannes bien percutantes. Le point de vue est sincère, bref, à voir !
J'ai vu ce film sans aucune attente particulière et suis ressorti content d'avoir acheté ma place ! Un sujet compliqué à traiter et pas forcement vendeur, pourtant on est pris par le rythme du film, par des personnages dont les failles, les erreurs, les rendent attachants. C'est très juste, très bien filmé, caméra à l'épaule on est avec chaque personnage passant d'une emotion à l'autre avec subtilité. Chacun des personnages est super bien joué, tous apportent une note différente qui ajoute à la justesse de l'ensemble, le seconds roles sont tous des personnages à part entière. Les dialogues sont travaillés sans que cela se sente, ils sont souvent drôles ce qui offre des respirations nécessaires et balance avec le climat général du film. Mention spéciale pour la scène de la rave ! Premier film réussi, au suivant !
K Contraire est une premier film maîtrisé et d'une grande justesse. La réalisatrice montre le réel avec ses moments durs et ses instants de légèreté et de grâce. Jamais elle ne tombe dans le pathos, ni ne s'apitoie sur ses personnages. Les personnages prennent la vie à bras le corps et sont servis par des comédiens talentueux. Un film à ne pas rater et une réalisatrice à suivre !
Plongeant dans le monde de la réinsertion, ce film nous frappe par son froid réalisme. Relatant le parcours suivi par un jeune ex-détenu, prêt à tout pour subvenir aux besoins de sa mère dépressive, on est très vite embarqué dans une aventure que l'on devine sans lendemain. On sort de ce film avec l'impression d'avoir vécu un périple collé aux côtés du héros, Ulysse, magistralement interprété par Sandor Funtek qui, à n'en pas douter, fait parti de la relève du cinéma français.
Quelle claque! C’est un film bouleversant, juste et fort. Le jeune acteur principal m’a prit aux tripes d’un simple regard, sans parler de Sandrine Bonnaire... Je ne m’attendais pas du tout à ce genre d’histoire et j’ai été très agréablement surprise. Bravo
Ce drame social part sur de bonnes intentions : un jeune homme sort de prison et doit s'occuper de sa mère, dépressive notoire, tout en essayant, bon gré mal gré, d'échapper à ses démons (trafic, drogues,...). Les performances de Sandrine Bonnaire et de Sandor Funtek (futur Kool Shen dans Suprêmes, le biopic du groupe NTM) sont très bonnes mais malheureusement ne permettent pas à K contaire, au contraire, de sortir du lot. Il manque de profondeur à ce film pour nous transporter totalement dans leurs univers. Dommage.