Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Sa picturalité flamboyante est en effet le premier aspect du film qui saisit l’œil, obtenu avec des moyens très modestes, en fouillant ce que le numérique haute définition contient d’effet de brillance et retient dans les basses lumières.
Culturopoing.com
par Alexandre Lebrac
Au cœur de ce grand labyrinthe mental où l’on croise la mort, le passé, la colère et les regrets qui hantent les vivants, se trouve un autre élément essentiel : le temps. En choisissant de le dilater, Pedro Costa souligne sa fondamentalité et la valeur de l’apaisement qu’il procure, au terme d’un travail pourtant long et éreintant.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Inrockuptibles
par Philippe Azoury
Vitalina Varela est un film d’espoir. Il traverse la longue nuit de l’homme et se finit dans la lumière, dans un ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Lelo Jimmy Batista et Sandra Onana
Un film à la fois étouffant et immense, dont on sort épuisé et exalté, qu’on traverse moins qu’il ne nous traverse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Nicolas Bauche
De la matière naturaliste du script, fait divers au bovarysme inversé, Costa magnifie le sordide dans une description ciselée de la misère.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
C’est un magnifique portrait que brosse Pedro Costa dans Vitalina Varela, chant funèbre percé de lumière.
Critikat.com
par Chloé Cavillier
Par cet oppressant théâtre d’ombres où errent quelques fantômes désespérés, Pedro Costa figure l’injustice d’un monde dans lequel une partie de l’humanité semble condamnée à l’oubli.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Il y a ici une terrible fatalité mais aussi des éclats de tendresse, même quelques gags bon enfant.
Télérama
par Jacques Morice
C’est une œuvre de feu et de froid, qui réclame assurément d’être vue sur grand écran. Elle n’est pas facile de prime abord, mais l’envoûtement profond qu’elle suscite vaut largement qu’on s’y attarde.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Septième Obsession
par Noémie Luciani
On se croirait au théâtre, attendant qu’on commence ou attardé quand les acteurs épuisés se retirent. Vitalina Varela se construit dans cette hésitation.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Ce portrait anti-narcissique, miroir léthéen d’eau croupie, capture un ballet d’ombres imprégnées sur le béton fêlé de la migration.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
Sa picturalité flamboyante est en effet le premier aspect du film qui saisit l’œil, obtenu avec des moyens très modestes, en fouillant ce que le numérique haute définition contient d’effet de brillance et retient dans les basses lumières.
Culturopoing.com
Au cœur de ce grand labyrinthe mental où l’on croise la mort, le passé, la colère et les regrets qui hantent les vivants, se trouve un autre élément essentiel : le temps. En choisissant de le dilater, Pedro Costa souligne sa fondamentalité et la valeur de l’apaisement qu’il procure, au terme d’un travail pourtant long et éreintant.
Les Inrockuptibles
Vitalina Varela est un film d’espoir. Il traverse la longue nuit de l’homme et se finit dans la lumière, dans un ailleurs.
Libération
Un film à la fois étouffant et immense, dont on sort épuisé et exalté, qu’on traverse moins qu’il ne nous traverse.
Positif
De la matière naturaliste du script, fait divers au bovarysme inversé, Costa magnifie le sordide dans une description ciselée de la misère.
Transfuge
C’est un magnifique portrait que brosse Pedro Costa dans Vitalina Varela, chant funèbre percé de lumière.
Critikat.com
Par cet oppressant théâtre d’ombres où errent quelques fantômes désespérés, Pedro Costa figure l’injustice d’un monde dans lequel une partie de l’humanité semble condamnée à l’oubli.
Le Monde
Il y a ici une terrible fatalité mais aussi des éclats de tendresse, même quelques gags bon enfant.
Télérama
C’est une œuvre de feu et de froid, qui réclame assurément d’être vue sur grand écran. Elle n’est pas facile de prime abord, mais l’envoûtement profond qu’elle suscite vaut largement qu’on s’y attarde.
La Septième Obsession
On se croirait au théâtre, attendant qu’on commence ou attardé quand les acteurs épuisés se retirent. Vitalina Varela se construit dans cette hésitation.
Les Fiches du Cinéma
Ce portrait anti-narcissique, miroir léthéen d’eau croupie, capture un ballet d’ombres imprégnées sur le béton fêlé de la migration.