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    Girl
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    4,0
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    256 critiques spectateurs

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    kevinsolstice
    kevinsolstice

    58 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 novembre 2019
    Un film très émouvant, avec des acteurs formidables, mention spéciale au jeune héros du film, a voir absolument
    Justinelemasle
    Justinelemasle

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 novembre 2019
    Beaucoup de bruit pour pas grand chose... une belle performance d'acteur tout de même. On va voir la suite...
    VOSTTL
    VOSTTL

    97 abonnés 1 944 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 juin 2023
    J’avoue avoir été époustouflé par la prestation de Victor Polster en Lara. L’acteur n’est pas transgenre mais Lukas Dhont, le réalisateur, a su voir dans ce visage, (féminin) Lara. Lara née Victor dans le film fête ses 16 ans. Avec la bienveillance de son père (Arieh Worthalter), Lara se prépare à devenir une femme à part entière. Et si la transformation tarde à venir, son père lui rappelle tout comme l’équipe médicale que Lara ne doit pas brûler l’étape de l’adolescence. Ce corps féminin parti avec du retard nécessite de la patience. Justement, Lara semble impatiente et irritée par ce corps masculin qu’elle ne supporte plus. La détermination de Lara est non seulement courageuse (comme le rappelle son père) mais elle se conjugue avec une passion extrêmement difficile : la danse classique. Non seulement Lara suit avec application tout le protocole qui l’amènera à devenir femme, c’est-à-dire à transformer son corps mais ce corps est mis à mal à travers ses cours de danse classique. On sait ô combien la danse classique pratiquée avec rigueur peut être synonyme de souffrance surtout que Lara a l’ambition de devenir danseuse étoile. Un corps encore masculin quelque peu raide soumis à des exercices que le corps féminin peut endurer. En soi Lara est confrontée à deux redoutables difficultés, à deux souffrances. Elle aurait pu choisir une autre discipline artistique où le corps ne serait pas mis à rude épreuve. Mais le choix de la danse classique n’est-il pas à bien considérer, la représentation parfaite du corps féminin, de la féminité, ce vers quoi se focalise Lara. En ce qui me concerne, je n’ai pas trouvé le temps long, la répétition des scènes de danse où la caméra se colle au plus près de Lara nous traduit sa souffrance, sa détermination, son obsession, sa rage sourde, contenue à décrocher son graal. Scènes indispensables. Par moments, il y a des pastilles du quotidien comme au réfectoire, une respiration décontractée avant de débuter un cours de danse. C'est délicatement filmé. Evidemment, j’ai été aussi surpris et agréablement de constater que le père acceptait cette transformation avec bienveillance. Pour une fois, on ne nous donnait pas à voir des parents qui refusaient avec dégoût et horreur la transformation de leur enfant, avec une mère qui pleurait dans un coin du salon. Pas de conflit, pas de religion qui s’invitaient dans le débat. Pas de moralité de comptoir. Je sais, c’est cliché mais tellement vu. Certes, on aurait aimé en savoir davantage sur la réflexion-source de Victor ; connaître les premiers sentiments du père à l’annonce de cette décision. Mais après tout, je me suis vite aperçu que je m’en moquais. On est vite plongé dans le coeur du thème. Un coeur apaisé puisqu’on sait rapidement que cette transformation semble avoir été en amont longuement discutée et acceptée. Comme je me suis interrogé sur l’absence de la mère. Mais là encore, quelle importance. On ne peut pas toujours nous détailler le menu. On suit une simple chronique, celle de Lara à travers son impatience, sa souffrance, aux côtés de son père qui tente de l’accompagner dans son parcours, de son petit frère et des danseurs ; et tant pis pour les absents. Je finirai par là où j’ai commencé : ce jeune acteur Victor Polster a su remarquablement retranscrire toutes les expressions féminines. Un acteur débutant qui continue la danse mais qui a su avec talent se mettre à nu et physiquement et émotionnellement. Un film poignant et réussi. Lukas Dhont un réalisateur à suivre.
    Marie Breton
    Marie Breton

    68 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 octobre 2019
    Comme souvent lorsque je lance un film hyper bien noté dont le sujet est inattaquable, je suis très méfiante. Et pour "Girl" j'avais raison de me méfier. Un film encensé pour son sujet et parce qu'il ne commet pas d'erreurs grossières, et rien d'autre.
    Qui est Lara ? Eh bien Lara n'existe qu'à travers sa volonté de changer de sexe, du coup difficile de répondre à cette question. Il me semble pourtant que lorsqu'on écrit de la fiction, le but est quand même de travailler les personnages principaux. Ici, elle en est réduite à cette seule quête. J'ignore si elle est drôle, intelligente, gentille, ce qu'elle aime (il semblerait qu'elle aime la danse, mais honnêtement on ne comprend pas bien pourquoi.), quels sont rapports avec les autres, enfin tout ce qui fait un être humain qui n'est jamais réduit qu'à sa seule identité sexuelle. Je trouve que ça ne va pas dans le sens de la banalisation de la question transgenre. Au contraire, ici elle semble quasi obsessionnelle, psychotique, et ne respire aucune humanité.
    Je ne vois qu'une explication : le réalisateur veut tellement coller à la bien-pensance qu'il a préféré n'avoir qu'un regard admiratif face à son sujet. Mais ce n'est pas avec un tel point de vue qu'on peut faire un vrai film, ou servir à une cause.
    On n'est pas un homme ou un femme avant d'être humain, on est humain avant tout. Et "Girl" porte finalement assez bien son nom tant il généralise le sujet. Il ne s'appelle pas "Lara" puisqu'il ne connaît pas Lara, et qu'elle n'existe pas.
    Toute fois tout n'est pas à jeter. C'est très long mais le cadre, le montage sont maîtrisés. Les acteurs ne sont pas mauvais.
    Nadia T
    Nadia T

    4 abonnés 431 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 octobre 2019
    On s'ennuie malheureusement assez vite dans ce film dont le sujet évoque n'est pas nouveau... Il me rapelle l'histoire vrai transgenre dans les années 30 en Angleterre sorti il y a deux ans... Bref. L'acteur pricipal au top... Celui qui joue la papa également... On sent la chute e la dégringolade après la confrontation avec ses copines lors de la soirée pijama.on ressent toute la douleur de lara et so' désespoir au fur et à mesure que les minutes passent. Dommage un peu plat et in s'ennuie un peu part moment mais pas mal. A voir
    laura c
    laura c

    7 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 septembre 2019
    Ce film est d'une grande pureté.
    Poignant, j'ai été en apnée quasiment tout le long. La fin m'a soulevée le cœur.
    L'interprétation des acteurs est vraiment bluffante surtout celle de Victor Polster qui incarne avec grâce Lara.
    Le thème est vraiment joliment retranscrit. Lara est née garçon est se bat pour devenir une fille.
    Le rôle du père est vraiment très beau également.
    Une grande leçon d'amour !
    Audrey L
    Audrey L

    642 abonnés 2 592 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 septembre 2019
    On souffre avec cette jeune "fille" (une femme dans un corps à organe sexuel masculin, objet maudit et détesté pour Lara) et on la supporte dans sa difficile démarche de changement de sexe. Tout y passe, sous nos yeux impuissants : dépression à tendance anorexique, mutilations, dégoût de soi, rejet des autres filles du groupe de danse, quotidien bouleversé de la famille... Girl est un film à qui on peut reprocher de ne pas proposer de surprise dans son intrigue qu'on devine souvent plusieurs minutes auparavant, et qui nous lâche sur une fin très évasive. Mais on ne lui enlèvera pas une interprétation très convaincante du personnage de Lara, une sensibilité certaine, et une belle représentation sans jugement du changement de sexe. On voit que cela est un vrai combat de chaque instant, mais on n'en fait pas l'apologie, c'est le choix de Lara que l'on respecte (si l'on a un tant soit peu de cœur). Le film peut faire penser au bouleversant Danish Girl (on retrouve même une scène d'observation de Lara, devant un miroir, l'organe coincé entre les jambes comme dans Danish Girl), mais en plus pragmatique. L'acteur est très crédible et le combat psychologique et physique des jeunes en attente de cette opération irréversible est intelligemment montré.
    Mathieu D.
    Mathieu D.

    17 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 août 2019
    Ouff, ont prend une claque dans la figure. Une adolescente qui souhaite changer de sexe ( de ce le couper)... Un film choquant, mais il est à voir ! Ont en pleure car c'est une histoire bouleversante.
    Aure L
    Aure L

    24 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 août 2019
    Une vraie claque. On souffre avec elle, on est de tout cœur dans sa transition et on saigne en même temps. C'est le genre de films qui ouvre de très belles portes et permet un autre regard sur les transitions
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    88 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 juillet 2019
    Très touchant cette histoire d'ado transgenre passionné de danse classique. Une lumière très soignée et une histoire qui évite les clichés scenaristique du genre. Une belle interprétation également. Après certaines scènes sont un peu répétitives et la fin aurait mérité mieux...
    le répertoire du cinéphilou
    le répertoire du cinéphilou

    8 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juillet 2019
    L'alchimie entre le jeune Victor Polster et le remarquable Arieh Worthalter transpire de sincérité. Cependant le scénario se heurte à quelques murs. Le film ne prend pas le soin d'approfondir le passé du personnage principal, limitant l'impact émotionnel de celui-ci en cas de détresse. Par ailleurs, le choix de prendre pour période un seul fragment de sa transition, nous amène à rester sur notre faim quand au dénouement qui arbore cette quête d'identité.
    war m
    war m

    29 abonnés 447 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juillet 2019
    Jeune prodige belge, dont le court métrage "L’Infini" avait été nommé aux Oscars en 2015, Lukas Dhont poursuit sa réfexion sur l’identité avec "Girl".
    PascJC
    PascJC

    1 abonné 39 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2019
    Superbe, sensible et saisissant ! Les acteurs jouent bien, c'est magnifiquement bien filmé, j'étais dedans et j'y suis encore !
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    135 abonnés 1 628 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 juin 2019
    Séance de rattrapage de la Caméra d’Or et d’un des grands succès critique de l’an dernier réalisé par un jeune cinéaste flamand ; flamand synonyme de cinéma sec et âpre. Le sujet pose déjà un gros pavé dans la marre ; un jeune garçon se vit en fille et prépare, dans le secret du cocon familiale constitué d’un petit frère et d’un père aimant et hyper compréhensif, sa transformation physique en fille. Débarquée fraichement à Anvers pour satisfaire aux ambitions artistiques de la jeune fille (Lara de naissance Victor) passant par l’intégration d’une école huppée de danse classique ; elle peut vivre sa féminité naturellement aux yeux de ses camarades de danse et du voisinage sans risque d’être dévoilée. Un film sur un sujet fort sans conteste dans lequel le pathos est mis de côté, un père impeccable dans sa compassion, sa tolérance et son empathie et son désir de compréhension de cet ado si particulière y est pour beaucoup. Le parallèle avec « Whiplash » de Damien Chazelle dans la quantité de travail indispensable pour accéder à l’excellence passe par de longues scènes répétitives d’exercices sans cesse renouvelés laissant des stigmates sur des corps fatigués. Le parallèle avec Xavier Dolan se retrouve dans le traitement brut du genre et de la difficulté à accéder à soit même. Cependant, ici la répétition de scènes de danse ou de scènes médicales ou de séquences familiales se succède sans que le contenu ne fasse progresser la narration, tout du moins jusqu’au dernier quart d’heure. On se lasse de ces répétitions mais on souffre aussi devant toute la dureté que s’inflige Lara. Transsexualité et monde de la danse classique, la note est sévère en terme de sévices que le corps de Lara subit. Et même si la caméra de Dhont ne la lâche pas une seconde, on ne saisit pas toujours ses évolutions psychologiques, et l’empathie pour elle ne m’a pas saisie. Film nécessaire, mais souffrant à l’excès ; reste le jeune comédien Victor Polster qui livre une prestation de haut vol.
    tout-un-cinema.blogspot.com
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 avril 2019
    J'adore ce film, cette façon de raconter une histoire en creux. Sans en dire trop. Comme dans la vie, il faut comprendre ce qui se joue dans l'âme des personnages en les voyant vivre. Vraiment très fin. Et puis le sujet, est étonnament traité. Vraiment un bon film.
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