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    Girl
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    4,0
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    256 critiques spectateurs

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    Nicolas L.
    Nicolas L.

    90 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 juillet 2019
    Très touchant cette histoire d'ado transgenre passionné de danse classique. Une lumière très soignée et une histoire qui évite les clichés scenaristique du genre. Une belle interprétation également. Après certaines scènes sont un peu répétitives et la fin aurait mérité mieux...
    Fabien S.
    Fabien S.

    559 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 avril 2019
    Un très beau drame belge sur la danse classique et l'acceptation de soi , la différence , sur les transgenres , les transsexuelles .
    ATHMOS.ONER
    ATHMOS.ONER

    153 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 octobre 2018
    Il est des thèmes qui ne sont jamais facile à traiter au cinéma, à fortiori quand il s’agit d’un premier film. Pourtant, Lukas Dhont n’a pas eu peur de porter le sujet du transgenre sur grand écran pour son premier long métrage : « Girl ».
    Inspiré par un fait réel, le scénario a ensuite été créé de toute pièce avec, semble-t-il, une volonté d’exposer les problématiques et les motivations qui poussent à vouloir changer de sexe.
    Là ou certains auraient choisi un mode quasi documentaire, là ou d’autres auraient défendu un parti prix marqué, Lukas préfère la délicatesse sans voyeurisme ou pathos inutile. Cela n’exclut pas quelques scène violentes mais, comme tout au long du film, la mise en scène est pudique et élégante, à l’image d’une jeune fille à la limite d’être précieuse, telle Lara (ex Viktor).
    Cette jeune adolescente rejette complètement et tente par tous les moyens de cacher le sexe qu’elle a eu à la naissance au point d’être écœuré par les érections matinales. Et bien que les hormones soient traitées en vue d’une opération de changement de sexe, les prémices d’une vie sexuelle se font sentir ce qui complique une situation qui n’est déjà pas simple. Elle n’a jamais utilisé ce sexe encombrant et découvre ce qu’il est capable de faire avec un voisin, scène à la fois difficile et nécessaire pour bien cerner la psychologie du personnage.
    Victor Polster mérite totalement sont prix d'interprétation « masculine » tant cet acteur est totalement crédible en fille, son androgynie et sa douceur fonctionnent à merveille. Sa colère et son mal-être de moins en moins contenus sont montrés en évitant les clichés et certains détails sont particulièrement bien exposés. Pour un premier rôle, sa performance est incroyable !
    Le film n’est pas exempt de défauts, il est à la fois linéaire et répétitif et la scène finale arrive de façon décousue... Qu’à cela ne tienne, cette première réalisation mérite totalement sa caméra d’or.
    Rarement un choix, qui est en fait une nécessité, a été expliqué et exposé avec autant de justesse, ce qui permet de mieux comprendre l’empressement à vouloir être opéré, la nécessité de l’encadrement médical et la longueur du processus.
    Avoir choisi le milieu de la danse montre aussi la finesse du réalisateur/scénariste car la question d’identité des garçons qui choisissent la danse est, elle aussi, souvent empreinte d'ambiguïté.
    Entre la violence du conflit interne qui engendre un solitude extrême (tant que le sexe n’est pas changé), la violence entre adolescents (période déjà difficile même sans vouloir changer de sexe) et
    l’empressement qui peut conduire aux extrême (attention, scène difficile !), le film est d’une justesse et permettra au plus grand nombre de mieux comprendre et appréhender les personnes transgenre et fort logiquement, de les respecter.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 février 2019
    La performance du jeune Victor Polster est juste incroyable, d'autant plus avec son âge et avec ce sujet à la fois sensible et touchant. Il y a de nombreuses répétitions, le père ressemble plus à un grand frère et l'on fait fasse à trois vrais moments chocs. Le sujet est viral. Bravo !
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    106 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 novembre 2018
    D’une sensibilité absolue, ce premier long-métrage raconte l’histoire d’un jeune garçon enfermé dans son corps mâle et qui se sent profondément femme. Très courageuse, Lara est confrontée à un triple défi : son processus de transformation, son adolescence avec l’irruption des premiers sentiments amoureux, et sa volonté de devenir danseuse étoile - de nombreuses séquences sont consacrées à sa formation d’une exigence totale. Victor Polster est impressionnant dans le rôle principal. Jamais larmoyant, toujours émouvant, Girl a obtenu la Caméra d’or au Festival de Cannes 2018.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    699 abonnés 3 038 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 février 2021
    Girl fait de la danse le corollaire de la lutte pour devenir une fille, la violence infligée aux pieds et au reste du corps extériorisant le profond dégoût qu’inspirent à Lara ses attributs masculins, jusqu’à ce choix ultime qui le libérera pour toujours. Il faut dire que les trois milieux dans lesquels le personnage évolue entretiennent l’un avec l’autre une relation complexe, faite d’amour et d’incompréhension, de solitude et de non-dits : l’appartement familial dans lequel un père s’efforce de comprendre et d’accompagner son enfant ; la salle de sport où s’entraîner en compagnie des autres danseurs ; la clinique responsable du traitement hormonal et de l’opération. Aussi tout nouvel espace apparaît à Lana comme un défi : les douches collectives, le studio du jeune homme dont elle s’éprend, celui de ses camarades de danse ; des espaces définis par le trouble, l’inconfort de l’adolescente, son incapacité à s’y épanouir de manière durable. La cruauté des jeunes de son âge s’avère bien retranscrite, quoiqu’un peu caricaturale – il y a une adhésion dans la méchanceté qui fait choir le long métrage dans le manichéisme – de même que les séquences de danse ne montrent pas assez l’évolution technique de la ballerine. Car le parcours de Lara est à la fois unique en son genre et partagé par tout adolescent en pleine construction identitaire, soucieux de s’éprouver au contact des autres, de s’adonner avec passion et application à un art. Il bénéficie d’un support paternel précieux, rare compte tenu d’un sujet qui place souvent en porte-à-faux la famille et l’enfant en marge de celle-ci. Un grand film qui nous fait ressentir la souffrance intérieure d’un être en conflit incessant et profond avec une dotation biologique dont il ne veut pas, qui nous fait ressentir la difficulté à la communiquer. Il est en outre porté par un excellent acteur dont il s’agit ici du premier rôle : Victor Polster.
    JudyCarlotta
    JudyCarlotta

    76 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 mars 2019
    Encore un film encensé à cause de son sujet et certainement pas à cause de son traitement. On a l'impression que si un film aborde un sujet délicat, douloureux touchant à une minorité, c'est forcément génial. D'accord, il a le mérite d'exister. Mais quelle barbe ! Très répétitif. Le parti pris, de ne filmer que l'héroïne en laissant le reste dans le flou est fatiguant. On sent qu'on a ajouté le côté danse, pour que cela fasse un long métrage.A quand un film sur un ou un mec genre camionneur ou une nana genre elfe, change de sexe, sans que cela tombe dans le pathos ou le ridicule. Finalement, ici, le réalisateur n'a pris aucun risque. Pas sûr que cela serve la cause des trans.
    Choupi C.
    Choupi C.

    24 abonnés 327 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 novembre 2019
    Le sujet reste très particulier, les troubles de l'identité sexuelle et l'on ne se sent effectivement pas tous concernés.. même si les acteurs sont bons..
    Clément R
    Clément R

    15 abonnés 351 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 février 2019
    Film déstabilisant. L’acteur principal est fabuleux ; son jeu est juste et efficace. Toutefois, le film est assez lent et malheureusement presque ennuyeux...
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    56 abonnés 1 164 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 décembre 2018
    Plus que le transgenre, le film aborde la période de l’adolescence (mutisme, entêtement, manque de confiance en soi, cruauté des contemporains, opposition au père, éveil à la sexualité, etc.) et de la difficulté, douloureuse, à être danseuse, thèmes de nombreuses fois traités au cinéma. Certes, Laura, 16 ans, a un corps masculin et attend avec impatience, son changement physique de sexe, initié par un traitement hormonal. Malheureusement, les scènes de danse, avec ses mouvements répétés maintes fois et les pointes douloureuses, prennent trop de place dans le film où, finalement, le père de Laura, chauffeur de taxi, veuf ou divorcé, inquiet pour sa fille, est le plus intéressant. Bien sûr, Victor POLSTER, 16 ans, réalise une vraie performance d’acteur et mérite amplement son prix à Cannes (prix d’interprétation dans la catégorie « Un certain regard »).
    Barry.L
    Barry.L

    30 abonnés 136 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 novembre 2018
    Présenté au festival de Cannes 2018 hors compétition officielle, ‘’Girl’’ est un premier film réalisé par le belge Lukas Dhont. Il y reçut la Caméra d’or (meilleur premier film toute compétition confondue) et l’acteur Victor Polster remporta quant à lui le prix d’interprétation de la section Un Certain Regard. Deux prix mérités même si on peut contester le prix de la Caméra d’or en tant que tel, puisque ce dernier désactive presque automatiquement la possibilité de voir un premier film remporter la Palme d’or. Si ‘’Girl’’ avait été en sélection officielle, qu’il n’était pas un premier film, nul doute qu’il aurait été haut dans le palmarès.

    Lara est une jeune adolescente dont le rêve est de devenir danseuse étoile. Elle est décidée et encouragée par son père. Mais Lara, si elle est femme dans son esprit, est née homme. Elle suit donc, parallèlement à son difficile apprentissage artistique un traitement pour changer de sexe.

    La rumeur enflait autour de ce film. Le danger, c’était de se retrouver devant un film ‘’à sujet’’, qui ne fait que se cramponner à son sujet. Sujet qui, bien évidemment est dans l’ère du temps. Oui, car, on a beau dire, le terme du changement de sexe et de la transsexualité, on commence à y être rôdé. Aujourd’hui, un film ne peut plus se contenter de se reposer uniquement sur ces thématiques, car le risque de tomber dans la banalité est de plus en plus présent (ainsi ‘’Une femme fantastique’’ de Sebastiàn Lelio, sorti en 2017 avait également un protagoniste transgenre). Il faut donc observer ces thèmes sous un nouvel angle, pour livrer une impression d’originalité. C’est bien ce que fait Lukas Dhont. ‘’Girl’’ est un film construit en deux temps. Il y a le premier temps, où Dhont désactive à bon escient les éventuels conflits dramatiques si souvent liés à ce genre de film. Non, une personne en transition n’en souffre pas forcément. Non, une personne transsexuelle n’est pas nécessairement victimes de brimades à l’intérieur ou à l’extérieur de sa famille. Au contraire, Lara est acceptée de tous et son futur changement de sexe ne pose aucun problème à personne (étant déjà dans son esprit très féminine depuis un bon bout de temps). Puis, il y a le deuxième temps. Cette fois-ci, la machine semble déraper : un malaise apparaît chez ce personnage qui trouve que le traitement prend trop de temps. Que les choses soient bien claires : le réalisateur n’a pas voulu dire que le changement de sexe implique d’inévitables grandes souffrances pouvant parfois très mal finir. Bien qu’il y ait une dimension incontestablement réaliste et naturaliste, Dhont n’a pas voulu faire un documentaire sur la vie d’un transgenre. Au contraire, le film adopte une structure très romanesque : une première partie paisible, et une deuxième où une bascule s’opère vers quelque chose de plus dramatique. L’originalité est encore de mise dans cette deuxième partie : les problèmes qui naissent autour du personnage de Lara ne sont absolument pas le fruit du regard des autres (qui, encore une fois acceptent ce changement), mais de son propre regard à elle. Ainsi, le mal qu’une personne ressent est-elle forcément du fait des autres ? Pas ici, car à part une scène où Lara est brusquée par ses camarades de danse (pas la meilleure séquence d’ailleurs), c’est finalement dans l’esprit même de l’héroïne que quelque chose se détraque. Et à l’heure où les réalisateurs moralisateurs prolifèrent pour nous expliquer à quel point l’humanité que nous sommes est intolérante et enfermée dans ses codes rigides, le regard sans jugement de Dhont fait du bien.

    Mais la capacité du film à s’échapper des pièges qui lui étaient tendus peut s’expliquer par le thème central du film. Dhont n’avait pas non plus à s’appesantir sur, au choix le thème de la transsexualité ou de la danse (aussi au centre du film) car la vraie richesse de ‘’Girl’’ ne se situe pas à ce niveau là. Le film est en fait un film sur la souffrance. Nous sommes en effet conviés à la tourmente qui va naître chez Lara. Cette souffrance, elle s’exprime dans ce corps, qui tend à se métamorphoser, à se changer et même dans un cas extrême à se dégrader (par exemple pendant les cours de danse où les pieds de Lara sont en sang). En ce sens, ‘’Girl’’, c’est comme si David Cronenberg s’était décidé à faire du cinéma (beaucoup) plus naturaliste. Car si les différences sont bien entendu évidentes, il est aussi possible de relever des points communs entre ‘’Girl’’ et le cinéma de Cronenberg. Nous sommes dans des films où les maux ne naissent pas de l’entourage du héros, mais proviennent de son état d’esprit, de son mental. Car, si drame il y a dans ‘’Girl’’, c’est uniquement dû à son héroïne, hantée par la peur de voir l’opération échouer. Dès lors, la détresse de l’héroïne va se propager tel un virus partout. Dans son corps (via les scènes de souffrance, où l’on distingue clairement les marques sur le corps meurtri de Lara) mais aussi dans la réalisation de Dhont. Les séquences de danse dans le premier temps captent toute la motivation et le talent de Lara. Puis, dans le deuxième temps, le visage crispé de Lara, l’étouffement procuré par cette caméra portée et les chutes viennent traduire toute la souffrance de Lara. spoiler: Et l’horreur, quand à elle atteint son apogée chez Cronenberg à la fin, quand la déformation du corps est aboutie. Idem ici, quand dans la scène la plus insoutenable, Lara décide d’en finir avec sa dernière part de masculinité en se castrant. Et qu’au réveil, à l’hôpital, le visage encore inquiet de Lara semble, filmé à travers une vitre se dédoubler, la partie masculine de Lara la quittant enfin (effet très cronenbergien, s’il en est)
    .

    Via sa mise en scène au cordeau, via le talent de son jeune acteur (Victor Polster, un vrai danseur), via enfin l’apparente simplicité du scénario, ‘’Girl’’ parvient à saisir toute la douleur de Lara. Jamais misérabiliste et souvent trouble, le film montre quel degré de souffrance l’homme peut atteindre pour devenir ce qu’il veut.
    Kubrock68
    Kubrock68

    42 abonnés 1 271 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 février 2019
    Un jeune homme féru de danse veut devenir une femme. Voilà un film sensible et délicat qui nous fait partager un parcours non conventionnel. On se croirait quelquefois dans une reportage, la réalisation formelle n'est pas transcendante mais les acteurs le sont.
    fabrice d.
    fabrice d.

    26 abonnés 1 519 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 février 2021
    J'ai d'abord envie de dire que c'est un vrai film belge, qui mêle Français et Flamand, et aussi un peu d'anglais pour le côté international. Ensuite ce film est émouvant et touchant. Il est fort aussi et il fait presque froid dans le dos. On suit la vie d'un jeune homme qui est en passe de devenir une jeune femme. Physiquement on peut presque déjà la considérer comme une femme. Sexuellement la "transformation" n'a pas eu lieu encore. On plonge directement dans l'histoire, on ne sait pas pourquoi ou ce qui s'est déroulé avant. Le père est attentif, et bienveillant: c'est touchant. L'héroïne est pleine de vie et à la fois très triste. Il n'y a pas de jugement, mais pas non plus de critiques, sauf des moqueries de ses camarades. Mais en famille tout le monde la félicite. La fin est poignante. On ne veut pas regarder. Heureusement il semble que cela se termine bien. A voir.
    Pascal
    Pascal

    162 abonnés 1 685 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 octobre 2018
    film sociétal, dans l'air du temps, largement surestimé par la critique. Les acteurs sont excellents et représentent le point fort de "girl"; cependant il ne suffit pas de posséder des moyens techniques, un sujet (mais des documentaires vus à la télévision en disent beaucoup plus) de bons acteurs pour réaliser un film de qualité. Film d'acteurs, modèle d'illustration de l'émission " les dossiers de l'écran". le scénario n'est pas vraiment travaillé et les dialogues sont de qualités très modestes. Deux étoiles et pour les acteurs uniquement.
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    77 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2018
    Impressionnant de maîtrise surtout pour un premier long-métrage, "Girl" est une oeuvre sincère qui m'a personnellement beaucoup touché. En collant constamment sa caméra au plus près de son jeune et époustouflant acteur principal, Lukas Dhont crée dès les premières minutes une relation directe entre le spectateur et le personnage central qui font corps ensemble. Le cinéaste belge propose une mise en scène certes assez classique mais qui fonctionne notamment par le rapport très particulier qu'elle entretient avec le corps mais surtout, selon le moi, par sa pudeur. En effet, il n'est pas question ici de scènes choc et larmoyantes à grands renforts de violon, Lukas Dhont va au fond de son sujet en le respectant jusqu'au bout. La difficulté, voir l'horreur, viennent de scènes très banales, le long-métrage parle de la violence quotidienne, celle à laquelle on ne prête pas attention, que l'on banalise, qui est presque invisible mais qui fait paradoxalement encore plus mal. C'est avant tout cette approche assez originale du sujet qui m'a fait aimer "Girl", une oeuvre forte et puissante qui en dit finalement beaucoup avec peu de choses.
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